Les 28 et 29 juin dernier, l'IFMi était présent au 6ème congrès de Strasbourg organisé par la SHISSO (Société Homéopathique Internationale de Soins de Support en Oncologie) sur le thème de l'oncologie intégrative.
👏 Un grand merci au Dr Frédéric Rimaz pour son excellente intervention sur "HPV et cancers vitro-induits, apports de la micro-immunothérapie en soin de support".
👏 Un grand merci à tous les participants pour l'intérêt qu'ils ont manifesté concernant la micro-immunothérapie, merci pour ces nombreux échanges qui sont toujours aussi riches et constructifs autour de la thérapie.
Pour nous, l'occasion de vous partager l'essentiel de la présentation du Dr Frédéric Rimaz : "Les Papillomavirus ou HPV sont très répandus dans la population. Il s'agit de la première cause d'IST dans les pays occidentaux. Parmi les 200 Papillomavirus connus à ce jour, seule une quinzaine est réputée à Haut-Risque (HR). En effet ces virus contiennent des gènes dits "oncogènes" qui peuvent déclencher des cancers du col de l'utérus chez la femme. Le dépistage, la typisation du virus (quel type de haut risque) et sa charge virale sont très importants. En effet, plus le virus est en nombre et plus il reste longtemps dans l'organisme, plus le risque de cancer est élevé.
Dans l'immense majorité des cas, le virus sera éliminé spontanément sans aucun dommage, mais parfois il persiste.
Dans ce cas de figure, la micro-immunothérapie peut permettre une bonne prise en charge des patientes. Grâce aux low-doses contenues dans la formule PAPI et son administration séquentielle, la micro-immunothérapie va aider l'organisme à stopper la prolifération virale et limiter l'inflammation locale."
Pour approfondir le sujet, nous vous proposons la lecture d'un article sur les infections par le virus HPV, facteurs de risque du cancer du col de l'utérus :
Les virus du papillome humain (HPV) sont de petits virus à ADN double brin, non enveloppés, qui infectent les tissus épithéliaux, notamment la peau et les muqueuses. Exclusifs aux humains, les HPV ont besoin d’un organisme hôte pour se propager, se transmettant généralement par contact direct peau à peau, en particulier lors d’un rapport sexuel.
Les HPV déclenchent des réponses inflammatoires et induisent des modifications de la peau et des cellules affectées, contribuant ainsi à leurs effets pathogènes.
Avec plus de 200 types identifiés, les HPV présentent différents degrés de risque et de potentiel oncogène. Si certaines souches sont bénignes, d'autres, notamment les types à haut risque, tels que les HPV 16 et 18, constituent une menace importante, pouvant conduire au cancer du col de l'utérus avec infection persistante.
L’infection par le virus du papillome humain (HPV) constitue l’une des infections sexuellement transmissibles les plus répandues dans le monde. Particulièrement fréquente chez les jeunes femmes sexuellement actives, l’infection cervico-vaginale au HPV présente une prévalence allant de 60 à 80 %, influencée par l’âge et les facteurs de risque associés.
Pour la majorité des personnes infectées, la clairance virale se produit naturellement en l’espace de deux ans. Les lésions intraépithéliales de bas grade régressent spontanément dans plus de 80 % des cas, en particulier chez les patients plus jeunes, et se résorbent généralement dans un délai moyen de 8 à 16 mois.
Néanmoins, la présence de types de HPV à haut risque (HR-HPV) a été associée au développement du cancer invasif du col de l'utérus, soulignant l'importance de la détection précoce et des mesures préventives.
Les facteurs de risque d’infection et de progression cancérogène comprennent :
Il convient de noter qu'une proportion importante (20 à 30 %) des infections survient avant l'âge de 30 ans. La transmission du HPV se produit principalement par contact sexuel, y compris par voie génitale ou orale. Même si l’utilisation du préservatif peut réduire le risque d’infection, elle n’offre pas une protection complète contre le virus.
Souvent, une infection active au HPV est associée au fait d'avoir de nombreux partenaires sexuels ou d'avoir trompé son partenaire. Il s’agit d’une idée fausse, car les deux partenaires peuvent être atteints du HPV même dans le cadre d’une relation engagée et fidèle. Il est impossible de déterminer qui a été infecté en premier ni depuis combien de temps l’infection s’est produite, et cela n’affecte pas l’évolution de l’infection.
Les HPV se transmettent par contact cutané. Par exemple, il est possible d’être infecté en serrant la main ou en marchant pieds nus dans la piscine. Vraisemblablement, les virus pénètrent dans le corps par de petites blessures ou des fissures cutanées. Cela se manifeste souvent par des verrues sur la peau.
Les HPV peuvent également se transmettre par contact cutané lors des rapports sexuels : les virus pénètrent dans l’organisme puis infectent les muqueuses. Cela entraîne généralement des modifications temporaires du tissu de la membrane muqueuse du col de l'utérus, qui régressent souvent dans de nombreux cas. Cependant, chez certaines femmes, les virus persistent dans la membrane muqueuse pendant de nombreuses années et peuvent entraîner des modifications tissulaires et un cancer du col de l'utérus.
Le cancer du col de l'utérus est presque toujours précédé d'une infection par les virus du papillome humain (HPV). Il existe environ 200 types différents de HPV, dont 12 sont considérés comme cancérigènes. Les types 16 et 18 sont responsables d'environ 70 % des cas de cancer du col de l'utérus. Cependant, entre le moment de l’infection et l’apparition du cancer, il s’écoule en moyenne plus de 15 ans. Chaque année, environ 4 600 femmes reçoivent un diagnostic de cancer du col de l’utérus. Environ 1 600 femmes meurent chaque année de cette maladie.
Une infection au HPV passe souvent inaperçue puisque le système immunitaire traite les agents pathogènes avant l’apparition des symptômes. Le cancer du col de l’utérus ne provoque généralement pas non plus de symptômes visibles à ses débuts. La tumeur évolue sur plusieurs années sans signes majeurs. Par conséquent, il est important de prêter attention aux moindres changements et d’en discuter avec votre gynécologue, notamment en cas :
Une tumeur avancée du col de l’utérus se manifeste par les symptômes suivants :
Tous ces signes mentionnés peuvent également être typiques de nombreuses autres affections ou maladies. Par conséquent, il ne s’agit pas nécessairement d’un cancer du col de l’utérus ou d’un précurseur. Il est néanmoins important de faire évaluer ces symptômes dès le début.
La micro-immunothérapie est une approche thérapeutique immunorégulatrice basée sur la recherche immunologique de pointe et la physiopathologie virale. L'objectif de la micro-immunothérapie est de restaurer la réponse immunitaire à son fonctionnement naturel et optimal et de soutenir les défenses antivirales. Elle utilise des médiateurs immunitaires, tels que des cytokines, des facteurs de croissance, des acides nucléiques généraux (ARN, ADN) et des acides nucléiques spécifiques à faibles doses, afin de moduler la réponse immunitaire de manière douce, ciblée et durable.
En cas d'infection par le HPV, la micro-immunothérapie peut apporter un soutien précieux et doux au système immunitaire dans la lutte contre les HPV. Son objectif est d'empêcher la réplication et la propagation du virus dans l'organisme, contribuant ainsi à l'élimination du HPV par le système immunitaire. La micro-immunothérapie peut également contribuer à contrecarrer les processus protumoraux en favorisant la réponse immunitaire antitumorale aux stades précoces du cancer du col de l'utérus.
En octobre 2016, après un bilan médical de routine, on m'a diagnostiqué un papillomavirus humain (HPV) de type 16, qui fait partie des génotypes à haut risque. Les rendez-vous de suivi se sont enchaînés tous les 6 mois sans montrer aucune évolution jusqu'en septembre 2019, où l'on a détecté plusieurs lésions et kystes dans mon utérus. Le médecin m'a indiqué qu'il était peu probable que le virus disparaisse et qu'en l'état actuel des choses, les tissus touchés devaient être retirés.
J'ai donc commencé à rechercher d'autres traitements, ce qui m'a amenée vers la micro-immunothérapie. Une fois mon traitement de micro-immunothérapie terminé, au cours du premier semestre 2020, j'ai continué les rendez-vous de suivi tous les 6 mois : les lésions disparaissaient petit à petit et l'intervention n'était plus nécessaire. Aucune lésion n'a été observée lors du dernier examen en décembre 2020 et le virus n'était pas non plus détecté lors du test HPV. Grâce à la micro-immunothérapie, mon corps a réussi à éliminer totalement le virus.
Edna R.
Grippe, rhino-pharyngite, angine virale, bronchite aiguë, bronchiolite etc. sont fréquentes en hiver et nous recherchons automatiquement des traitements pour soulager les symptômes ou des compléments pour renforcer notre organisme. Ils peuvent être utiles à court terme mais finissent souvent par perdre leur efficacité, contribuent à la détérioration des barrières physiques, facilitent l'augmentation des résistances et, surtout, ne préviennent pas les récidives ou le développement de troubles chroniques sous-jacents. En effet, une proportion élevée de patients revient en consultation dans les 6 mois suivant la première infection.
La santé dépend principalement de l’état de notre système immunitaire et nous devenons plus vulnérables face à la maladie lorsque celui-ci est fragilisé. L'état immunitaire détermine en effet la capacité de notre organisme à se défendre contre les infections et à prévenir de leur apparition, de leur fréquence voire même de leur sévérité. C’est pour cela que certains d’entre nous tombent plus ou moins malades face au même virus. Maintenir le système immunitaire équilibré pourrait donc contribuer à prévenir l'apparition des infections, éviter les récidives et le développement de la chronicité.
Les traitements visant à soutenir le système immunitaire, et plus particulièrement à moduler sa réponse, sont intéressants car ils ciblent le déséquilibre immunitaire et ne se limitent pas au traitement des symptômes. Ils agissent au contraire à plusieurs niveaux : soulager ses symptômes et accélérer la guérison mais aussi améliorer la résistance des patients aux maladies infectieuses. Ils permettent aussi de réduire la fréquence d’utilisation des traitements pouvant avoir un effet nocif sur notre santé à long terme.
Dans ce contexte, la micro-immunothérapie constitue un moyen intéressant pour traiter les déséquilibres de la réponse immunitaire et restaurer son fonctionnement. Sa particularité est d'utiliser des molécules à très faibles doses comme principes actifs, en essayant de se rapprocher du fonctionnement naturel du système immunitaire et en garantissant son innocuité. De par ses caractéristiques, et contrairement à d'autres traitements, elle est facile à prendre, bien tolérée et adaptée à tous les types de patients. De plus, elle est compatible avec d’autres traitements et peut être intégrée à n’importe quelle stratégie thérapeutique. Enfin, elle est à la portée de tous les professionnels de santé.
Beaucoup de pathologies sont liées à un dysfonctionnement immunitaire pouvant aller d’une simple allergie au développement d’un cancer. La micro-immunothérapie peut donc être utilisée dans une grande variété de contextes cliniques. De plus, comme elle ne cherche pas à bloquer ou à stimuler une réaction, mais travaille toujours dans une perspective de régulation, beaucoup de professionnels de la santé l’utilisent à la fois de manière thérapeutique et préventive, comme par exemple dans le cadre des infections hivernales. Dans la pratique clinique, elle est également très recommandée pour traiter les réactivations virales. Les virus tels que le SARS-Cov2, herpès simplex, le virus d'Epstein-Barr, le virus varicelle-zona ou le cytomégalovirus peuvent provoquer des symptômes aigus, mais ils peuvent aussi se réactiver après une période de latence due à une baisse de l'immunité, ou à la suite d'autres infections, provoquant des syndromes post-viraux, mais favorisant aussi le développement d'autres pathologies telles que des troubles auto-immuns, une fatigue chronique ou une anxiété excessive. La micro-immunothérapie vise, dans ces cas, à soutenir l'immunité pour limiter la réplication virale et la propagation du pathogène à d'autres cellules, ainsi qu'à aider à contrôler l'infection persistante.
L’Institut Français de Micro-immunothérapie vous forme pour intégrer la micro-immunothérapie dans votre stratégie de diagnostic et thérapeutique.
J'ai eu de très bonnes expériences avec la micro-immunothérapie chez mes patients. J'utilise la micro-immunothérapie chez les enfants et les adolescents depuis 13 ans et je ne peux pas imaginer mon travail médical quotidien sans elle.
Le problème le plus fréquent concerne les infections récurrentes – j’ai ici une excellente expérience de la micro-immunothérapie. Elle fonctionne également très bien pour les problèmes ORL chroniques et les allergies.
J'ai également pu réussir de nombreux traitements avec la formule de micro-immunothérapie spécifique à la pathologie : dans les infections aiguës à EBV ou réactivations EBV, dans les infections varicelleuses ou herpès zoster, dans les infections à HSV, chez les adolescents présentant des troubles dépressifs, dans le stress ou dans le rhume de hanche et la polyarthrite rhumatoïde juvénile.
Romana Slapakova
Le Dr. Pascal Mensah, ambassadeur de la micro-immunothérapie et Margot Gallot, chargée de communication et des relations institutionnelles à l’IFMi étaient les invités d’Aude Kersulec pour l’émission Itinéraire Santé diffusée par le Figaro.
“Durant les congrès qui ont été organisés sur la micro-immunothérapie, nous avons pu constater l’intérêt de l’interleukine 2 en low dose dans l’alopécie… Et les résultats ont été là et on a vu des choses assez spectaculaires”
Cet échange leur a permis de revenir, entre autres, sur la définition de la micro-immunothérapie, le rôle de l’IFMi et les champs des possibles de la micro-immunothérapie. Retrouvez l’ensemble de la vidéo et de l’article ci-dessous.
Mise au point dans les années 60 par le Docteur Maurice Jenaer, médecin de la famille royale belge, la micro-immunothérapie est un type d’immunothérapie qui vise à traiter et renforcer le système immunitaire dans la prise en charge de maladies chroniques liées à un dysfonctionnement immunitaire telles que les allergies, les maladies auto-immunes, les troubles métaboliques et les infections récidivantes. Cette stratégie repose sur l’administration de très petites quantités de molécules immuno-compétentes principalement issues du système immunitaire, comme les cytokines, un ensemble de protéines qui jouent un rôle fondamental de messager dans la coordination de la réponse immunitaire (inflammation, cicatrisation,etc.).
Depuis des années, des thérapies basées sur la réponse immunitaire et utilisant des cytokines ou des inhibiteurs de ces dernières (anti-TNFα) sont utilisées, notamment dans la prise en charge de maladies inflammatoires comme la polyarthrite rhumatoïde. Néanmoins, ce type d’immunothérapie engendre parfois des effets secondaires notoires liés au dosage des substances qui sont administrées. C’est de cette constatation qu’est né le concept de micro-immunothérapie, qui tente de moduler la réponse du système immunitaire grâce à des quantités réduites, ou "low doses", qui ne dépassent pas les seuils de toxicité, permettant ainsi une meilleure observance du traitement.
Au fil des observations cliniques, la micro-immunothérapie s’est révélée intéressante entre autres dans les troubles immunitaires d’ordre inflammatoire, compatible et complémentaire avec les traitements traditionnels auxquels elle n’a toutefois pas vocation à se substituer. Une fois acquise la nécessité d’intégrer la prise en charge du système immunitaire, les professionnels de la santé peuvent orienter leurs stratégies thérapeutiques afin de moduler la cascade immunitaire. De plus, la micro-immunothérapie est une immunothérapie accessible en cabinet où les professionnels de la santé peuvent la prescrire facilement.
L’Institut Français de Micro-immunothérapie a été fondé il y a près de 30 ans pour répondre à un besoin des professionnels de santé qui souhaitaient promouvoir cette thérapie et œuvrer à son développement. L’association, composée de plus de 200 médecins et thérapeutes, s’est donnée pour mission de former les professionnels de la santé à la micro-immunothérapie et favoriser son intégration dans leur stratégie thérapeutique quotidienne en mettant à leur disposition les outils nécessaires à son application. Elle se veut aussi d’informer le grand public sur l’existence de la thérapie et l‘importance de la prise en charge du système immunitaire.
Face à une demande croissante des patients et l’explosion des pathologies liées aux dysfonctionnements immunitaires, l’Institut se fait un devoir de mettre en relation les patients avec ses professionnels de la santé. C’est donc avec enthousiasme, dans une optique de collaboration constructive, que ses membres poursuivent leurs missions de recherche, de soin et de prévention en faveur de l’équilibre du système immunitaire.
Contenu conçu et proposé par L’Agence Delta. La rédaction du Figaro n‘a pas participé à la réalisation de cet article.
La Dr. Jaroslava Wendlova, PhD, est une interne qui applique une approche intégrative dans sa pratique quotidienne. En tant que présidente de la Société Slovaque de Médecine Biorégénératrice, elle nous fait part de ses appréciations sur la micro-immunothérapie :
"La micro-immunothérapie a ouvert une nouvelle porte sur l'avenir de l'immunologie, non seulement pour la médecine intégrative, mais aussi pour la médecine conventionnelle.
La micro-immunothérapie utilise des substances messagères de l'immunité (principalement des cytokines) à faibles doses pour diriger et réguler en douceur la réponse immunitaire, en imitant les mécanismes de régulation naturels de l'organisme.
L'objectif de chaque substance active d'une formule spécifique peut être différent, en fonction de son modèle de préparation : régulation à la hausse, maintien ou régulation à la baisse de l'activité biologique de la substance dans l'organisme.
Avancées importantes et avantages de la micro-immunothérapie :
La micro-immunothérapie peut être appliquée dans de nombreux domaines, car il existe un large éventail de formules visant à réguler l'immunité dans de multiples maladies présentant des déséquilibres immunitaires sous-jacents. Le traitement est donc particulièrement bénéfique pour les patients souffrant de pathologies complexes, ce qui augmente les chances de réussite du traitement et de guérison.
Le professionnel de la santé peut appliquer le traitement de manière variable :
Au-delà des possibilités offertes par la micro-immunothérapie pour le traitement des infections aiguës et chroniques, des maladies malignes et auto-immunes, je considère la micro-immunothérapie comme une excellente option pour la prévention des maladies, en particulier pour les personnes dont l'environnement de travail comporte un risque élevé d'infection (comme les médecins, les infirmières, les soignants et autres membres du personnel) et pour les personnes âgées, car elle favorise la biorégénération et soutient l'immunité, contrecarrant ainsi l'immunosénescence et augmentant leur qualité de vie. La micro-immunothérapie contribue donc indirectement à désengorger le système de santé.
Il convient de noter que la micro-immunothérapie peut être associée à une alimentation saine, à un exercice physique suffisant et à un équilibre psychologique pour garantir une efficacité maximale. Je me réjouis qu'il existe une communauté de professionnels de la santé tournés vers l'avenir qui se forment à la micro-immunothérapie et l'intègrent dans leur pratique clinique avec, à la clé, de belles réussites pour les patients."
Dr. Jaroslava Wendlova