Le cancer du côlon est l’un des plus courants. Dans certains pays européens, comme la Grande-Bretagne, il a été observé une augmentation inhabituelle du nombre des jeunes individus atteints d’un cancer colorectal. Si la tumeur est détectée et traitée tôt, les chances de guérison sont généralement très bonnes. La prévention du cancer du côlon a toute son importance.
Mais qu’est-ce que cela signifie pour les patients ? Comment rester en bonne santé et, idéalement, réduire le risque de maladies comme le cancer du côlon ? Quelle importance le système immunitaire joue-t-il dans la prévention du cancer du côlon et quel soutien la micro-immunothérapie peut-elle apporter ? Quels examens sont utiles et à quel âge ?
Ce nouvel article de blog traitera ces questions.
Bien sûr, il ne se substitue pas à une consultation ou à l'avis de votre médecin, mais il peut vous donner un aperçu précieux sur la prévention du cancer du côlon.
Le cancer du côlon se traduit par une tumeur du côlon, celles de l’intestin grêle sont rares. Il touche environ 1,4 million de personnes dans le monde, avec une fréquence plus élevée chez les hommes que chez les femmes.
Selon l'agence de Santé publique France, il y a chaque année en France environ 48 000 nouveaux cas. Avec l'âge, le risque de développer un cancer du côlon augmente également : environ dix pour cent seulement des maladies surviennent avant l'âge de 55 ans, et plus de la moitié des personnes touchées ont plus de 70 ans au moment du diagnostic.
De bonnes nouvelles concernant ce type de cancer : le taux de mortalité due à cette maladie est en baisse constante depuis le milieu des années 1970. En plus des avancées médicales et des nouvelles découvertes scientifiques, la prévention du cancer du côlon joue un rôle essentiel pour permettre aux patients de vivre avec la maladie et même de la vaincre. Plus important encore, une détection précoce est cruciale pour maximiser les chances de guérison.
Aux premiers stades, le cancer du côlon se manifeste souvent par des symptômes discrets. Des crampes, des douleurs abdominales et des troubles du transit intestinal : ils peuvent d'ailleurs être parfois associés à d'autres affections telles que les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin, notamment la maladie de Crohn. Les symptômes persistants doivent toujours être examinés par un médecin afin d’en déterminer la cause et d’initier un traitement approprié.
Les symptômes suivants, bien qu'ils ne se manifestent pas toujours en continu, sont caractéristiques du cancer du côlon et surviennent généralement sous forme de divers signes, soit simultanément, soit successivement.
Comme pour d'autres formes de cancer, le cancer du côlon entraîne également des transformations malignes des cellules. Les causes précises de ces changements restent encore floues, mais il est généralement admis que plusieurs facteurs peuvent jouer un rôle dans la transformation et la multiplication incontrôlable des cellules.
La transformation des cellules intestinales bénignes en cellules tumorales malignes se fait généralement par un stade intermédiaire bénin, appelé polypes intestinaux (adénomes). Ces excroissances, qui prennent la forme de petites protubérances sur la muqueuse intestinale, sont initialement inoffensives. Cependant, avec le temps, elles peuvent évoluer et se transformer en cellules cancéreuses. Environ 90 % des cas de cancer du côlon sont dus à ces polypes.
Lorsque la maladie est à un stade avancé, les cellules tumorales peuvent se détacher de l'intestin et se propager par le biais du système lymphatique. Ainsi, elles peuvent se fixer dans d'autres parties du corps, se multiplier et former des métastases, c'est-à-dire des implantations tumorales.
Nous avons déjà mentionné que, malgré une tendance générale à la baisse, les jeunes restent plus exposés au cancer du côlon. Le risque s’accroît avec l’âge, la majorité des cas concernant des patients de 55 ans et plus. L’augmentation du nombre de diagnostics chez les plus jeunes représente donc un enjeu majeur pour la médecine et la recherche. Comme la maladie tend à être plus agressive chez ces patients, la mortalité entre 25 et 49 ans demeure relativement élevée. Il est supposé que le manque d’activité physique, l’obésité et la consommation d’alcool contribuent à ce risque accru dans cette tranche d’âge. Ainsi, pour prévenir le cancer du côlon, il est essentiel de limiter ces facteurs de risque et d’adopter un mode de vie sain.
L’intestin est peuplé de diverses bactéries, qui ont souvent mauvaise réputation et sont associées à des maladies. Cependant, de nombreuses bactéries présentes sur et dans notre corps sont en réalité très bénéfiques, voire essentielles. L'ensemble des microbes vivant dans l’intestin constitue le microbiome intestinal. Ces micro-organismes jouent un rôle crucial en préservant l'intégrité de la barrière intestinale, empêchant ainsi les substances nocives et agents pathogènes d'entrer dans l’organisme ou la circulation sanguine. Ils les neutralisent et les éliminent de manière inoffensive.
Pour que ces bactéries bénéfiques prolifèrent, des conditions spécifiques doivent être réunies. L’alimentation, les toxines, les déséquilibres hormonaux, et bien d’autres facteurs peuvent influencer l’équilibre du microbiome intestinal et conduire à son altération. En cas de déséquilibre de la flore intestinale, des agents pathogènes nuisibles peuvent plus facilement s’y installer, entraînant des maladies et des lésions.
Nous avons abordé plus en détail la flore intestinale, le microbiome intestinal, et les moyens de maintenir sa santé dans notre précédent article : Comment soigner mon intestin ? L’équilibre immunitaire comme clé de l’harmonie intérieure et du bien-être.
Environ 70 à 80 % des cellules immunitaires se trouvent dans l’intestin, ce qui rend le microbiome intestinal très important pour les défenses de l’organisme et la santé générale. Un système immunitaire bien fonctionnel garantit également que les agents pathogènes nuisibles et les cellules dégénérées soient identifiés et éliminés à un stade précoce, y compris les cellules tumorales.
Pour faire cette distinction entre ce qui est « bon » et ce qui est « mauvais », un système immunitaire sain et équilibré est essentiel. En règle générale, le système immunitaire est une interaction complexe et puissante entre divers organes et cellules. Toutefois, il peut être perturbé par plusieurs facteurs, tels que des virus, un stress chronique ou des carences nutritionnelles. Ces influences varient d’un individu à l’autre. Lorsqu’un déséquilibre survient, des problèmes peuvent apparaître, comme des inflammations excessives endommageant les tissus ou des réactions immunitaires inefficaces, voire absentes.
En prenant soin de maintenir son système immunitaire aussi équilibré que possible, dans ce que l'on appelle l'homéostasie, on renforce également son bouclier naturel de protection. En ce qui concerne le cancer colorectal, un système immunitaire intact peut non seulement empêcher la formation de cellules dégénérées, mais aussi les détecter et les éliminer rapidement. En tant que pilier de la santé, le système immunitaire joue un rôle crucial dans la prévention du cancer du côlon.
Avec un mode de vie sain, beaucoup d’exercice, en passant du temps au grand air et en bénéficiant d'un sommeil réparateur, vous en faites déjà beaucoup pour maintenir un système immunitaire sain. Seulement parfois, ces mesures ne suffisent pas. De nombreux facteurs peuvent avoir un impact négatif sur le système immunitaire et nous ne pouvons pas tous les influencer activement sans aide extérieure.
La micro-immunothérapie a pour objectif de soutenir spécifiquement le système immunitaire en utilisant des cytokines naturelles, qui jouent un rôle clé dans la coordination et la régulation des réactions immunitaires. Ce procédé vise à moduler en douceur la réponse immunitaire en apportant des substances messagères essentielles ainsi que des acides nucléiques spécifiques. L’objectif est de limiter les dysfonctionnements du système immunitaire afin de restaurer son bon fonctionnement, en maintenant un équilibre entre les mécanismes pro-inflammatoires et anti-inflammatoires.
Dans le cadre de la prévention du cancer du côlon, la micro-immunothérapie peut être envisagée comme une approche complémentaire permettant d’ajuster progressivement la réponse immunitaire. Un système immunitaire efficace peut détecter précocement les mutations cellulaires dangereuses et les combattre naturellement. Par ailleurs, cette thérapie peut également accompagner le traitement du cancer en contribuant à ralentir les processus tumoraux. Un système immunitaire renforcé peut aussi favoriser une meilleure tolérance aux traitements conventionnels.
Bien qu’elle ne constitue pas une solution unique pour la prévention ou le traitement du cancer du côlon, la micro-immunothérapie représente une approche douce et ciblée pouvant compléter efficacement d’autres stratégies thérapeutiques.
Si vous avez des questions, n'hésitez pas à nous écrire : ifmi@microimmuno.fr. Nous serons ravis de vous renseigner davantage !
Le psoriasis est une maladie cutanée et articulaire chronique, non contagieuse dont on suppose une origine génétique et immunologique. Elle provoque des éruptions cutanées accompagnées de démangeaisons et de plaques squameuses.
Le nom psoriasis vient de psora, un mot grec signifiant démangeaisons, faisant référence à l'un des principaux symptômes de la maladie. Non seulement les zones cutanées irritées et rougies provoquent une gêne chez les patients, mais ils ont aussi souvent honte de leur maladie. Lorsque le psoriasis est particulièrement sévère, les personnes affectées sont souvent stigmatisées par la société, ce qui peut conduire à l'isolement, voire à la dépression.
Pour prévenir cette situation, il est essentiel d'adopter un traitement ciblant la cause en plus des symptômes du psoriasis.
La micro-immunothérapie peut être d’une grande aide comme traitement immunorégulateur.
Dans cet article, nous allons explorer l'immunité dans le cadre d'un psoriasis.
Le psoriasis, une maladie atopique en hausse, est souvent traité par des médicaments allopathiques qui soulagent temporairement les symptômes mais ne ciblent pas la cause et peuvent provoquer des effets secondaires. Nous vous avons proposé hier un atelier pratique, qui se concentre sur la micro-immunothérapie : une approche durable visant à traiter le psoriasis en régulant plus précisément le système immunitaire, améliorant ainsi l'efficacité et la sécurité du traitement.
Si vous n'avez pas pu suivre notre conférence en ligne, nous vous invitons à visionner le replay depuis votre espace professionnel.
Il est désormais reconnu par les chercheurs que le psoriasis est une maladie auto-immune, ce qui signifie que le système immunitaire attaque les tissus sains du corps. Il a été observé que les cellules cutanées sont transportées par les lymphocytes T (particulièrement actifs chez les patients atteints de psoriasis), depuis les couches cutanées les plus profondes jusqu'à la surface de la peau et à un rythme accéléré.
Le psoriasis peut se manifester dans différentes zones du corps, les zones soumises à des frottements ou à des flexions étant particulièrement affectées :
En hiver, de nombreuses personnes atteintes de psoriasis voient leurs symptômes s'aggraver car lorsque l'air est froid et sec, c'est la peau qui en pâtit le plus. C'est pourquoi elle nécessite davantage de soins et doit être suffisamment hydratée pendant la saison froide. D'autre part, la réduction du taux d’ensoleillement durant cette saison prive la peau des rayons UV, qui possèdent des propriétés anti-inflammatoires et aident à réguler les réactions excessives du corps.
De plus, la peau est particulièrement sollicitée en hiver : en plus de son exposition au froid extérieur, elle est confrontée à un chauffage sec à l’intérieur. Ces changements génèrent un stress supplémentaire sur la peau, aggravant le psoriasis en hiver.
Comme il semble exister un lien étroit entre le psoriasis et le système immunitaire, la micro-immunothérapie nous apparaît comme un traitement intéressant dans le psoriasis. L'objectif est d'harmoniser les processus immunitaires afin que les cellules T hyperactives ne provoquent plus l'accélération du transport des cellules cutanées.
La micro-immunothérapie possède un effet anti-inflammatoire. Il convient alors bien comme traitement complémentaire pour aider à atténuer le psoriasis sur les zones affectées de la peau.
En plus de la micro-immunothérapie, des soins complets de la peau sont particulièrement importants pour les personnes concernées. Une grande variété de produits et de méthodes sont efficaces comme des pommades, des crèmes hydratantes ou des shampoings pour le cuir chevelu.
Les rayons UV ont un effet anti-inflammatoire sur les zones cutanées touchées et viennent soulager les démangeaisons : la luminothérapie a donc toute sa place dans le traitement de cette pathologie.
Les exercices de relaxation peuvent avoir un effet positif sur le psoriasis, car le stress contribue à l’aggravation des symptômes.
L'efficacité d'une méthode peut différer selon les individus, et toutes peuvent être combinées avec la micro-immunothérapie.
Demain, le 20 mars, ce sera la journée mondiale de la santé bucco-dentaire ! Profitons de cette occasion pour revenir sur ce le sujet de la parodontite.
La parodontite est une affection courante qui concerne environ deux tiers des personnes de plus de 40 ans. Aux côtés des caries, elle figure parmi les maladies infectieuses buccales les plus répandues. Il s'agit d'une inflammation du tissu de soutien des dents, entraînant un recul des gencives et une perte osseuse au niveau de la mâchoire, pouvant aboutir à la chute des dents.
Sur le plan physiopathologique, la parodontite résulte de l’accumulation de plaques bactériennes produisant des substances toxiques et des déchets métaboliques, déclenchant ainsi une réaction inflammatoire. Cette maladie évolue souvent de manière silencieuse, sans douleur au début, ce qui peut retarder son diagnostic. Parmi les signes caractéristiques figurent le saignement des gencives, leur gonflement et la mauvaise haleine. Certains groupes, tels que les patients souffrant de maladies cardiaques, de diabète, d’asthme ou encore les femmes enceintes, sont particulièrement à risque.
On suppose que l’endométriose est causée par de multiples facteurs environnementaux et génétiques. Cependant, son origine exacte reste encore floue. Selon la théorie la plus répandue, les cellules de l'endomètre sont libérées au cours du cycle menstruel et se fixent dans le péritoine pelvien, où elles se développent sous l'influence hormonale. Cependant, cela n’est possible que si la réponse immunitaire est altérée, car un système immunitaire fonctionnant correctement devrait empêcher une croissance cellulaire anormale.
L’apparition et la progression de la parodontite sont favorisées par différents facteurs tels que :
Les fluctuations hormonales, le diabète ou les troubles métaboliques peuvent également être impliqués dans l’apparition de la maladie.
Toutefois, l’immunité doit être considérée comme un élément essentiel : un système immunitaire affaibli ou déséquilibré est un facteur d’aggravation, car un dysfonctionnement des mécanismes de défense empêche l’organisme de prévenir les infections et de réguler l’inflammation.
Par conséquent, pour un traitement réussi de la parodontite, il est essentiel de stabiliser le système immunitaire, en assurant une élimination efficace de la charge bactérienne par les propres mécanismes de défense de l'organisme.
En complément du traitement antibiotique classique, une prise en charge intégrative de la parodontite pourrait également inclure la régulation du système immunitaire du patient. L’objectif est de renforcer ses défenses afin de favoriser une élimination optimale des bactéries. D'autres approches thérapeutiques peuvent être envisagées, telles que l’assainissement intestinal, la détoxification, la gestion du stress et la supplémentation en micronutriments antioxydants.
La micro-immunothérapie, traitement basé sur des découvertes dans le domaine de l'immunologie, est une approche immunorégulatrice visant à rétablir ou à maintenir l'équilibre du système immunitaire. La micro-immunothérapie utilise des substances immunitaires telles que des cytokines (notamment des interleukines, des interférons, des facteurs de croissance, entre autres) et des acides nucléiques à faibles doses et est donc bien tolérée.
Ces substances actives sont administrées selon une séquence spécifique qui imite la cascade des mécanismes immunitaires. Les médicaments de micro-immunothérapie sont pris par voie sublinguale, assurant une absorption rapide et une transmission directe des informations au système immunitaire. Ils sont compatibles avec d’autres approches thérapeutiques et traitements préventifs.
Dans le cas de la parodontite, la micro-immunothérapie vise à prévenir d'autres dommages tissulaires en atténuant l'inflammation, en contrant la résorption osseuse tout en favorisant la formation osseuse et en stimulant la reminéralisation.
La semaine du 3 au 9 mars était la 21e semaine Européenne de prévention et d'information sur l'endométriose.
L’endométriose est une maladie inflammatoire chronique qui touche environ 1 femme sur 10 en âge d'être réglée.
Nous savons que 30 à 40 % des cas d'infertilité sont dus à l'endométriose : si vous êtes professionnel de santé et que le sujet de la fertilité vous intéresse, nous vous invitons à vous inscrire à notre webinaire gratuit demain jeudi 13 mars de 13h à 14h30.
Le sujet, " Fertilité féminine et masculine : un accompagnement naturel au carrefour de la programmation neuro-endocrinologie ", sera présenté par Danielle Boussard, et proposé par IFMi en partenariat avec le laboratoire Lorica.
La fertilité, c’est-à-dire la capacité à concevoir un enfant, dépend de la santé et de la fonction des appareils reproducteurs. L’harmonisation et la préparation du corps et de l’esprit au véritable marathon hormonal féminin et masculin augmentent la fertilité. Au-delà de l’indispensable hygiène de vie, source d’équilibre micronutritionnel et émotionnel, et du rôle redouté des perturbateurs endocriniens, d’autres facteurs importants impactent la fertilité : la santé thyroïdienne, l’inflammation, cœur de cible immunitaire, la dysrégulation hormonale, l’équilibre du microbiote, le stress oxydant, et le stress chronique.
Le replay sera ensuite disponible sur l'espace professionnel IFMi.
L'endométriose est une affection dans laquelle les cellules de l'endomètre, le tissu tapissant l'intérieur de l'utérus qui est expulsé pendant les menstruations, envahissent d'autres tissus de la cavité abdominale (ovaires, trompes de Fallope, vessie, col de l'utérus ou rectum).
Ces cellules endométriales « mal placées » réagissent également à l’augmentation des œstrogènes et de la progestérone, provoquant des saignements et des douleurs quelques jours avant et après les règles. Les femmes atteintes d'endométriose souffrent de règles très douloureuses, mais aussi de troubles digestifs, de fatigue, de douleurs lors des rapports sexuels, de difficultés à tomber enceinte ou même d'infertilité.
On suppose que l’endométriose est causée par de multiples facteurs environnementaux et génétiques. Cependant, son origine exacte reste encore floue. Selon la théorie la plus répandue, les cellules de l'endomètre sont libérées au cours du cycle menstruel et se fixent dans le péritoine pelvien, où elles se développent sous l'influence hormonale. Cependant, cela n’est possible que si la réponse immunitaire est altérée, car un système immunitaire fonctionnant correctement devrait empêcher une croissance cellulaire anormale.
L'inflammation fait partie des troubles immunologiques associées à l'endométriose. Une augmentation de la production d’anticorps liés à l’auto-immunité a également été constatée. Étant donné l'influence majeure des hormones dans cette maladie, un déséquilibre de l’axe psycho-neuroendocrinien-immunitaire pourrait aussi jouer un rôle.
Ces altérations immunitaires entraînent souvent chez les patientes le développement de maladies auto-immunes ou chroniques :
La micro-immunothérapie transmet des signaux séquentiels au système immunitaire grâce à de faibles doses de substances messagères immunitaires. Cette approche douce et durable imite les concentrations naturellement présentes dans l'organisme, permettant ainsi de communiquer efficacement avec le système immunitaire.
Grâce à une administration ciblée, spécifique et séquentielle de cytokines et d’autres messagers immunitaires, la micro-immunothérapie aide à moduler l’inflammation et à réguler la production d’anticorps dans l’endométriose. En rééquilibrant l’axe psycho-neuroendocrinien-immunitaire, elle contribue à soulager les symptômes et à prévenir l’apparition de maladies auto-immunes et chroniques associées.
Les antibiotiques remplissent une fonction très importante et peuvent sauver des vies, mais ils peuvent également avoir des effets secondaires et des conséquences graves. Cela devient particulièrement dangereux en cas de résistance aux antibiotiques. Selon l'OMS, une personne sur trois consomme des antibiotiques sans prescription et en Europe, près de 35 000 décès annuels sont liés à l'inefficacité de certains antibiotiques essentiels.
L'utilisation d’antibiotiques favorise le développement de résistances. C'est pourquoi il est essentiel de déterminer les situations où l'utilisation des antibiotiques est réellement justifiée.
Dans ce cadre, la micro-immunothérapie, qui stimule en douceur et de façon ciblée le système immunitaire, occupe une place essentielle. Un système immunitaire équilibré est capable de lutter contre de nombreux agents pathogènes, limitant ainsi le recours aux médicaments. Découvrez comment renforcer le système immunitaire de votre famille grâce à la micro-immunothérapie, notamment à l'approche de la saison des infections.
Autrefois incurables, certaines infections graves et potentiellement mortelles peuvent désormais être traitées efficacement grâce aux antibiotiques. Cependant, chaque utilisation d’antibiotiques accroît le risque de résistance. Les bactéries ont la capacité de s’adapter aux changements, se multiplient rapidement et modifient leur composition génétique au fil du temps. Cela peut les rendre moins sensibles aux traitements antibiotiques. En conséquence, certains antibiotiques autrefois efficaces perdent leur action, rendant les infections autrefois bénignes plus difficiles à soigner, voire potentiellement mortelles.
De plus, les antibiotiques ne se contentent pas d’éliminer les agents pathogènes nuisibles ; ils impactent également les bactéries bénéfiques essentielles à l’organisme. Cela perturbe notamment le microbiome intestinal, qui joue un rôle central dans le bon fonctionnement du système immunitaire.
Environ 80 % des cellules immunitaires actives se trouvent dans l’intestin, constituant ce que l’on appelle le système immunitaire associé à l’intestin. Grâce à sa grande surface, l’intestin est constamment en contact avec l’environnement, ce qui nécessite une protection optimale. Distinguer les agents pathogènes potentiellement nuisibles des bactéries bénéfiques est une fonction cruciale, ayant un impact direct sur la santé. Un intestin en bonne santé est le signe d’un système immunitaire solide, tandis que des troubles gastro-intestinaux peuvent perturber son fonctionnement.
La principale raison pour laquelle les agents pathogènes deviennent résistants aux antibiotiques est due à une mauvaise utilisation des médicaments. Explications :
Comme nous l’avons évoqué, chaque utilisation d’antibiotiques favorise le développement de résistances. Lorsque ces médicaments sont administrés à tort et trop fréquemment pendant l'enfance, cela peut entraîner des effets néfastes. Par ailleurs, le système immunitaire des enfants n’étant pas encore entièrement développé, il est moins apte à se défendre contre divers agents pathogènes.
Une infection causée par des agents pathogènes résistants est généralement difficile à traiter et tend à être plus grave. Les enfants sont particulièrement vulnérables à ces infections, car leur système immunitaire a moins d'expérience que celui d’un adulte en bonne santé. Cette vulnérabilité concerne également les personnes âgées, celles souffrant de maladies auto-immunes, les patients atteints de cancer et les receveurs de greffes d’organes. En outre, un traitement antibiotique précoce chez les enfants peut perturber le microbiome intestinal, augmentant ainsi la susceptibilité aux allergies, aux troubles gastro-intestinaux, aux infections et à d'autres maladies liées à un affaiblissement du système immunitaire.
Autres faits :
Pour freiner la propagation mondiale de la résistance aux antibiotiques, les scientifiques et les médecins plaident pour une meilleure sensibilisation et une utilisation plus responsable de ces médicaments. Les antibiotiques ne devraient être prescrits que lorsqu'ils sont réellement indispensables. Il est donc essentiel de promouvoir davantage les approches thérapeutiques alternatives et complémentaires.
Commençons par l’essentiel : un système immunitaire sain et équilibré. Il constitue la meilleure prévention contre les infections graves, car il identifie rapidement les agents pathogènes et les combat de manière ciblée. En renforçant cette capacité d’autodéfense, il est souvent possible de limiter, voire d’éviter, le recours aux médicaments.
Cependant, comme le système immunitaire est exposé à diverses influences et stress négatifs dans le monde moderne, il n’est pas toujours facile de maintenir cet équilibre. La micro-immunothérapie apporte un soutien naturel en entraînant le système immunitaire à utiliser ses propres mécanismes de défense, offrant ainsi une prévention efficace et ciblée. Elle repose sur l'utilisation de principes actifs naturels, tels que des cytokines et des acides nucléiques spécifiques, administrés à faibles doses.
En fonction de l'effet recherché, différents niveaux de dilution sont possibles :
Grâce à une modulation précise du système immunitaire, la micro-immunothérapie contribue à renforcer les défenses naturelles et à favoriser la santé globale. Elle permet à l’organisme de mieux se protéger contre divers agents pathogènes et de se guérir lui-même, voire de prévenir certaines maladies. Adaptée aussi bien aux enfants qu’aux adultes, elle constitue une approche douce et efficace pour soutenir le système immunitaire.
Nous sommes disponibles pour répondre à toutes vos interrogations autour de la micro-immunothérapie : ifmi@microimmuno.fr
Depuis que je suis étudiante, je m'intéresse aux possibilités de traitement holistique, à régulation douce et sans effets secondaires.
Influencée par de nombreuses expériences avec des maladies auto-immunes, des inflammations chroniques et des déséquilibres immunitaires, j'ai découvert la micro-immunothérapie en 1996 et j'ai tout de suite su que c'était ce qui manquait à mon arsenal thérapeutique. Aujourd'hui encore, la micro-immunothérapie représente une approche diagnostique et thérapeutique extrêmement importante dans ma pratique holistique quotidienne. Sur la base d'un diagnostic spécial et pratique, qui repose sur une anamnèse précise et une analyse du statut immunologique, les causes réelles des symptômes, troubles et maladies les plus divers peuvent être identifiées. Les réactivations virales cachées et chroniques, souvent accompagnées d'une inflammation silencieuse, en font fréquemment partie.
Mon conseil : Si vous ou vos enfants souffrez d'allergies, de sensibilité aux infections, de fatigue chronique ou d'une maladie auto-immune, la micro-immunothérapie peut vous aider à retrouver votre équilibre immunitaire. La micro-immunothérapie peut également s'avérer une aide précieuse grâce à ses possibilités diagnostiques, thérapeutiques et prophylactiques, même lorsque vos symptômes et troubles sont peu clairs ou difficiles à identifier. Ainsi, les capacités naturelles d'autorégulation conduisent à une efficacité optimale et durable.
Dr. Ursula Bubendorfer
Chaque jour, le corps est en constante exposition à une variété d'influences et de substances diverses.
Lorsque nous absorbons des substances étrangères par les muqueuses du nez par exemple, de la peau ou par le tractus gastro-intestinal, le corps vérifie s'il s'agit d'éventuels agents pathogènes.
Si le contrôle est positif, des fonctions de défense complexes sont immédiatement mises en œuvre pour neutraliser l'agent pathogène.
Il arrive toutefois que le système immunitaire fasse une erreur de diagnostic et que des substances en réalité inoffensives soient considérées comme dangereuses. C'est également le cas de l'allergie : le système immunitaire réagit de manière excessive à des substances en principe inoffensives.
Rôle potentiel du médicament de micro-immunothérapie 2LALERG dans le traitement de l'inflammation allergique induite par le pollen.
La pollinisation hivernale pour les arbres et arbustes a généralement lieu de la mi-janvier à mai. C'est donc dès maintenant que vous pouvez agir sur ces allergies !
La Dre. Ilse Fleck-Václavik se consacre au traitement holistique dans son cabinet de médecine générale à Perchtoldsdorf, en Basse-Autriche. Auparavant, après ses études de médecine à l'université de Vienne, elle a travaillé à l'hôpital général et dans d'autres hôpitaux de la capitale du pays. Fidèle à son motto "La force de la guérison", elle propose dans son cabinet depuis 2004 de nombreuses méthodes différentes qu'elle utilise en tant que médecin généraliste pour la santé de ses patients.
Parmi celles-ci, la micro-immunothérapie, qui fait partie de son répertoire de méthodes de diagnostics complémentaires ainsi que de traitement des allergies. La médecine conventionnelle propose principalement des thérapies symptomatiques (p. ex. antihistaminiques, sprays à base de cortisone). En outre, on tente de rendre le corps moins sensible à l'allergène connu par le biais de "désensibilisations". L'objectif des thérapies complémentaires est de modifier fondamentalement l'organisme et, dans l'idéal, d'obtenir la guérison de l'allergie.
Dr Ilse Fleck-Václavik
La glande thyroïde, située dans le cou est un organe à la forme d’un papillon à deux ailes. Il s'agit d'une glande hormonale essentielle au bon fonctionnement de notre organisme. Elle joue un rôle clé dans la croissance, le développement et le métabolisme. Mais que se passe-t-il lorsque cette glande perd sa synchronisation de manière permanente ? Avant de se concentrer sur la thyroïdite de Hashimoto, ses symptômes et ses traitements, nous vous proposons de faire un rapide tour d’horizon de cette glande vitale pour notre santé.
La glande thyroïde est située sous le larynx et est divisée en deux lobes latéraux reliés par une étroite bande de tissu. La partie supérieure de la thyroïde est plutôt allongée et étroite, tandis que la partie inférieure est un peu plus large et plus courte.
La glande thyroïde absorbe l'iode et l'utilise pour produire deux hormones iodées, la T3 (triiodothyronine) et la T4 (thyroxine). En outre, l'hormone calcitonine est également produite, jouant un rôle essentiel dans la formation des os. Les hormones thyroïdiennes interagissent étroitement avec d’autres hormones du corps, ce qui implique la thyroïde dans de nombreux processus. Ceux-ci inclus:
Les troubles de la glande thyroïde, qui perturbent la production et la libération des hormones thyroïdiennes, ont souvent des répercussions sur plusieurs organes et systèmes, tels que le système cardiovasculaire, le psychisme, les muscles, les os, la peau et la fonction sexuelle. On distingue principalement deux types de dysfonctionnements thyroïdiens : l’hyperthyroïdie (activité excessive de la thyroïde) et l’hypothyroïdie (activité insuffisante de la thyroïde).
Dans la maladie de Hashimoto, l'hypothyroïdie résulte fréquemment de dommages au tissu thyroïdien, ce qui réduit la production d'hormones thyroïdiennes. Ces dommages sont causés par une inflammation chronique liée à une réaction auto-immune de l'organisme.
Les maladies auto-immunes posent encore de nombreux défis à la médecine. Dans ces pathologies, les mécanismes de défense du corps, normalement destinés à nous protéger des agents pathogènes, se retournent contre les tissus sains. Dans le cas de la thyroïdite de Hashimoto, par exemple, le système immunitaire provoque une inflammation ciblant les cellules de la glande thyroïde.
Mais pourquoi cela se produit-il ? Les causes de la maladie de Hashimoto restent en grande partie méconnues. Chez les personnes atteintes de Hashimoto, les mécanismes de défense du système immunitaire s'attaquent aux propres tissus du corps. Cela suggère qu’un dysfonctionnement du système immunitaire joue un rôle clé dans le développement de ces réactions auto-immunes. La micro-immunothérapie, dont nous parlerons plus en détail à la fin de cet article, vise à rétablir ces déséquilibres et à restaurer l’harmonie du système immunitaire.
Parmi les autres causes potentielles et facteurs de risque figurent la prédisposition génétique, l’intolérance au gluten, une carence en vitamine D, un excès d’œstrogènes, la résistance à l’insuline, le stress, l’exposition aux toxines et métaux lourds, les inflammations chroniques, ainsi que certaines infections, comme le virus Epstein-Barr (EBV).
Les symptômes de la thyroïdite de Hashimoto peuvent être très divers, ce qui rend parfois difficile le diagnostic de cette maladie. Certains patients endurent un long voyage de souffrance avant de recevoir un diagnostic et d'obtenir enfin une certitude quant à la cause de leurs symptômes.
Les symptômes fréquemment observés incluent :
Chez la majorité des patients atteints de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie se développe progressivement, entraînant des symptômes caractéristiques tels qu'une asthénie, une prise de poids malgré une alimentation saine, une bradycardie, une peau sèche et des irrégularités menstruelles. Plus rarement, la maladie peut évoluer vers une hyperthyroïdie, dans ce cas, les symptômes peuvent inclure une perte de poids, de l'agitation, de l'anxiété, des sudations excessives, des tremblements, des troubles digestifs et des insomnies.
Étant donné que le syndrome de Hashimoto affecte également différents organes, des manifestations cliniques supplémentaires peuvent se manifester dans d'autres régions.
La production insuffisante d’hormones thyroïdiennes peut être compensée par la prise de médicaments. Les médecins prescrivent généralement :
Bien que ces médicaments parviennent à corriger le déficit hormonal, ils ne peuvent cependant pas guérir cette maladie auto-immune. Certains patients peuvent continuer à se sentir mal, même avec des niveaux hormonaux régulés. Il est donc intéressant de concevoir des plans de traitement personnalisés pour chaque individu. Les approches thérapeutiques doivent inclure une activité physique adaptée, une modification du régime alimentaire vers une alimentation alcaline avec des aliments frais et sans gluten, ainsi qu'une supplémentation en sélénium et/ou en vitamine D.
Dans la maladie de Hashimoto, la micro-immunothérapie apporte un soutien doux en soutenant la régulation du système immunitaire.
Grâce à de faibles doses de médiateurs immunitaires (par exemple des cytokines, des acides nucléiques spécifiques), elle transmet des informations séquentielles au système immunitaire, visant à rétablir l'équilibre entre les mécanismes pro-inflammatoires (cellules TH1) et anti-inflammatoires (cellules TH2).
L'objectif de la thérapie est de réduire la réaction auto-immune, et donc l'inflammation chronique, dans la mesure où les lésions tissulaires sont minimisées.
Dans des cas de patient souffrant de la maladie d'Hashimoto, on observe souvent une réactivation de l'EBV (virus Epstein-Barr), ce qui alourdit encore davantage l'organisme. Dans ces cas, une formule de micro-immunothérapie spécifique pour traiter une infection/réactivation à EBV peut être utilisée. Grâce à l'action immunorégulatrice de la micro-immunothérapie, la défense antivirale peut être soutenue afin que le système immunitaire reprenne le contrôle du virus, le ramenant à son « état dormant » (phase latente).
Dans l'état actuel des connaissances, la maladie d'Hashimoto est malheureusement incurable mais on peut limiter ses effets négatifs sur le corps. En particulier pour les maladies chroniques, il existe un fort besoin de traitements doux tels que la micro-immunothérapie.
En raison de la fréquente coexistence de multiples plaintes et pathologies (multimorbidité) chez les patients atteints de la maladie de Hashimoto, ces derniers doivent souvent suivre un traitement médicamenteux complexe, comprenant plusieurs médicaments.
La micro-immunothérapie peut ici apporter un soutien en restaurant la fonction immunitaire, améliorant ainsi la tolérance et l’efficacité d’autres traitements. Cela peut même aider à réduire leur dose.
J'ai développé une thyroïdite de Hashimoto à la suite d'une infection chronique par le virus EBV. J'ai pris de la micro-immunothérapie pendant un an et demi. Je suis aujourd'hui une personne complètement transformée. Ce traitement m'a beaucoup aidée.
Finja K.
Les possibilités de traitement du psoriasis se sont améliorées au cours des dernières décennies et il est aujourd'hui possible d'assurer aux patients une meilleure qualité de vie. Toutefois, beaucoup de personnes, y compris celles directement concernées, ne sont pas pleinement informées des détails de la maladie et des nombreuses options de traitement disponibles.
Le psoriasis se caractérise souvent par des poussées, particulièrement marquées en automne et en hiver. Durant ces saisons, de nombreuses personnes concernées constatent une aggravation de leurs symptômes. Comment prendre soin de la peau pendant la période hivernale ? Quelles solutions complémentaires peuvent être envisagées pour gérer le psoriasis ?
Le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique de la peau. Bien qu'il ne soit pas contagieux, le psoriasis a souvent un impact social en raison de son apparence marquante, il a généralement un effet dissuasif sur l'entourage. Cela peut conduire à l'exclusion et au rejet des personnes qui en souffrent. La honte joue alors un rôle significatif dans l'apparition de cette maladie.
La raison de cette apparition provient d'une maladie systémique auto-immune. Cela signifie que le corps dirige ses mécanismes de défense contre ses propres tissus.
Lorsque le corps est en bonne santé, son système immunitaire veille à ce que l'organisme soit protégé contre les envahisseurs nocifs.
Une fois les agents pathogènes identifiés, le système immunitaire envoie des signaux qui déclenchent des processus inflammatoires pour neutraliser les bactéries et les virus et les éliminer de l'organisme. Mais en cas de dysfonctionnement du système immunitaire, une telle inflammation peut se diriger vers différentes zones du corps et devenir chronique.
Dans le cas du psoriasis, le processus de renouvellement de la peau est altéré. En raison de causes encore inexpliquées, le corps produit beaucoup trop rapidement de nouvelles cellules cutanées. En bonne santé, le cycle dure environ 28 jours, alors que chez un patient atteint de psoriasis, il ne dure que trois à quatre jours. De ce fait, les cellules cutanées ne mûrissent pas et s'accumulent, ce qui se traduit à son tour par l'aspect typique des squames blanc argenté sur un fond rouge enflammé. Il en résulte ce que l'on appelle une kératinisation excessive (des plaques). De plus, les personnes affectées éprouvent généralement des démangeaisons intenses. Le grattage peut, à son tour, entraîner des plaies, des inflammations supplémentaires, voire des infections.
Comme mentionné précédemment, les zones sèches, squameuses et prurigineuses de la peau apparaissent par poussées. Chez de nombreuses personnes concernées, le stress, les changements hormonaux, les blessures de la peau (par ex. coupures ou coups de soleil), le grattage ou d'autres irritations mécaniques ainsi que certaines prises de médicaments sont considérés comme des déclencheurs aggravants. Les infections peuvent également déclencher une poussée de psoriasis.
En hiver, de nombreux patients remarquent que les poussées de psoriasis s'intensifient. Cela s'explique notamment par la réduction du rayonnement solaire durant la saison froide, ce qui expose la peau à moins de rayons UV. Ces rayons possèdent des propriétés anti-inflammatoires, ce qui explique pourquoi les personnes atteintes de psoriasis présentent généralement moins de symptômes et de poussées en été. De plus, la peau a tendance à se dessécher plus rapidement en automne et en hiver. Cela s'explique notamment par les variations climatiques, telles qu'un vent plus fort et une baisse de l'humidité ambiante, ainsi que par l'air sec des systèmes de chauffage. Les variations brutales entre la chaleur des intérieurs et le froid extérieur aggravent également l'irritation de la peau.
Pour prévenir une aggravation du psoriasis en hiver, des soins cutanés appropriés constituent une première étape essentielle. Les pommades riches en corps gras sont particulièrement recommandées pour les personnes atteintes de psoriasis, car elles hydratent la peau tout en lui apportant des lipides, aidant ainsi à réduire la sécheresse et les démangeaisons. En raison de leur absorption lente, ces produits restent longtemps dans la peau, assurant un soin prolongé.
Le choix des vêtements joue également un rôle important. Les zones cutanées sensibles doivent être protégées du froid, tout en veillant à éviter l'humidité et la chaleur excessive qui peuvent aggraver l'irritation. Pour cela, privilégiez des vêtements fabriqués dans des tissus respirants, favorisant une bonne circulation de l'air.
Il est essentiel de suivre attentivement le traitement personnalisé du psoriasis. Pour les poussées légères, des pommades spécifiques, telles que celles à base de cortisone, sont généralement efficaces. En cas de poussées modérées à sévères, les médecins recommandent souvent des thérapies par rayons UV, des traitements médicamenteux ou des injections.
Il est également possible d’hydrater la peau de l’intérieur. Les personnes atteintes de psoriasis devraient veiller à boire en quantité suffisante, en privilégiant l’eau et les infusions non sucrées. Par ailleurs, le stress étant un facteur aggravant du psoriasis, il est important de préserver son bien-être physique et mental. Des exercices de relaxation ciblés ainsi que des périodes de repos contribuent à réduire le stress, ce qui peut avoir un impact positif sur la gestion de la maladie.
Autre facteur, il est conseillé de limiter la consommation d’alcool. Pendant les fêtes de fin d’année, par exemple, de nombreux patients observent une aggravation de leur psoriasis après avoir bu en compagnie de leurs proches. En effet, l’alcool peut non seulement déclencher, mais aussi aggraver les processus inflammatoires.
Un conseil pratique pour gérer les périodes de poussées intenses de psoriasis est de tenir un journal détaillé. Notez les moments où votre état cutané s’est aggravé, ainsi que vos actions, votre alimentation, vos boissons, les vêtements portés, les particularités observées et les produits de soin utilisés. Ce journal vous aidera à identifier plus facilement les déclencheurs potentiels et à mieux les éviter à l’avenir.
La micro-immunothérapie constitue une approche complémentaire qui soutient le système immunitaire de manière douce, contribuant ainsi à réduire les symptômes. En effet, un système immunitaire équilibré n'attaque pas les tissus propres du corps. Cette thérapie vise notamment à diminuer les zones d'inflammation, ce qui permet de réduire la fréquence et l'intensité des poussées de psoriasis.
Cette thérapie peut être utilisée aussi bien à titre préventif que pour agir dans les cas aigus. Votre médecin ou thérapeute discutera avec vous de l'application exacte. Si vous n'en connaissez pas, n'hésitez pas à consulter notre carte qui référence des professionnels qui maîtrisent cette thérapie et pourrons vous accompagner dans la prise en charge globale du psoriasis.
La micro-immunothérapie utilise des substances naturelles du corps, telles que des cytokines et des facteurs de croissance, à des doses très faibles (low dose et ultra-low dose). En raison de cette approche, elle est généralement très bien tolérée. Elle peut être utilisée en complément d'autres traitements, sans qu'aucune interaction négative n'ait été observée à ce jour.
Contactez-nous si vous avez des questions sur la micro-immunothérapie ! Nous seront ravis de vous répondre > ifmi@microimmuno.fr
L'inflammation chronique, un phénomène persistant et souvent insidieux, est associée à une multitude de maladies graves, telles que les maladies cardiovasculaires, les cancers, le diabète, et les maladies auto-immunes. Malgré les traitements traditionnels, la gestion de l'inflammation chronique reste un défi majeur en médecine. C'est dans ce contexte que la micro-immunothérapie suscite un intérêt croissant. Cette approche innovante, qui repose sur l'utilisation de substances naturelles à faibles doses pour moduler le système immunitaire, pourrait offrir une solution complémentaire dans le traitement de l'inflammation chronique. Une étude scientifique de 2022 explore la place de la micro-immunothérapie dans ce domaine, en évaluant ses effets sur l'atténuation de l'inflammation à long terme et ses bénéfices potentiels pour les patients souffrant de maladies inflammatoires chroniques.
Cette recherche ouvre la voie à de nouvelles perspectives thérapeutiques, visant à améliorer la gestion de l'inflammation et à réduire ses impacts sur la santé à long terme.
Étude des effets anti-inflammatoires cellulaires de différentes formulations de micro-immunothérapie : analyse des contextes d'inflammation intestinale en lien avec l'axe immunitaire et neuronal.
L'inflammation chronique est une forme d'inflammation "classique" qui persiste sur une longue période, pouvant durer de plusieurs mois à plusieurs années.
Contrairement à l'inflammation aiguë, qui est une réponse naturelle du corps pour favoriser la guérison, l'inflammation chronique est un signal négatif. En effet, le corps perçoit une menace continue (même si ce n'est pas le cas) et réagit de manière excessive en activant son système immunitaire, avec l'aide des globules blancs et d'autres messagers chimiques.
Ce phénomène devient particulièrement préoccupant, car les recherches récentes montrent que l'inflammation chronique est liée à de nombreuses maladies graves, telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète, certains cancers, les maladies rénales, ainsi que les maladies auto-immunes et dégénératives.
Mona, comme beaucoup de mères, prend soin de la santé de toute sa famille. Son mari souffre d’une rhinite allergique, ses enfants sont souvent touchés par des infections courantes et elle a une maladie inflammatoire chronique de l'intestin depuis de nombreuses années.
Comment avez-vous entendu parler de la micro-immunothérapie ?
C’est mon médecin de famille qui me l'a recommandée. Il s'agit d'un traitement très bien toléré et qui peut être associé en complément d'autres médicaments. Nous avons choisi la micro-immunothérapie parce qu'elle soutient le système immunitaire de manière naturelle.
Que vous a apporté ce traitement ?
Les autres médicaments ne traitent souvent que les symptômes. Avec le temps, les troubles réapparaissent. Depuis que nous utilisons la micro-immunothérapie, nous avons observé une certaine stabilité de notre état de santé. Les enfants développent plus rarement des infections et les symptômes d'allergie de mon mari ont presque complètement disparu. Je me sens à nouveau plus vivante et beaucoup moins limitée dans ma vie quotidienne. La micro-immunothérapie a donc changé notre vie.
Comment prenez-vous le traitement ?
Chacun d'entre nous prend une formule de micro-immunothérapie différente. Il suffit d'ouvrir les gélules et de verser les granules qu'elles contiennent sous la langue. Le traitement est très facile à prendre, surtout pour les enfants. Aujourd'hui, mon mari et les enfants l'utilisent principalement à titre préventif.
Est-ce que vous pourriez recommander ce traitement ?
Absolument ! Nous sommes ravis de la micro-immunothérapie et nous l'avons déjà conseillée à des proches.
Le système immunitaire joue un rôle crucial pour préserver notre santé.
Un système immunitaire en bonne santé détecte et neutralise rapidement les virus, bactéries, germes ou cellules nocives, protégeant ainsi l’organisme. Cependant, il arrive parfois que cette défense se retourne contre le corps lui-même, attaquant les tissus sains et les cellules normales. Ces réactions, connues sous le nom de maladies auto-immunes, soulèvent de nombreuses questions : quelles en sont les causes ? Existe-t-il des traitements curatifs ? Quel rôle joue la micro-immunothérapie dans leur prise en charge ? Nous vous apportons des réponses à ces interrogations.
Avant d'aborder les maladies auto-immunes, il est essentiel de comprendre le fonctionnement général du système immunitaire. Inutile toutefois de plonger dans des détails complexes, car cette défense naturelle est un réseau extrêmement sophistiqué et interconnecté, remplissant de multiples fonctions. Elle repose sur une collaboration étroite entre différents organes, cellules et protéines, qui communiquent en permanence pour réagir efficacement à diverses situations.
Le système immunitaire est composé de deux éléments principaux : le système immunitaire inné et le système immunitaire adaptatif. Lorsqu’un agent pathogène pénètre dans l’organisme, un système immunitaire sain le reconnaît immédiatement. La réponse immunitaire innée intervient automatiquement pour neutraliser l’intrus. Si cette première ligne de défense réussit, les résidus sont éliminés, et l’équilibre est rétabli.
Cependant, dans certains cas, la réponse innée ne suffit pas et nécessite une intervention plus spécifique. Grâce à des substances messagères appelées cytokines, d’autres acteurs du système immunitaire sont mobilisés : c’est là que le système immunitaire adaptatif entre en jeu. Ce dernier utilise des cellules immunitaires spécialisées qui ciblent les agents pathogènes de manière précise, notamment en produisant des anticorps. Les informations sur ces agents sont ensuite stockées dans la mémoire immunologique, permettant une réaction plus rapide et efficace en cas de future exposition.
En résumé, les réactions immunitaires sont des processus inflammatoires ciblés destinés à éliminer les éléments perçus comme nuisibles. Une fois les intrus neutralisés, l’inflammation disparaît et l’organisme retrouve son équilibre.
Lorsqu’on s’interroge sur les maladies auto-immunes et leur origine, le rôle central du système immunitaire est à nouveau mis en lumière. Dans ces cas, le système immunitaire identifie à tort des structures saines et intactes de l’organisme comme étant des menaces. Il déclenche alors ses mécanismes de défense habituels pour attaquer ces composants supposés nocifs. Ces réactions inflammatoires persistantes finissent par endommager les cellules, ce qui peut provoquer des symptômes et des troubles à long terme.
Les causes exactes des maladies auto-immunes restent encore mal comprises en médecine. Ce qui est certain, c’est qu’il s’agit d’une erreur du système immunitaire. On suppose qu’un affaiblissement ou une dérégulation de celui-ci en est à l’origine.
Divers facteurs peuvent affaiblir le système immunitaire et, par conséquent, augmenter le risque de développer une maladie auto-immune, parmi lesquels :
Les scientifiques estiment que l'apparition des maladies auto-immunes résulte d'une combinaison de facteurs, incluant des prédispositions héréditaires, des influences hormonales, des déclencheurs viraux et des éléments environnementaux.
Une étude récente suggère qu'un lien entre le COVID-19 et l'apparition de maladies auto-immunes est envisageable. Des scientifiques canadiens ont suivi régulièrement des personnes atteintes d'une infection au COVID-19 ou de COVID Long sur une période de douze mois, en les comparant à deux groupes témoins : l'un composé de personnes en bonne santé et l'autre de patients atteints d'une autre maladie respiratoire. Leurs recherches ont révélé que les patients atteints du COVID Long développaient des auto-anticorps, ce sont des anticorps qui s'attaquent aux propres cellules de l'organisme. Environ 80 % des patients atteints de COVID Long présentaient ces auto-anticorps dans leur sang après trois et six mois, un pourcentage qui restait encore de 41 % au bout de douze mois. En revanche, ces auto-anticorps étaient peu voire pas détectés dans les groupes témoins. Ces résultats amènent les scientifiques à conclure qu'une infection au COVID-19 pourrait augmenter le risque de développer des maladies auto-immunes.
Il existe une grande variété de maladies auto-immunes. On en recense actuellement plus de 100.
Elles peuvent être classées dans les deux catégories suivantes :
Différentes maladies auto-immunes peuvent survenir si votre système immunitaire est affaibli.
On estime qu’environ cinq à huit pour cent de la population mondiale souffrent de maladies auto-immunes.
Le nombre de cas non diagnostiqués est probablement bien plus élevé, en particulier pour des maladies discrètes ou non spécifiques, comme l'inflammation silencieuse. En En France, les maladies auto-immunes représentent le troisième groupe le plus important après les maladies cardiovasculaires et les cancers.
Les symptômes des maladies auto-immunes varient en fonction du type de maladie et peuvent également différer d’une personne à l’autre, même pour une même affection. Il est donc essentiel de réaliser un examen approfondi et un diagnostic différentiel auprès d’un médecin.
La micro-immunothérapie occupe une fonction régulatrice dans le traitement des maladies auto-immunes. Elle ne se concentre pas seulement sur le soulagement des symptômes, car elle travaille directement sur le système immunitaireafin de minimiser en douceur les réactions inadéquates.
Tout cela est possible grâce aux cytokines qu'elle contient - les substances messagères que le corps lui-même utilise pour assurer la communication entre les différents acteurs immunitaires. Les composants des micro-immunothérapie sont présents à très faibles doses ( faible dose et ultra-faible dose ), afin de garantir un effet très doux sur le système immunitaire, n'interférant pas de manière agressive sur les processus naturels. Il s’agit plutôt d’une ré-éducation du système immunitaire, qui vise à restaurer des réactions immunitaires adéquates.
Intéressons tout particulièrement aux cellules dites TH-1 et TH-2 : l’équilibre entre ces cellules devrait être rétabli grâce à la micro-immunothérapie. Les cellules TH-1, aux propriétés anti-inflammatoires, sont ciblées pour être modulées par la micro-immunothérapie. Parallèlement, il est essentiel d'inhiber l'activité des cellules TH-2, qui favorisent les processus inflammatoires.
En maîtrisant efficacement les processus inflammatoires dans l'organe concerné ou dans l'ensemble du corps, les symptômes et les inconforts associés diminuent également. Concrètement, cela signifie une réduction de la fatigue, une meilleure productivité et un bien-être accru. L'expérience montre que des problèmes tels que les douleurs articulaires et musculaires, les maux de tête, les troubles digestifs ou les irritations cutanées s'atténuent également lorsque le système immunitaire retrouve sa santé et sa vigueur.
Le système immunitaire doit être soigné et soutenu quotidiennement, d'autant plus dans le cadre de maladies auto-immunes. Ainsi, nous permettons à notre corps de se soutenir naturellement tout en diminuant activement le risque d’apparition de diverses maladies.
Vous trouverez des conseils pour prendre soin de votre système immunitaire dans la section suivante.
À ce jour, les maladies auto-immunes ne peuvent pas être guéries, mais elles peuvent être efficacement prises en charge. Pour ce faire, les déclencheurs potentiels doivent être identifiés, tels que les virus comme le virus d'Epstein-Barr et les virus du papillome humain, afin que la thérapie puisse être ciblée en conséquence.
Une partie importante de la thérapie consiste à renforcer le système immunitaire afin de réduire les processus inflammatoires dans le corps.
Pour restaurer l'équilibre naturel du système immunitaire, les mesures que nous avons déjà mentionnées à plusieurs reprises dans nos articles, se révèlent particulièrement utiles, notamment :
🔹 Optez pour une alimentation saine et équilibrée, composée d'ingrédients frais, riches en vitamines, agrémentée d'herbes, d'épices, et incluant des produits à base de grains entiers.
🔹 Limitez la consommation de produits industriels transformés, souvent riches en sel, en additifs superflus et en quantités excessives de sucre.
🔹 Buvez beaucoup (surtout de l'eau, des thés non sucrés et des jus de fruits).
🔹 Faites du sport, de l'exercice physique – de préférence en plein air.
🔹 Reposez-vous et détendez-vous, réduisez le stress.
🔹 Favorisez un sommeil de qualité, réparateur.
🔹 Réduisez autant que possible votre exposition aux toxines environnementales.
🔹 Éviter la consommation de stimulants tels que l’alcool et la nicotine.
🔹 Évaluez avec médecin la possibilité de réduire votre prise de médicaments.
🔹 Soutenez en douceur du système immunitaire grâce à la micro-immunothérapie.
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Si vous êtes patient, pour toute question autour de la micro-immunothérapie, nous vous invitons à consulter la carte des médecins et thérapeutes spécialistes de la thérapie afin d'obtenir des réponses et bénéficier du traitement qui vous conviendra.
Je suis née en Allemagne en 1961. Je suis le genre de personne qui passe ses journées à s'activer et ne s'arrête jamais.
J'ai commencé à souffrir de diarrhée il y a 15 ans. Au début, c'était par périodes, lorsque j'étais stressée ou face à des situations inhabituelles. Ces problèmes se sont tellement aggravés jusqu'en avril 2020 qu'il était devenu exceptionnel pour moi d'avoir un transit intestinal normal. Ni les endoscopies gastro-intestinales, ni les tests en laboratoire, ni la modification de mes habitudes alimentaires ou l'abandon de certains aliments ne m'ont aidée sur le long terme.
De plus, j'ai commencé à souffrir d'arthrose au niveau des mains. La perte de mobilité et la douleur s'aggravaient. Les fractures osseuses, les interventions chirurgicales et la fatigue articulaire ont entraîné des œdèmes et des épaississements.
À ce moment-là, j'ai eu la possibilité de prendre des formules de micro-immunothérapie sans interrompre la prise des autres médicaments.
Dès la première semaine de traitement, j'ai eu l'impression que l'œdème de mon pied, opéré en avril 2019, s'atténuait, tout comme les restrictions de mouvement qui en découlaient. La combinaison de micro-immunothérapie et de séances de kinésithérapie s'est révélée gagnante dès le deuxième jour de traitement et m'a permis de remarcher sans douleur après 3 mois. Cependant, un léger œdème persiste au niveau de mon pied à cause de l'arthrose.
La micro-immunothérapie a également eu un effet bénéfique sur mes problèmes intestinaux : 3 mois plus tard, je pouvais sortir de chez moi sans craindre une éventuelle diarrhée.
Ellen K.