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IFMi, l’Institut Français de Micro-immunothérapie

Chaque jour, le corps est en constante exposition à une variété d'influences et de substances diverses.

Lorsque nous absorbons des substances étrangères par les muqueuses du nez par exemple, de la peau ou par le tractus gastro-intestinal, le corps vérifie s'il s'agit d'éventuels agents pathogènes.

Si le contrôle est positif, des fonctions de défense complexes sont immédiatement mises en œuvre pour neutraliser l'agent pathogène.

Il arrive toutefois que le système immunitaire fasse une erreur de diagnostic et que des substances en réalité inoffensives soient considérées comme dangereuses. C'est également le cas de l'allergie : le système immunitaire réagit de manière excessive à des substances en principe inoffensives.

Rôle potentiel du médicament de micro-immunothérapie 2LALERG dans le traitement de l'inflammation allergique induite par le pollen.

La pollinisation hivernale pour les arbres et arbustes a généralement lieu de la mi-janvier à mai. C'est donc dès maintenant que vous pouvez agir sur ces allergies !



La Dre. Ilse Fleck-Václavik se consacre au traitement holistique dans son cabinet de médecine générale à Perchtoldsdorf, en Basse-Autriche. Auparavant, après ses études de médecine à l'université de Vienne, elle a travaillé à l'hôpital général et dans d'autres hôpitaux de la capitale du pays. Fidèle à son motto "La force de la guérison", elle propose dans son cabinet depuis 2004 de nombreuses méthodes différentes qu'elle utilise en tant que médecin généraliste pour la santé de ses patients. 
Parmi celles-ci, la micro-immunothérapie, qui fait partie de son répertoire de méthodes de diagnostics complémentaires ainsi que de traitement des allergies. La médecine conventionnelle propose principalement des thérapies symptomatiques (p. ex. antihistaminiques, sprays à base de cortisone). En outre, on tente de rendre le corps moins sensible à l'allergène connu par le biais de "désensibilisations". L'objectif des thérapies complémentaires est de modifier fondamentalement l'organisme et, dans l'idéal, d'obtenir la guérison de l'allergie.

Dr Ilse Fleck-Václavik

La glande thyroïde, située dans le cou est un organe à la forme d’un papillon à deux ailes. Il s'agit d'une glande hormonale essentielle au bon fonctionnement de notre organisme. Elle joue un rôle clé dans la croissance, le développement et le métabolisme. Mais que se passe-t-il lorsque cette glande perd sa synchronisation de manière permanente ? Avant de se concentrer sur la thyroïdite de Hashimoto, ses symptômes et ses traitements, nous vous proposons de faire un rapide tour d’horizon de cette glande vitale pour notre santé.

  1. Glande thyroïde
  2. Auto-immunité : le corps contre lui-même
  3. Reconnaître la maladie de Hashimoto : symptômes courants et diagnostics
  4. Traitement de Hashimoto : quelles sont les options thérapeutiques disponibles ?
  5. La place de la micro-immunothérapie dans le traitement de la thyroïdite de Hashimoto

La glande thyroïde est située sous le larynx et est divisée en deux lobes latéraux reliés par une étroite bande de tissu. La partie supérieure de la thyroïde est plutôt allongée et étroite, tandis que la partie inférieure est un peu plus large et plus courte.

La glande thyroïde absorbe l'iode et l'utilise pour produire deux hormones iodées, la T3 (triiodothyronine) et la T4 (thyroxine). En outre, l'hormone calcitonine est également produite, jouant un rôle essentiel dans la formation des os. Les hormones thyroïdiennes interagissent étroitement avec d’autres hormones du corps, ce qui implique la thyroïde dans de nombreux processus. Ceux-ci inclus:

  1. le cœur et le système vasculaire (dilatation des vaisseaux sanguins, augmentation de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle);
  2. la stimulation du métabolisme des lipides, des glucides et du tissu conjonctif;
  3. l'activation des glandes sébacées et sudoripares;
  4. l'augmentation de l'activité intestinale;
  5. la stimulation des cellules nerveuses.

Les troubles de la glande thyroïde, qui perturbent la production et la libération des hormones thyroïdiennes, ont souvent des répercussions sur plusieurs organes et systèmes, tels que le système cardiovasculaire, le psychisme, les muscles, les os, la peau et la fonction sexuelle. On distingue principalement deux types de dysfonctionnements thyroïdiens : l’hyperthyroïdie (activité excessive de la thyroïde) et l’hypothyroïdie (activité insuffisante de la thyroïde).

Dans la maladie de Hashimoto, l'hypothyroïdie résulte fréquemment de dommages au tissu thyroïdien, ce qui réduit la production d'hormones thyroïdiennes. Ces dommages sont causés par une inflammation chronique liée à une réaction auto-immune de l'organisme.

Les maladies auto-immunes posent encore de nombreux défis à la médecine. Dans ces pathologies, les mécanismes de défense du corps, normalement destinés à nous protéger des agents pathogènes, se retournent contre les tissus sains. Dans le cas de la thyroïdite de Hashimoto, par exemple, le système immunitaire provoque une inflammation ciblant les cellules de la glande thyroïde.

Mais pourquoi cela se produit-il ? Les causes de la maladie de Hashimoto restent en grande partie méconnues. Chez les personnes atteintes de Hashimoto, les mécanismes de défense du système immunitaire s'attaquent aux propres tissus du corps. Cela suggère qu’un dysfonctionnement du système immunitaire joue un rôle clé dans le développement de ces réactions auto-immunes. La micro-immunothérapie, dont nous parlerons plus en détail à la fin de cet article, vise à rétablir ces déséquilibres et à restaurer l’harmonie du système immunitaire.

Parmi les autres causes potentielles et facteurs de risque figurent la prédisposition génétique, l’intolérance au gluten, une carence en vitamine D, un excès d’œstrogènes, la résistance à l’insuline, le stress, l’exposition aux toxines et métaux lourds, les inflammations chroniques, ainsi que certaines infections, comme le virus Epstein-Barr (EBV).

Les symptômes de la thyroïdite de Hashimoto peuvent être très divers, ce qui rend parfois difficile le diagnostic de cette maladie. Certains patients endurent un long voyage de souffrance avant de recevoir un diagnostic et d'obtenir enfin une certitude quant à la cause de leurs symptômes.

Les symptômes fréquemment observés incluent :

Chez la majorité des patients atteints de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie se développe progressivement, entraînant des symptômes caractéristiques tels qu'une asthénie, une prise de poids malgré une alimentation saine, une bradycardie, une peau sèche et des irrégularités menstruelles. Plus rarement, la maladie peut évoluer vers une hyperthyroïdie, dans ce cas, les symptômes peuvent inclure une perte de poids, de l'agitation, de l'anxiété, des sudations excessives, des tremblements, des troubles digestifs et des insomnies.

Étant donné que le syndrome de Hashimoto affecte également différents organes, des manifestations cliniques supplémentaires peuvent se manifester dans d'autres régions.

La production insuffisante d’hormones thyroïdiennes peut être compensée par la prise de médicaments. Les médecins prescrivent généralement :

Bien que ces médicaments parviennent à corriger le déficit hormonal, ils ne peuvent cependant pas guérir cette maladie auto-immune. Certains patients peuvent continuer à se sentir mal, même avec des niveaux hormonaux régulés. Il est donc intéressant de concevoir des plans de traitement personnalisés pour chaque individu. Les approches thérapeutiques doivent inclure une activité physique adaptée, une modification du régime alimentaire vers une alimentation alcaline avec des aliments frais et sans gluten, ainsi qu'une supplémentation en sélénium et/ou en vitamine D.

Dans la maladie de Hashimoto, la micro-immunothérapie apporte un soutien doux en soutenant la régulation du système immunitaire.

Grâce à de faibles doses de médiateurs immunitaires (par exemple des cytokines, des acides nucléiques spécifiques), elle transmet des informations séquentielles au système immunitaire, visant à rétablir l'équilibre entre les mécanismes pro-inflammatoires (cellules TH1) et anti-inflammatoires (cellules TH2).

L'objectif de la thérapie est de réduire la réaction auto-immune, et donc l'inflammation chronique, dans la mesure où les lésions tissulaires sont minimisées.

Dans des cas de patient souffrant de la maladie d'Hashimoto, on observe souvent une réactivation de l'EBV (virus Epstein-Barr), ce qui alourdit encore davantage l'organisme. Dans ces cas, une formule de micro-immunothérapie spécifique pour traiter une infection/réactivation à EBV peut être utilisée. Grâce à l'action immunorégulatrice de la micro-immunothérapie, la défense antivirale peut être soutenue afin que le système immunitaire reprenne le contrôle du virus, le ramenant à son « état dormant » (phase latente).

Dans l'état actuel des connaissances, la maladie d'Hashimoto est malheureusement incurable mais on peut limiter ses effets négatifs sur le corps. En particulier pour les maladies chroniques, il existe un fort besoin de traitements doux tels que la micro-immunothérapie. 

En raison de la fréquente coexistence de multiples plaintes et pathologies (multimorbidité) chez les patients atteints de la maladie de Hashimoto, ces derniers doivent souvent suivre un traitement médicamenteux complexe, comprenant plusieurs médicaments.

La micro-immunothérapie peut ici apporter un soutien en restaurant la fonction immunitaire, améliorant ainsi la tolérance et l’efficacité d’autres traitements. Cela peut même aider à réduire leur dose.



J'ai développé une thyroïdite de Hashimoto à la suite d'une infection chronique par le virus EBV. J'ai pris de la micro-immunothérapie pendant un an et demi. Je suis aujourd'hui une personne complètement transformée. Ce traitement m'a beaucoup aidée.

Finja K.

Les possibilités de traitement du psoriasis se sont améliorées au cours des dernières décennies et il est aujourd'hui possible d'assurer aux patients une meilleure qualité de vie. Toutefois, beaucoup de personnes, y compris celles directement concernées, ne sont pas pleinement informées des détails de la maladie et des nombreuses options de traitement disponibles.

Le psoriasis se caractérise souvent par des poussées, particulièrement marquées en automne et en hiver. Durant ces saisons, de nombreuses personnes concernées constatent une aggravation de leurs symptômes. Comment prendre soin de la peau pendant la période hivernale ? Quelles solutions complémentaires peuvent être envisagées pour gérer le psoriasis ?

Le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique de la peau. Bien qu'il ne soit pas contagieux, le psoriasis a souvent un impact social en raison de son apparence marquante, il a généralement un effet dissuasif sur l'entourage. Cela peut conduire à l'exclusion et au rejet des personnes qui en souffrent. La honte joue alors un rôle significatif dans l'apparition de cette maladie.

La raison de cette apparition provient d'une maladie systémique auto-immune. Cela signifie que le corps dirige ses mécanismes de défense contre ses propres tissus.

Lorsque le corps est en bonne santé, son système immunitaire veille à ce que l'organisme soit protégé contre les envahisseurs nocifs. 

Une fois les agents pathogènes identifiés, le système immunitaire envoie des signaux qui déclenchent des processus inflammatoires pour neutraliser les bactéries et les virus et les éliminer de l'organisme. Mais en cas de dysfonctionnement du système immunitaire, une telle inflammation peut se diriger vers différentes zones du corps et devenir chronique.

Dans le cas du psoriasis, le processus de renouvellement de la peau est altéré. En raison de causes encore inexpliquées, le corps produit beaucoup trop rapidement de nouvelles cellules cutanées. En bonne santé, le cycle dure environ 28 jours, alors que chez un patient atteint de psoriasis, il ne dure que trois à quatre jours. De ce fait, les cellules cutanées ne mûrissent pas et s'accumulent, ce qui se traduit à son tour par l'aspect typique des squames blanc argenté sur un fond rouge enflammé. Il en résulte ce que l'on appelle une kératinisation excessive (des plaques). De plus, les personnes affectées éprouvent généralement des démangeaisons intenses. Le grattage peut, à son tour, entraîner des plaies, des inflammations supplémentaires, voire des infections.

Comme mentionné précédemment, les zones sèches, squameuses et prurigineuses de la peau apparaissent par poussées. Chez de nombreuses personnes concernées, le stress, les changements hormonaux, les blessures de la peau (par ex. coupures ou coups de soleil), le grattage ou d'autres irritations mécaniques ainsi que certaines prises de médicaments sont considérés comme des déclencheurs aggravants. Les infections peuvent également déclencher une poussée de psoriasis.

En hiver, de nombreux patients remarquent que les poussées de psoriasis s'intensifient. Cela s'explique notamment par la réduction du rayonnement solaire durant la saison froide, ce qui expose la peau à moins de rayons UV. Ces rayons possèdent des propriétés anti-inflammatoires, ce qui explique pourquoi les personnes atteintes de psoriasis présentent généralement moins de symptômes et de poussées en été. De plus, la peau a tendance à se dessécher plus rapidement en automne et en hiver. Cela s'explique notamment par les variations climatiques, telles qu'un vent plus fort et une baisse de l'humidité ambiante, ainsi que par l'air sec des systèmes de chauffage. Les variations brutales entre la chaleur des intérieurs et le froid extérieur aggravent également l'irritation de la peau.

Pour prévenir une aggravation du psoriasis en hiver, des soins cutanés appropriés constituent une première étape essentielle. Les pommades riches en corps gras sont particulièrement recommandées pour les personnes atteintes de psoriasis, car elles hydratent la peau tout en lui apportant des lipides, aidant ainsi à réduire la sécheresse et les démangeaisons. En raison de leur absorption lente, ces produits restent longtemps dans la peau, assurant un soin prolongé.

Le choix des vêtements joue également un rôle important. Les zones cutanées sensibles doivent être protégées du froid, tout en veillant à éviter l'humidité et la chaleur excessive qui peuvent aggraver l'irritation. Pour cela, privilégiez des vêtements fabriqués dans des tissus respirants, favorisant une bonne circulation de l'air.

Il est essentiel de suivre attentivement le traitement personnalisé du psoriasis. Pour les poussées légères, des pommades spécifiques, telles que celles à base de cortisone, sont généralement efficaces. En cas de poussées modérées à sévères, les médecins recommandent souvent des thérapies par rayons UV, des traitements médicamenteux ou des injections.

Il est également possible d’hydrater la peau de l’intérieur. Les personnes atteintes de psoriasis devraient veiller à boire en quantité suffisante, en privilégiant l’eau et les infusions non sucrées. Par ailleurs, le stress étant un facteur aggravant du psoriasis, il est important de préserver son bien-être physique et mental. Des exercices de relaxation ciblés ainsi que des périodes de repos contribuent à réduire le stress, ce qui peut avoir un impact positif sur la gestion de la maladie.

Autre facteur, il est conseillé de limiter la consommation d’alcool. Pendant les fêtes de fin d’année, par exemple, de nombreux patients observent une aggravation de leur psoriasis après avoir bu en compagnie de leurs proches. En effet, l’alcool peut non seulement déclencher, mais aussi aggraver les processus inflammatoires.

Un conseil pratique pour gérer les périodes de poussées intenses de psoriasis est de tenir un journal détaillé. Notez les moments où votre état cutané s’est aggravé, ainsi que vos actions, votre alimentation, vos boissons, les vêtements portés, les particularités observées et les produits de soin utilisés. Ce journal vous aidera à identifier plus facilement les déclencheurs potentiels et à mieux les éviter à l’avenir.

La micro-immunothérapie constitue une approche complémentaire qui soutient le système immunitaire de manière douce, contribuant ainsi à réduire les symptômes. En effet, un système immunitaire équilibré n'attaque pas les tissus propres du corps. Cette thérapie vise notamment à diminuer les zones d'inflammation, ce qui permet de réduire la fréquence et l'intensité des poussées de psoriasis.

Cette thérapie peut être utilisée aussi bien à titre préventif que pour agir dans les cas aigus. Votre médecin ou thérapeute discutera avec vous de l'application exacte. Si vous n'en connaissez pas, n'hésitez pas à consulter notre carte qui référence des professionnels qui maîtrisent cette thérapie et pourrons vous accompagner dans la prise en charge globale du psoriasis.

La micro-immunothérapie utilise des substances naturelles du corps, telles que des cytokines et des facteurs de croissance, à des doses très faibles (low dose et ultra-low dose). En raison de cette approche, elle est généralement très bien tolérée. Elle peut être utilisée en complément d'autres traitements, sans qu'aucune interaction négative n'ait été observée à ce jour.

Contactez-nous si vous avez des questions sur la micro-immunothérapie ! Nous seront ravis de vous répondre > ifmi@microimmuno.fr



L'inflammation chronique, un phénomène persistant et souvent insidieux, est associée à une multitude de maladies graves, telles que les maladies cardiovasculaires, les cancers, le diabète, et les maladies auto-immunes. Malgré les traitements traditionnels, la gestion de l'inflammation chronique reste un défi majeur en médecine. C'est dans ce contexte que la micro-immunothérapie suscite un intérêt croissant. Cette approche innovante, qui repose sur l'utilisation de substances naturelles à faibles doses pour moduler le système immunitaire, pourrait offrir une solution complémentaire dans le traitement de l'inflammation chronique. Une étude scientifique de 2022 explore la place de la micro-immunothérapie dans ce domaine, en évaluant ses effets sur l'atténuation de l'inflammation à long terme et ses bénéfices potentiels pour les patients souffrant de maladies inflammatoires chroniques.

Cette recherche ouvre la voie à de nouvelles perspectives thérapeutiques, visant à améliorer la gestion de l'inflammation et à réduire ses impacts sur la santé à long terme.

Étude des effets anti-inflammatoires cellulaires de différentes formulations de micro-immunothérapie : analyse des contextes d'inflammation intestinale en lien avec l'axe immunitaire et neuronal.

L'inflammation chronique est une forme d'inflammation "classique" qui persiste sur une longue période, pouvant durer de plusieurs mois à plusieurs années.

Contrairement à l'inflammation aiguë, qui est une réponse naturelle du corps pour favoriser la guérison, l'inflammation chronique est un signal négatif. En effet, le corps perçoit une menace continue (même si ce n'est pas le cas) et réagit de manière excessive en activant son système immunitaire, avec l'aide des globules blancs et d'autres messagers chimiques.

Ce phénomène devient particulièrement préoccupant, car les recherches récentes montrent que l'inflammation chronique est liée à de nombreuses maladies graves, telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète, certains cancers, les maladies rénales, ainsi que les maladies auto-immunes et dégénératives.



Mona, comme beaucoup de mères, prend soin de la santé de toute sa famille. Son mari souffre d’une rhinite allergique, ses enfants sont souvent touchés par des infections courantes et elle a une maladie inflammatoire chronique de l'intestin depuis de nombreuses années.

Comment avez-vous entendu parler de la micro-immunothérapie ?

C’est mon médecin de famille qui me l'a recommandée. Il s'agit d'un traitement très bien toléré et qui peut être associé en complément d'autres médicaments. Nous avons choisi la micro-immunothérapie parce qu'elle soutient le système immunitaire de manière naturelle.

Que vous a apporté ce traitement ?

Les autres médicaments ne traitent souvent que les symptômes. Avec le temps, les troubles réapparaissent. Depuis que nous utilisons la micro-immunothérapie, nous avons observé une certaine stabilité de notre état de santé. Les enfants développent plus rarement des infections et les symptômes d'allergie de mon mari ont presque complètement disparu. Je me sens à nouveau plus vivante et beaucoup moins limitée dans ma vie quotidienne. La micro-immunothérapie a donc changé notre vie.

Comment prenez-vous le traitement ?

Chacun d'entre nous prend une formule de micro-immunothérapie différente. Il suffit d'ouvrir les gélules et de verser les granules qu'elles contiennent sous la langue. Le traitement est très facile à prendre, surtout pour les enfants. Aujourd'hui, mon mari et les enfants l'utilisent principalement à titre préventif.

Est-ce que vous pourriez recommander ce traitement ?

Absolument ! Nous sommes ravis de la micro-immunothérapie et nous l'avons déjà conseillée à des proches.

Le système immunitaire joue un rôle crucial pour préserver notre santé.

Un système immunitaire en bonne santé détecte et neutralise rapidement les virus, bactéries, germes ou cellules nocives, protégeant ainsi l’organisme. Cependant, il arrive parfois que cette défense se retourne contre le corps lui-même, attaquant les tissus sains et les cellules normales. Ces réactions, connues sous le nom de maladies auto-immunes, soulèvent de nombreuses questions : quelles en sont les causes ? Existe-t-il des traitements curatifs ? Quel rôle joue la micro-immunothérapie dans leur prise en charge ? Nous vous apportons des réponses à ces interrogations.

Avant d'aborder les maladies auto-immunes, il est essentiel de comprendre le fonctionnement général du système immunitaire. Inutile toutefois de plonger dans des détails complexes, car cette défense naturelle est un réseau extrêmement sophistiqué et interconnecté, remplissant de multiples fonctions. Elle repose sur une collaboration étroite entre différents organes, cellules et protéines, qui communiquent en permanence pour réagir efficacement à diverses situations.

Le système immunitaire est composé de deux éléments principaux : le système immunitaire inné et le système immunitaire adaptatif. Lorsqu’un agent pathogène pénètre dans l’organisme, un système immunitaire sain le reconnaît immédiatement. La réponse immunitaire innée intervient automatiquement pour neutraliser l’intrus. Si cette première ligne de défense réussit, les résidus sont éliminés, et l’équilibre est rétabli.

Cependant, dans certains cas, la réponse innée ne suffit pas et nécessite une intervention plus spécifique. Grâce à des substances messagères appelées cytokines, d’autres acteurs du système immunitaire sont mobilisés : c’est là que le système immunitaire adaptatif entre en jeu. Ce dernier utilise des cellules immunitaires spécialisées qui ciblent les agents pathogènes de manière précise, notamment en produisant des anticorps. Les informations sur ces agents sont ensuite stockées dans la mémoire immunologique, permettant une réaction plus rapide et efficace en cas de future exposition.

En résumé, les réactions immunitaires sont des processus inflammatoires ciblés destinés à éliminer les éléments perçus comme nuisibles. Une fois les intrus neutralisés, l’inflammation disparaît et l’organisme retrouve son équilibre.

Lorsqu’on s’interroge sur les maladies auto-immunes et leur origine, le rôle central du système immunitaire est à nouveau mis en lumière. Dans ces cas, le système immunitaire identifie à tort des structures saines et intactes de l’organisme comme étant des menaces. Il déclenche alors ses mécanismes de défense habituels pour attaquer ces composants supposés nocifs. Ces réactions inflammatoires persistantes finissent par endommager les cellules, ce qui peut provoquer des symptômes et des troubles à long terme.

Les causes exactes des maladies auto-immunes restent encore mal comprises en médecine. Ce qui est certain, c’est qu’il s’agit d’une erreur du système immunitaire. On suppose qu’un affaiblissement ou une dérégulation de celui-ci en est à l’origine.

Divers facteurs peuvent affaiblir le système immunitaire et, par conséquent, augmenter le risque de développer une maladie auto-immune, parmi lesquels :

  1. Une alimentation inappropriée et malsaine (additifs et édulcorants, carences nutritionnelles)
  2. Le manque d'exercice
  3. Polluants environnementaux
  4. Peu ou mauvaise qualité de sommeil
  5. Le stress, la charge mentale ou le surmenage persistant
  6. L'alcool et la nicotine
  7. Certains médicaments
  8. Les infections (par exemple EBV, COVID-19)
  9. Diverses maladies (par exemple des reins ou du foie)
  10. Le processus de vieillissement naturel (appelé immunosénescence)

Les scientifiques estiment que l'apparition des maladies auto-immunes résulte d'une combinaison de facteurs, incluant des prédispositions héréditaires, des influences hormonales, des déclencheurs viraux et des éléments environnementaux.

Une étude récente suggère qu'un lien entre le COVID-19 et l'apparition de maladies auto-immunes est envisageable. Des scientifiques canadiens ont suivi régulièrement des personnes atteintes d'une infection au COVID-19 ou de COVID Long sur une période de douze mois, en les comparant à deux groupes témoins : l'un composé de personnes en bonne santé et l'autre de patients atteints d'une autre maladie respiratoire. Leurs recherches ont révélé que les patients atteints du COVID Long développaient des auto-anticorps, ce sont des anticorps qui s'attaquent aux propres cellules de l'organisme. Environ 80 % des patients atteints de COVID Long présentaient ces auto-anticorps dans leur sang après trois et six mois, un pourcentage qui restait encore de 41 % au bout de douze mois. En revanche, ces auto-anticorps étaient peu voire pas détectés dans les groupes témoins. Ces résultats amènent les scientifiques à conclure qu'une infection au COVID-19 pourrait augmenter le risque de développer des maladies auto-immunes.

Il existe une grande variété de maladies auto-immunes. On en recense actuellement plus de 100.

Elles peuvent être classées dans les deux catégories suivantes :

Différentes maladies auto-immunes peuvent survenir si votre système immunitaire est affaibli.

On estime qu’environ cinq à huit pour cent de la population mondiale souffrent de maladies auto-immunes. 

Le nombre de cas non diagnostiqués est probablement bien plus élevé, en particulier pour des maladies discrètes ou non spécifiques, comme l'inflammation silencieuse. En En France, les maladies auto-immunes représentent le troisième groupe le plus important après les maladies cardiovasculaires et les cancers.

Les symptômes des maladies auto-immunes varient en fonction du type de maladie et peuvent également différer d’une personne à l’autre, même pour une même affection. Il est donc essentiel de réaliser un examen approfondi et un diagnostic différentiel auprès d’un médecin.

La micro-immunothérapie occupe une fonction régulatrice dans le traitement des maladies auto-immunes. Elle ne se concentre pas seulement sur le soulagement des symptômes, car elle travaille directement sur le système immunitaireafin de minimiser en douceur les réactions inadéquates.

Tout cela est possible grâce aux cytokines qu'elle contient - les substances messagères que le corps lui-même utilise pour assurer la communication entre les différents acteurs immunitaires. Les composants des micro-immunothérapie sont présents à très faibles doses ( faible dose et ultra-faible dose ), afin de garantir un effet très doux sur le système immunitaire, n'interférant pas de manière agressive sur les processus naturels. Il s’agit plutôt d’une ré-éducation du système immunitaire, qui vise à restaurer des réactions immunitaires adéquates.

Intéressons tout particulièrement aux cellules dites TH-1 et TH-2 : l’équilibre entre ces cellules devrait être rétabli grâce à la micro-immunothérapie. Les cellules TH-1, aux propriétés anti-inflammatoires, sont ciblées pour être modulées par la micro-immunothérapie. Parallèlement, il est essentiel d'inhiber l'activité des cellules TH-2, qui favorisent les processus inflammatoires.

En maîtrisant efficacement les processus inflammatoires dans l'organe concerné ou dans l'ensemble du corps, les symptômes et les inconforts associés diminuent également. Concrètement, cela signifie une réduction de la fatigue, une meilleure productivité et un bien-être accru. L'expérience montre que des problèmes tels que les douleurs articulaires et musculaires, les maux de tête, les troubles digestifs ou les irritations cutanées s'atténuent également lorsque le système immunitaire retrouve sa santé et sa vigueur.

Le système immunitaire doit être soigné et soutenu quotidiennement, d'autant plus dans le cadre de maladies auto-immunes. Ainsi, nous permettons à notre corps de se soutenir naturellement tout en diminuant activement le risque d’apparition de diverses maladies.

Vous trouverez des conseils pour prendre soin de votre système immunitaire dans la section suivante.

À ce jour, les maladies auto-immunes ne peuvent pas être guéries, mais elles peuvent être efficacement prises en charge. Pour ce faire, les déclencheurs potentiels doivent être identifiés, tels que les virus comme le virus d'Epstein-Barr et les virus du papillome humain, afin que la thérapie puisse être ciblée en conséquence.

Une partie importante de la thérapie consiste à renforcer le système immunitaire afin de réduire les processus inflammatoires dans le corps.

Pour restaurer l'équilibre naturel du système immunitaire, les mesures que nous avons déjà mentionnées à plusieurs reprises dans nos articles, se révèlent particulièrement utiles, notamment :

🔹 Optez pour une alimentation saine et équilibrée, composée d'ingrédients frais, riches en vitamines, agrémentée d'herbes, d'épices, et incluant des produits à base de grains entiers.

🔹 Limitez la consommation de produits industriels transformés, souvent riches en sel, en additifs superflus et en quantités excessives de sucre.

🔹 Buvez beaucoup (surtout de l'eau, des thés non sucrés et des jus de fruits).

🔹 Faites du sport, de l'exercice physique – de préférence en plein air.

🔹 Reposez-vous et détendez-vous, réduisez le stress.

🔹 Favorisez un sommeil de qualité, réparateur.

🔹 Réduisez autant que possible votre exposition aux toxines environnementales.

🔹 Éviter la consommation de stimulants tels que l’alcool et la nicotine.

🔹 Évaluez avec médecin la possibilité de réduire votre prise de médicaments.

🔹 Soutenez en douceur du système immunitaire grâce à la micro-immunothérapie.

Si vous êtes professionnel de santé, inscrivez-vous gratuitement à l'espace professionnel afin de consulter notre bibliothèque en ligne et visionner les replays de nos conférences en ligne.

Si vous êtes patient, pour toute question autour de la micro-immunothérapie, nous vous invitons à consulter la carte des médecins et thérapeutes spécialistes de la thérapie afin d'obtenir des réponses et bénéficier du traitement qui vous conviendra.



Je suis née en Allemagne en 1961. Je suis le genre de personne qui passe ses journées à s'activer et ne s'arrête jamais.

J'ai commencé à souffrir de diarrhée il y a 15 ans. Au début, c'était par périodes, lorsque j'étais stressée ou face à des situations inhabituelles. Ces problèmes se sont tellement aggravés jusqu'en avril 2020 qu'il était devenu exceptionnel pour moi d'avoir un transit intestinal normal. Ni les endoscopies gastro-intestinales, ni les tests en laboratoire, ni la modification de mes habitudes alimentaires ou l'abandon de certains aliments ne m'ont aidée sur le long terme.

De plus, j'ai commencé à souffrir d'arthrose au niveau des mains. La perte de mobilité et la douleur s'aggravaient. Les fractures osseuses, les interventions chirurgicales et la fatigue articulaire ont entraîné des œdèmes et des épaississements.

À ce moment-là, j'ai eu la possibilité de prendre des formules de micro-immunothérapie sans interrompre la prise des autres médicaments.

Dès la première semaine de traitement, j'ai eu l'impression que l'œdème de mon pied, opéré en avril 2019, s'atténuait, tout comme les restrictions de mouvement qui en découlaient. La combinaison de micro-immunothérapie et de séances de kinésithérapie s'est révélée gagnante dès le deuxième jour de traitement et m'a permis de remarcher sans douleur après 3 mois. Cependant, un léger œdème persiste au niveau de mon pied à cause de l'arthrose.

La micro-immunothérapie a également eu un effet bénéfique sur mes problèmes intestinaux :  3 mois plus tard, je pouvais sortir de chez moi sans craindre une éventuelle diarrhée.

Ellen K.

Nous l'avons tous déjà vécu : parfois, nous n'arrivons tout simplement pas à nous endormir, on se tourne et on se retourne dans notre lit, nous n'arrivons pas à trouver une position de sommeil détendue et nos pensées tournent en boucle. Parfois encore, nous nous réveillons plusieurs fois dans la nuit et avons des difficultés à nous rendormir après cela. Ces situations, si elles sont isolées, sont tout à fait normales. Mais que faire si vous souffrez de troubles du sommeil plus fréquents ?

Comment surviennent les troubles du sommeil ? Quelles maladies pourraient en être à l’origine ? Dans cet article, nous évaluerons l’importance d’un sommeil sain et réparateur pour le système immunitaire et donc pour notre santé. Vous découvrirez également quel soutien pourrait vous apporter la micro-immunothérapie dans vos problèmes liés au sommeil et comment vous pouvez améliorer la qualité de votre sommeil par vous-même.

La qualité du sommeil des Français est mise à l'épreuve par les crises et les rythmes sociaux et individuels : selon des études de l'INSV, de l'Institut National du Sommeil et de la Vigilance et du DMGEN (mutuelle française), la dégradation de la qualité de sommeil, dont souffre plus d’1 Français sur 3, est associée à une réduction de la durée moyenne de sommeil et à des réveils nocturnes qui concernent 8 Français sur 10.

Cet institut précise aussi que chez 56% des Français, les problèmes de sommeil occasionnent au moins une nuisance dans le cadre professionnel.

Le sommeil fait partie intégrante de notre vie. Au fil des millénaires, les humains se sont adaptés au rythme naturel de 24 heures du jour et de la nuit, de la lumière et de l’obscurité. Le sommeil est vital pour notre corps. Les fonctions, processus et mécanismes exacts du sommeil n’ont pas encore été entièrement étudiés. Il existe tout de même des explications générales, qui nous indiquent à quel point le somme est important pour nous et ce qui se passe pendant celui-ci.

🔸 Performance cognitive : Le sommeil permet de traiter et d’intégrer les informations ainsi que les compétences acquises au cours de la journée, favorisant ainsi l’apprentissage.

🔸 Régulation des fonctions corporelles : De nombreuses fonctions et systèmes du corps sont régulés pendant le sommeil et nous permettent ainsi de rester en bonne santé. Il s’agit notamment de la température corporelle, du système cardiovasculaire et de la production d’hormones.

🔸 Régénération cellulaire et défense immunitaire : Le sommeil favorise la réparation des cellules et l’optimisation de la défense immunitaire, permettant ainsi de récupérer du stress de la journée écoulée tout en renforçant l’organisme pour affronter celle à venir.

🔸 Performance accrue : La mémoire se consolide et s’enrichit durant le sommeil. Un repos sain et réparateur améliore notre concentration et notre productivité pour le jour suivant.

🔸 Soutien de l’équilibre énergétique : Pendant le sommeil, le métabolisme ralentit, réduisant les besoins énergétiques de l’organisme et contribuant à réguler sa consommation d’énergie.

🔸 Bénéfique pour la santé mentale : Le rôle du sommeil dans le maintien de notre équilibre psychique est crucial. Un sommeil suffisant et réparateur favorise un meilleur équilibre émotionnel et réduit la sensibilité au stress psychologique.

🔸 Gestion des émotions : Le sommeil, notamment à travers les rêves, permet de traiter les événements et les émotions vécus au cours de la journée, facilitant ainsi la gestion des souvenirs émotionnels.

Au cours de la nuit, nous traversons un cycle de sommeil composé de différentes phases.

Un cycle complet dure environ 80 à 110 minutes. Les personnes en bonne santé traversent généralement quatre à sept cycles de sommeil chaque nuit.

➡️ La phase d'endormissement (environ 5 %)

Transition entre l'éveil au sommeil. L'activité musculaire ralentit, des contractions musculaires occasionnelles se produisent.

➡️ Sommeil léger (environ 45-55 %)

Le corps se détend, mais le sommeil reste facilement perturbable. Le rythme cardiaque et la respiration ralentissent, tandis que la température corporelle diminue légèrement.

➡️ Sommeil profond modéré (environ 4 à 6 %)

Les fonctions corporelles poursuivent leur ralentissement, tandis que l'activité cérébrale atteint une fréquence réduite.

➡️ Sommeil profond (environ 12-15 %)

Le corps est complètement détendu. L'activité cérébrale reste, à faible fréquence. Les processus de régénération battent leur plein.

➡️ Sommeil paradoxal / le rêve (environ 20-25 %)

L'activité et les ondes cérébrales reprennent leur activité, se rapprochant presque de celle de l'état de veille. Les globes oculaires se déplacent rapidement d'avant en arrière sous les paupières (REM, ou mouvement oculaire rapide). Les muscles restent détendus. C'est durant cette phase que nous vivons la plupart de nos rêves.

C’est surtout lorsque nous manquons de sommeil que nous réalisons à quel point il est important.

Après une nuit agitée, il est courant d’avoir du mal à se concentrer, de se sentir fatigué, irrité ou d'être sujet à des sautes d'humeur. Nous devenons plus vulnérables aux pensées négatives et, si les troubles du sommeil persistent, notre système immunitaire peut en souffrir, augmentant ainsi le risque de tomber malade. Les chercheurs ont découvert qu’un déficit de sommeil de trois heures affecte nos cellules de défense (appelées cellules T) et perturbe déjà le système immunitaire.

Voici ce qui se passe dans votre système immunitaire lorsque vous manquez de sommeil :

Les problèmes de sommeil occasionnels ne sont généralement pas alarmants. Notre sommeil peut être perturbé, notamment avant des événements importants ou lors de périodes de stress intense. Cela peut provoquer des difficultés à s'endormir ou à rester endormi, des réveils fréquents pendant la nuit et une fatigue diurne. En règle générale, la qualité du sommeil s'améliore dès que le stress diminue.

En revanche, lorsqu'il s'agit d'un trouble du sommeil, les problèmes de sommeil durent plus longtemps. Un trouble du sommeil est diagnostiqué lorsque les difficultés à dormir surviennent au moins trois fois par semaine pendant une période de trois mois ou plus. Ces carences de sommeil affectent de manière significative la qualité de vie, les performances et le bien-être psychologique.

Signes caractéristiques de nuits agitées et de troubles du sommeil :

Les problèmes de sommeil peuvent avoir des causes différentes. Si vous dormez mal pendant une longue période, il est important d’en rechercher les causes afin d’améliorer la qualité de votre sommeil.

Les facteurs pouvant déclencher des troubles du sommeil :

Après une nuit blanche, on se sent généralement épuisé. Si les troubles du sommeil persistent, cela impactera fortement votre performance et votre niveau de concentration au cous de la journée.

L'encéphalomyélite myalgique, également connue sous le nom de syndrome de fatigue chronique (ME/SFC), représente une forme d'épuisement extrêmement sévère et éprouvante. Cette maladie engendre un épuisement physique et psychologique d'une intensité dévastatrice, rendant la vie quotidienne des personnes atteintes pratiquement paralysée.

La micro-immunothérapie propose des formules spécifiques pour différents domaines d'application, en venant moduler spécifiquement le système immunitaire afin d'équilibrer en douceur le trouble existant. La micro-immunothérapie apporte également une réponse à la question « Que faire en cas de troubles du sommeil ? ». 

Il s'agit en fait d'immunothérapie à faible dose : les ingrédients sont d'origine naturelle et sont présents à très faibles doses en respectant certains niveaux de dilution. En fonction des résultats et de la réaction souhaitée, les principes actifs sont dilués à différents niveaux : faible (l'effet est donc de stimuler), moyen (l'effet est la modulation) ou élevé (l'effet est d'inhiber la réaction immunitaire).

Dans le cas des troubles du sommeil, la micro-immunothérapie vise à utiliser des cytokines et d'autres substances immunocompétentes pour compenser les déséquilibres de l'organisme qui favorisent une détérioration de la qualité du sommeil. Parallèlement, il est essentiel de favoriser les mécanismes clés qui contribuent à un sommeil sain et réparateur.

Les réactions inflammatoires et les fluctuations hormonales doivent tout particulièrement être régulées et ramenées à leur équilibre naturel. La micro-immunothérapie soutient en douceur le fonctionnement du système immunitaire dans le but d’améliorer les processus de régulation afin de bénéficier d'une meilleure qualité de sommeil. 

En fonction de chaque individu et de la source responsable du trouble du sommeil, d'autres formes de micro-immunothérapie peuvent être spécialement intégrées en complément du traitement, par exemple dans les cas de maladies auto-immunes, des maladies mentales telles que la dépression et le stress, ou dans le cadre d'infections.

🔶 Quelle quantité de sommeil est nécessaire ?

Il n'existe pas de règle universelle concernant le nombre d'heures de sommeil requis. Les besoins varient légèrement d'une personne à l'autre. En général, sept à huit heures de sommeil réparateur par nuit suffisent pour maintenir une bonne santé et une forme optimale. Cependant, certaines personnes peuvent se sentir pleinement reposées avec seulement cinq heures de sommeil.

🔶 Est-il vrai que l'on dort moins en vieillissant ?

Il existe des différences dans la durée moyenne du sommeil selon les différents groupes d’âge.

Les nouveau-nés dorment jusqu'à 17 heures par jour. Jusqu'à l'âge adulte, cette valeur diminue lentement et se stabilise aux sept à huit heures mentionnées ci-dessus.

Cependant, cette idée très répandue selon laquelle les personnes âgées ont encore moins besoin de dormir est fausse. Pour eux aussi, le nombre moyen d'heures de repos la nuit est compris entre sept à huit heures, mais en raison de maladies, de douleurs et d'autres facteurs liés à l'âge, ils peuvent être amenés à dormir moins que les plus jeunes.

🔶 Est-ce bénéfique de dormir davantage en prévision d'une courte nuit ou de rattraper le sommeil manqué ?

Dans une certaine mesure, il est possible de combler les déficits de sommeil, mais malheureusement, le sommeil ne peut pas être « accumulé » à l’avance. Ce qui rentre en jeu, c'est l'étendue du manque de sommeil et sa durée. Des études ont montré qu’une heure de déficit de sommeil nécessite environ quatre jours de sommeil sain et adéquat pour être compensée. Bien entendu, cela dépend toujours en fonction de l'individu. Finalement, le mieux à faire est de s'assurer d'éviter tout déficit de sommeil !

🔶 Comment diagnostiquer les problèmes de sommeil ?

Si vous sentez que vous avez du mal à dormir, que vous ne vous sentez pas reposé le lendemain et que vous avez du mal à vous concentrer, vous souffrez peut être de problèmes de sommeil. Dans ce cas, contactez votre médecin. Après une première anamnèse, il pourra par exemple vous orienter vers un laboratoire spécialisé du sommeil qui examinera de plus près votre comportement et votre qualité de sommeil. Cela permettra d’identifier les causes potentielles de vos troubles.

🔶 Les somnifères sont ils une bonne ou mauvaise idée ?

Face à des problèmes de sommeil aigus, de nombreuses personnes trouvent une solution rapide grâce à la consommation de somnifères. Temporairement et avec l'accord de votre médecin, les médicaments peuvent aider à vous endormir et à maintenir votre sommeil jusqu'au petit matin. Toutefois il est encore mieux d'étudier et de soigner les causes possibles de vos problèmes de sommeil afin de pouvoir commencer un traitement ciblé et sur le long terme.

Vous avez probablement entendu parler de ce qu'on appelle "avoir une bonne hygiène de sommeil" : tout comme notre hygiène personnelle quotidienne, nos habitudes de sommeil jouent également un rôle très important sur notre santé. Avec seulement quelques ajustements dans notre routine quotidienne et le suivi de certains conseils, vous parviendrez à mieux dormir.

  • Adoptez une alimentation saine et équilibrée ;
  • passez au moins 30 minutes par jour à l'extérieur ;
  • pratiquez une activité physique régulière pour stimuler votre circulation, idéalement tôt le matin ou en milieu de matinée ;
  • si possible, levez-vous à la même heure chaque jour pour retrouver votre routine ;
  • réduisez votre consommation de stimulants tels que l'alcool, le café, la nicotine, ou évitez-les complètement ;
  • prenez le temps de vous détendre régulièrement en vous octroyant un moment de repos ou de méditation dans votre journée ;
  • éviter de regarder la télévision, de manger, de travailler ou de jouer dans votre lit. Cet espace doit être réservé à des moments de détente, de repos ou de sommeil.
  • Évitez les repas copieux et difficiles à digérer avant de vous coucher ;
  • Créez une atmosphère de sommeil calme et relaxante ;
  • Éteignez les écrans environ une heure avant de vous coucher, et laissez votre téléphone de côté ;
  • Évitez de faire de l'exercice intense le soir ;
  • Créer un rituel avant d'aller dormir, en écoutant par exemple musique douce, en lisant, ou en vous relaxant ;
  • Si possible, couchez-vous à la même heure chaque soir ;
  • Privilégiez un éclairage doux et minimisez les sources de perturbation, en activant le mode "Ne pas déranger" sur votre téléphone et en empêchant les animaux d’entrer dans la chambre par exemple ;
  • Ne buvez pas de grandes quantités juste avant de vous coucher, au risque de devoir vous lever pour aller aux toilettes au cours de la nuit.

Et vous, avez-vous d’autres conseils qui vous aident personnellement à vous endormir ? Qu'est-ce qui fonctionne pour vous lorsque vous vous réveillez et que vous ne parvenez pas à vous rendormir ? Partagez avec nous vos astuces et votre expérience en nous écrivant par email : ifmi@microimmuno.fr

➤ Fatigue chronique, infections virales & micro-immunothérapie

➤ Qu’est-ce que la micro-immunothérapie ?

➤ Les effets du stress chronique sur la santé à long terme

➤ Résilience : l’importance de la pensée positive



...Je vous écris pour vous dire que je vais finalement mieux.

Après de nombreuses années, grâce à la micro-immunothérapie, j'ai enfin trouvé un traitement pour ma fatigue chronique qui m'a rendu une partie de ma santé et de ma vie. Après avoir fait des recherches sur Internet, j'ai commencé à chercher un micro-immunothérapeute et j'en ai trouvé un dans la liste des professionnels de la santé proposés par MeGeMIT. Après quelques séances seulement, je me sentais déjà beaucoup mieux. Aujourd'hui, je peux travailler, m'occuper de ma famille et profiter de la vie. J’en suis très reconnaissant.

Les taux de prévalence du TDAH chez les enfants et les adolescents sont élevés en Europe, avec des estimations d'environ 4,6% de jeunes souffrant de troubles pathologiques de la concentration et d'hyperactivité. Les statistiques sur le TDAH diffèrent selon les critères d'évaluation utilisés, mais ils n'en sont pas moins signifiants. La micro-immunothérapie est particulièrement bénéfique pour l'organisme de ces enfants : il a été prouvé scientifiquement que le TDAH est causé par un dysfonctionnement neurobiologique du cerveau, entraînant une libération insuffisante de substances messagères. La micro-immunothérapie vise alors à compenser en douceur le manque de ces substances messagères dans l’organisme.

Curieux, spontanés et en pleine évolution, guidés par leur soif d'apprendre et leur capacité à s'émerveiller : les enfants ont beaucoup d'énergie et souvent, ils courent partout. Cela qualifie la plus part des enfants et est synonyme d'un développement sain. Il leur est souvent difficile de se concentrer sur une tâche précise. Mais à quel moment le manque de concentration est-il un problème ? Parfois cela dépasse la simple vivacité pour devenir un enjeu de développement psychologique important, susceptible d'impacter l'ensemble de la vie familiale. Le TDAH (Trouble du Déficit de l’Attention avec/sans Hyperactivité) n’est pas toujours facile à diagnostiquer. Les parents, en particulier, hésitent souvent à déterminer le moment opportun pour consulter un spécialiste.

Signes typiques pouvant indiquer un TDAH - une consultation médicale est toujours nécessaire afin de pouvoir poser un diagnostic fiable.

Les symptômes du TDAH peuvent être très variés. Si vous remarquez certaines des caractéristiques mentionnées ci-dessus chez votre enfant et, surtout, les principaux symptômes de manque de concentration, d'agitation et d'impulsivité, il peut être judicieux de consulter un médecin pour évaluer la possibilité d'un éventuel TDAH.

Le TDAH est l’un des troubles mentaux les plus courants chez les enfants et les adolescents. Les principales caractéristiques sont l'inattentionles difficultés de concentrationl'agitation physique et l'impulsivité. Mais il existe aussi des différences individuelles. Par exemple, l’impulsivité peut se manifester chez les enfants qui agissent de manière imprudente et sans réfléchir, qui interviennent en classe sans qu’on le leur donne la parole ou qui ne sont pas capables de contrôler leurs émotions. Mais il peut aussi arriver que les enfants expriment leur impulsivité de manière créative et aient de nombreuses idées nouvelles et imaginatives lors d'explosions impulsives.

Le TDAH peut mettre beaucoup de pression sur la vie familiale quotidienne. C'est pourquoi il est particulièrement important de poser un diagnostic précoce et de prendre correctement en charge le trouble du neurodéveloppement. De soins inadéquats peuvent aggraver les symptômes du TDAH et avoir un impact négatif sur le développement des enfants. Au fil du temps, un stress persistant chez les enfants concernés pourrait se manifester par des peurs, voire par une dépression.

Ce que l’on connaît moins, c’est ce qu’on appelle le trouble du déficit de l’attention, ou TDA en abrégé. Comme son nom l’indique, contrairement au TDAH, les personnes touchées manquent d’hyperactivité, c’est-à-dire d’agitation physique. Les enfants et les adolescents touchés ne prêtent pas d'attention, ont des difficultés à se concentrer et sont facilement distraits. Ils semblent souvent rêveurs et perdus dans leurs pensées.

Parce qu’il n’a pas la caractéristique vivante du TDAH, le TDA est souvent négligé car les enfants ont tendance à être calmes et parfois renfermés. Le manque de concentration est souvent considéré comme un trouble d’apprentissage.

Il y a encore quelques années, le TDAH était connu sous le nom de « syndrome du Fidget ». L’hyperactivité a donc joué un rôle majeur dans le diagnostic du TDAH. Pour rappel, tous les enfants qualifiés d'actifs et d'énergiques ne souffrent pas nécessairement de TDAH.

Afin de poser un diagnostic, un examen approfondi par un professionnel doit être réalisé. Chaque enfant est unique et a son propre caractère. Si un enfant est vif, comme nous l'avons précisé ci-dessus, il n'est pas nécessaire de présumer immédiatement qu'il souffre de TDAH, mais il est important de faire vérifier certains signes par un expert afin de pouvoir gérer adéquatement la maladie et soutenir l'enfant en cas de diagnostic posé.

Le TDAH est diagnostiqué plus fréquemment et plus tôt chez les garçons mais cela ne signifie pas que cette pathologie soit plus fréquente chez eux. Les observations ont montré qu’il peut exister des différences de symptômes selon le sexe, ce qui est le cas dans d'autres domaines de la médecine. En effet, dans le cadre de TDAH les garçons sont généralement impulsifs, agités et physiquement hyperactifs, tandis que les filles font principalement preuve d'une agitation intérieure et semblent rêveuses « dans leur propre monde ». Habituellement, les filles atteintes de TDAH ont des difficultés à se concentrer et à apprendre à l’école, pour autant le diagnostic de TDA ou de TDAH est moins fréquent.

Le diagnostic de TDAH est posé par un spécialiste. Il est essentiel d'agir avec précaution pour éviter à la fois de négliger le TDAH et de poser un diagnostic hâtif.

Lors de l'examen, l'attention est portée sur trois symptômes principaux : l'agitation, le manque de concentration et l'impulsivité. Contrairement au manque de concentration, qui n'apparaît généralement que temporairement, les symptômes reconnus dans le TDAH persistent sur une longue période (plus de six mois) et se distinguent nettement par leur intensité par rapport aux enfants ou adolescents du même âge.

L'investigation porte sur :

Les causes exactes du développement du TDAH n’ont pas encore été entièrement élucidées. On suppose que ce sont principalement les prédispositions génétiques qui conduisent au TDAH, car il a tendance à être héréditaire. Il existe aussi des facteurs environnementaux comme un faible poids à la naissance ou la consommation d’alcool/nicotine pendant la grossesse, qui semblent accroître le risque de TDAH. Les facteurs sociaux (par exemple : l'éducation, les relations parent-enfant, les interactions avec les pairs) sont moins susceptibles de déclencher le TDAH, mais peuvent tout de même influencer les symptômes.

Le TDAH est un trouble de ce qu'on appelle l'axe du stress. L’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (axe HPA) est un système complexe impliqué dans la régulation des réponses neuroendocriniennes au stress. Son activation déclenche notamment la production de «l'hormone de stress» – le cortisol.

Le TDAH de type principalement hyperactif se caractérise par une hyporéactivité de l'axe HPA (activité réduite), tandis que le TDAH à prédominance inattentive est souvent associé à une hyperréactivité, avec une forte activation des systèmes de stress.

Les hormones de stress, comme le cortisol, ont une influence significative sur le système immunitaire : ils produisent un déséquilibre et peuvent conduire à long terme à une neuroinflammation. Cette inflammation persistante est provoquée par la libération accrue de certaines cytokines. Dans le TDAH, un déplacement des cellules T auxiliaires a été détecté, dans lequel les cellules TH1 ou les cellules TH2 prédominent. Dans les deux cas, la réponse immunitaire naturelle est perturbée, ce qui se traduit par une réaction immunitaire soit excessive, soit absente.

Il a également été scientifiquement prouvé que le TDAH provoque un dysfonctionnement neurobiologique. Cela signifie que les substances messagères sont déséquilibrées (la dopamine et la noradrénaline). Ces neurotransmetteurs, comme on les appelle, permettent la transmission des informations entre les cellules nerveuses et agissent principalement dans les régions du cerveau responsables du contrôle et de la coordination. Lorsque ces substances messagères sont libérées en quantité insuffisante, la transmission des signaux dans le cerveau est altérée, perturbant ainsi l'interaction entre les systèmes d'attention et de motivation. Les personnes concernées sont « constamment sous pression » et ne parviennent pas à se concentrer. Afin d'améliorer cet état, il est important de ramener les substances messagères à leur équilibre naturel. C’est là qu’intervient la micro immunothérapie.

La micro-immunothérapie est une immunothérapie à faible dose qui utilise des substances messagères naturelles (cytokines). Elles sont acheminées précisément vers les zones où elles sont nécessaires grâce au système lymphatique de l'organisme. La micro-immunothérapie veille à compenser le manque de ces substances messagères dans l'organisme en cas de déséquilibre dans la libération de dopamine et de noradrénaline. C'est grâce à une modulation fine et douce agissant sur la dopamine, que le corps est stimulé pour libérer davantage de substances messagères. Cela agit efficacement en soutien dans le traitement du TDAH.

Les cytokines utilisées en micro-immunothérapie ont un effet positif sur le déséquilibre évoqué précédemment dans l’axe du stress. Ils agissent sur les cellules T auxiliaires et visent à rétablir l'équilibre naturel. Par exemple, s’il y a un excès de cellules TH1 (pro-inflammatoires), une modulation se produit et vient stimuler en douceur les mécanismes anti-inflammatoires et affaiblit les processus pro-inflammatoires. 

L'objectif est de rétablir l'équilibre entre les cellules TH1 et TH2 afin de favoriser une réponse immunitaire harmonieuse.

La micro-immunothérapie utilise uniquement des substances naturelles, identiques à celles que le corps lui-même utilise. Cela signifie que la micro-immunothérapie n’intervient pas de manière agressive dans les processus, mais vient plutôt apporter un soutient de façon séquentielle. Elle agit directement à l'origine du déséquilibre des substances messagères et aide le corps à retrouver un équilibre sain, c'est ce qu'on appelle l'homéostasie. En utilisant des principes actifs que l'organisme connaît et utilise lui-même, la micro-immunothérapie est très bien tolérée et peut être associée à d'autres thérapies. Aucun effet négatif ou risque sur l'organisme de l'enfant n'a été déterminé.

Parce que la micro-immunothérapie est facile à prendre et particulièrement douce, elle convient à toute la famille : des enfants aux grands-parents.

🔸 Le savoir c'est le pouvoir : cherchez des informations détaillées sur le trouble et sur la manière de le gérer. Informez-vous et bénéficiez des conseils d’experts en TDAH afin d’offrir le meilleur accompagnement possible à votre enfant.

🔸 Soyez bienveillant : encouragez, félicitez.. Le renforcement positif est très important pour les enfants. Reconnaissez leurs efforts en vous basant sur de petits objectifs et, par exemple, félicitez votre enfant lorsqu'il a consacré beaucoup de temps à une tâche ou qu'il a écouté attentivement.

🔸 Voyez le verre à moitié plein : montrez à votre enfant ce qui était particulièrement positif. Par exemple, dites-lui chaque soir ce qui a été agréable au cours de la journée.

🔸 Accordez vous une pause : créez un havre de paix pour vous et votre famille. Passez du temps qualitatif en famille pour se donner de l'affection, se détendre ensemble ou pratiquer une activité ensemble.

🔸 Offrez à votre enfant de la sécurité : proposez à votre enfant des structures et des routines fiables qu'il pourra suivre. Cela facilitera la gestion du TDAH car il. n'y aura pas de place à l'imprévu et donc au stress.

🔸 La mobilité est importante : soyez actif avec votre enfant et sortez beaucoup. Jouer et faire de l'exercice au grand air peuvent libérer de l'énergie. Proposez des activités qui permettront à votre enfant de se défouler.

🔸 Nutrition : rien de mieux qu'une alimentation saine en soutient au traitement du TDAH. Assurez vous que votre enfant puisse bénéficier de produits frais et d'une alimentation équilibrée. Évitez le sucre industriel et les plats cuisinés, qui contiennent de nombreux additifs.

🔸 L'importance du sommeil : établissez des petits rituels le soir afin de favoriser un sommeil réparateur. Faites en sorte que votre enfant puisse dormir un nombre d'heures suffisant car le corps se régénère pendant le sommeil et le cerveau assimile les informations et les stimuli de la journée.

🔸 S'organiser dans la gestion des tâches : guidez votre enfant en lui montrant qu'il peut diviser des tâches complexes afin de créer des étapes plus petites.

Si les sujets autour de la pédiatrie vous intéressent, sachez qu'hier, nous vous avons proposé un atelier à suivre en ligne autour de la Rhino Bronchite en Pédiatrie. Si vous êtes professionnel de santé, nous vous invitons à vous connecter à l'espace professionnel afin de visionner le replay ! 

Vous pouvez trouver d’autres articles intéressants sur notre blog santé. Voici une petite sélection que vous pouvez parcourir :

Contactez IFMi si vous avez des questions sur la micro-immunothérapie : 00 33 1 86 95 41 63 - ifmi@microimmuno.fr



Les actifs du médicament de micro-immunothérapie 2LMIREG ® réduisent l'expression des cytokines et des marqueurs immunitaires, notamment l'interleukine-2 et le HLA-II, tout en modulant le stress oxydatif et la fonction mitochondriale.

Nous vous invitons à consulter cette article scientifique du Journal of Inflammation Research – volume 17 Pages 1161-1181 - publié le 21 février 2024.

Découvrez le pouvoir de la mitochondrie et son rôle clef : Institut Belge d'Endobiogénie et de Physiologie intégrative.

La médecine moderne a démontré que 90 % des maladies chroniques, tout particulièrement les maladies neurodégénératives, les maladies liées au vieillissement, les maladies métaboliques ainsi que plusieurs formes de cancer, sont liées à des altérations mitochondriales.

Le contrôle de la fonction mitochondriale est donc essentiel pour prévenir l’apparition et la progression de nombreuses pathologies et retrouver l’équilibre dans l’organisme.

Au cœur de nombreuses pathologies, les dysfontions mitochondriales seraient impliquées dans le syndrome de fatigue chronique qui touche à l’heure actuelle un grand nombre de patients notamment ceux souffrant de Covid long, d’où l’interêt d’approfondir le sujet.

La micro-immunothérapie a pour but but de donner à l’organisme les clés endogènes nécessaires pour faire fonctionner de manière optimale les mécanismes mitochondriaux essentiels, afin de favoriser une régulation mitochondriale équilibrée et de rétablir une homéostasie correcte.

Grâce à sa structure et sa composition, la formule MIREG possède une action régulatrice au niveau de différents facteurs impliqués dans les dysfonctionnements mitochondriaux, ainsi que sur leurs conséquences délétères.

micro-immunothérapie ; cytokines ; métabolisme mitochondriales ; inflammationanti-inflammatoireinterleukin-2



Je pense que ce que vous avez produit va changer des vies... Je suis malade depuis 15 ans de fatigue chronique, de maladie de Crohn, de gastrite à éosinophiles pour ne citer que quelques-uns de ces problèmes... J'ai commencé votre traitement il y a 9 jours et ce week-end j'ai bondi de ma chaise suite au désir de mon cœur de voir l'un de mes enfants marquer au football... Je suis trop malade et fatigué depuis trop longtemps pour faire autre chose que de rester assis... cette énergie et ce désir de m'engager dans la vie est nouvelle et s'est maintenue et tous mes symptômes ont changé cette semaine.

Pour beaucoup d'entre nous, les derniers jours de l’année sont marqués par la famille, les amis, se réunir et célébrer ensemble. Nous revenons sur nos derniers mois passés et nous pensons aussi à ce qui nous attend : souhaits, projets et bonnes résolutions pour 2025.

Les résolutions les plus courantes sont celles de se remettre au sport, de manger plus sainement, reprendre une activité laissée à l'abandon, en trouver une nouvelle, perdre du poids, arrêter de fumer ou encore réduire sa consommation d’alcool en suivant le mouvement du Dry January.

Ces intentions sont louables, mais que diriez-vous de mettre votre système immunitaire au centre de vos bonnes résolutions ?

Le système immunitaire est le pilier de notre santé. Il est en connexion avec tous les autres systèmes du corps et influence le fonctionnement de nos cellules et organes. Si l'équilibre immunitaire est perturbé, cela se manifestera par des allergies, des infections, des maladies auto-immunes ou des maladies mentales. Cependant, si vous veillez activement à ce que votre système immunitaire soit efficace et puisse fonctionner normalement, cela aura un effet positif direct sur votre santé physique et mentale. Vous pouvez utiliser la micro-immunothérapie pour soutenir votre équilibre immunitaire - de manière réactive face à l'apparition de symptômes, mais aussi de manière préventive pour éviter autant que possible le développement de maladies.

Voyons ici pourquoi et comment vous pourriez intégrer l'équilibre immunitaire à vos bonnes résolutions !

Selon une enquête de 2016 (EU-SILC), la majorité des Européens évaluent leur état de santé général comme étant de bon à très bon. Environ 65 % des personnes interrogées sont satisfaites de leur état de santé, mais cela ne veut pas dire qu'elles font tout pour y contribuer. Aujourd'hui, l'année 2024 touche à sa fin et c’est une bonne idée de prendre un nouveau départ et devenir acteur de sa santé. Après tout, il s’agit de notre plus grande force et notre immunité ne doit pas être tenue pour acquise. 

Notre vie moderne nous fait évoluer dans un monde trépidant et en évolution rapide, avec de nombreux additifs alimentaires, un stress psychologique, un réduction de l'exercice souvent engendré par le travail de bureau, la diversité des modes de transport, les loisirs sur les écrans, les toxines environnementales et bien plus encore.. Tout cela impose de nouveaux défis au corps et à la santé mentale. Il est donc important d'être sensibilisé à ce sujet car cela joue un rôle important pour rester en bonne forme pendant longtemps.

En plus des bonnes résolutions classiques déjà évoquées, « réduire son stress » fait aussi partie des intentions en début d'année, pour de nombreuses personnes. Le stress n'est pas une mauvaise chose en soi, car il permet, entre autres, à notre corps de devenir plus efficace et d'être capable de performer dans des activités sportives ou des examens. Le stress positif (l'eustress) agit pendant des moments de bonheur comme les naissances ou les mariages. Au contraire, il existe aussi le stress négatif (détresse), qui met le corps à rude épreuve sur le long terme.

Si le stress persiste, l'organisme reste en alerte et libère davantage d'hormones comme le cortisol. Des niveaux élevés de cortisol qui ne diminuent pas, entraînent une perturbation du sommeil, une sensation de faiblesse ou engendre plus fréquemment des maladies. L'hormone du stress inhibe les processus inflammatoires du système immunitaire, le rendant moins apte à combattre les agents pathogènes. C'est pourquoi la pratique de la pleine conscience et adopter une attitude de résilience devraient faire partie des bonnes résolutions pour 2025.

Vous sentez-vous accablé par des mauvaises nouvelles ? Vous sentez-vous plus susceptibles de faire des crises ? Souhaitez-vous avoir plus de temps pour vous ?

Prenez le temps de respirer profondément. Cela vous aidera à vous concentrer à nouveau sur les choses positives et essentielles. Vous pouvez également travailler votre résilience. Découvrir ce qu'est la résilience et comment l'améliorer dans notre article : Résilience : l’importance de la pensée positive.

Il existe deux types de réponse immunitaire chez l'être humain. Le premier mécanisme est celui du bouclier protecteur, connu comme le système immunitaire inné (non spécifique). Il s'agit de la peau, des muqueuses, des cellules immunitaires et des substances messagères. La peau et les muqueuses empêchent les agents pathogènes de pénétrer facilement dans le corps. Si des agents pathogènes ou des cellules dégénérées parviennent à entrer dans le corps, ils seront reconnus par le système immunitaire - s'il est sain - et combattus par les cellules immunitaires. Les macrophages, les monocytes, les mastocytes et les cellules dites tueuses sont utilisés, entre autres, pour éliminer le plus rapidement possible les organismes perturbateurs.

Pour certains agents pathogènes, la réponse immunitaire innée n'est pas suffisante, c'est pourquoi la réponse immunitaire adaptative (spécifique) vient s'activer à l'aide de cytokines. Les globules blancs (des lymphocytes tels que les lymphocytes B et T), les anticorps et les cytokines spécifiques en sont les principaux acteurs. Le corps produit alors des anticorps spécifiques qui correspondent exactement aux agents pathogènes et les rendent donc inoffensifs. Dans le même temps, des cellules mémoires sont activées et stockent des informations sur les agents pathogènes combattus. Ces informations sont accessibles en cas de nouveau contact afin de lutter plus rapidement contre les pathogènes.

Bien entendu, il ne s’agit là que d’une représentation simplifiée, car le système immunitaire est un appareil très complexe, qui est connecté et interagit avec de nombreux autres systèmes du corps.

La micro-immunothérapie est une immunothérapie à faible dose qui place le système immunitaire au coeur du traitement. Le système immunitaire est modulé en douceur à l'aide de composants naturels (par exemple des cytokines, des acides nucléiques spécifiques). Le but de la micro immunothérapie est de corriger les déséquilibres au niveau immunologique afin que le système immunitaire puisse fonctionner et éliminer correctement les agents perturbateurs.

Il existe différentes formules de micro-immunothérapie pour différents domaines d'application et tableaux cliniques. Les ingrédients sont présents à très faibles doses, de sorte qu'ils n'interfèrent pas de manière agressive avec les processus naturels, mais offrent plutôt une aide douce pour l'immunité. Cela vient donner le bon message au système immunitaire afin qu'il puisse déployer des réactions en conséquence.

L'accent est fréquemment mis sur les mécanismes pro-inflammatoires et anti-inflammatoires, car le système immunitaire utilise l'inflammation pour se défendre contre les agents pathogènes et les cellules dégénérées. Cependant, si le système immunitaire est déséquilibré, l’un de ces mécanismes pourrait prendre le relais. Cela peut conduire à des processus inflammatoires continus, qui à leur tour endommagent d'autres cellules, tissus et systèmes, ou bien le système immunitaire est tellement inhibé qu'aucune réaction inflammatoire significative ne se produit. 

L'objectif de la micro-immunothérapie est de rééquilibrer ces deux processus. Et c’est exactement à cela que servent les substances messagères (cytokines), que le corps connaît et utilise déjà lui-même.

La micro-immunothérapie peut être un soutien précieux pour l’équilibre immunitaire à tout âge et quel que soit l’état de santé. Pour savoir comment la micro-immunothérapie peut vous aider et quelles autres mesures sont également importantes pour rester en bonne santé et en forme, nous vous invitons à contacter un micro-immunothérapeute expérimenté. Vous en apprendrez davantage en fonction de vos éventuelles pathologies ou pour prévenir des maladies, et pourrez poser vos questions directement à l'expert. Utilisez notre carte en ligne pour trouver un micro-immunothérapeute près de chez vous ou en distanciel !

Faites un premier pas dans vos bonnes résolutions pour la nouvelle année : trouvez le micro-immunothérapeute qui saura vous mettre en confiance !

Carte en ligne des micro-immunothérapeutes

Toute l'équipe IFMi vous souhaite un Joyeux Noël, et de garder un excellent système immunitaire pour la nouvelle année !

Pour toute question n'hésitez pas à nous écrire ifmi@microimmuno.fr. Vous serez lus avec beaucoup de bienveillance.

Cette année fut riche en événements, en partage et en retrouvailles et nous vous remercions pour votre engagement !

Nous vous présentons une vidéo qui revient sur le retour au présentiel de l'IFMi et retrace notre journée colloque à Lyon.

Nous nous réjouissons d’ores et déjà de vous retrouver en 2025 pour continuer à avancer ensemble autour de l’immunité.



Il y a des saisons au cours desquelles, par exemple, les infections grippales surviennent plus fréquemment. En particulier, la saison automnale et hivernale, avec des températures plus fraîches et un temps humide, provoque rapidement des infections respiratoires à répétition chez certaines personnes.

Certaines personnes semblent y être plus sensibles que d’autres. Non seulement elles doivent lutter chaque année contre des infections pendant la haute saison virale, mais il peut aussi arriver qu’elles aient l’impression d’être constamment malades. Une telle susceptibilité aux infections peut généralement être liée à un système immunitaire affaibli. C’est là qu’intervient la micro-immunothérapie : renforcer et entraîner le système immunitaire afin de pouvoir se défendre contre les agents pathogènes.

Les infections respiratoires fréquentes ou à répétition sont particulièrement visibles chez les enfants. Contrairement à la plupart des adultes, les enfants souffrent chaque année de plusieurs rhumes, otites et autres maladies. Pourquoi cela ?

Vous aurez peut être remarqué que les enfants tombent malades plus souvent – et cela est utile et important. Même si le système immunitaire est actif dès la naissance et protège déjà notre organisme, il n’est pas encore complètement développé. La défense immunitaire se divise en deux systèmes principaux : la défense immunitaire innée (réaction immunitaire non spécifique) et la défense immunitaire adaptative (réaction immunitaire spécifique).

Si la défense immunitaire innée n’est pas suffisante, des cellules immunitaires spécifiques sont sollicitées. Chaque contact avec des agents pathogènes éduque, pour ainsi dire, notre système immunitaire, qui stocke les expériences avec l'agent pathogène spécifique et les rappelle lorsque nous rentrons en contact à nouveau. Si vous êtes à nouveau infecté par cet agent pathogène, vous pouvez généralement réagir beaucoup plus rapidement et peut-être même éviter complètement une épidémie de la maladie.

Afin de comprendre comment peut survenir la susceptibilité aux infections à répétition, il est d’abord important de savoir comment fonctionne notre système immunitaire. Il s’agit d’un système complexe et finement coordonné.

Si, par exemple, un agent pathogène pénètre dans l'organisme, il est immédiatement localisé par le système immunitaire, car des milliards de globules blancs patrouillent dans le sang et les tissus: ils tirent la sonnette d'alarme en cas d'envahisseurs nuisibles. Le système immunitaire inné tente alors immédiatement de rendre l’agent pathogène inoffensif. La réaction immunitaire non spécifique comprend :

Si les mesures prises par l'organisme ne suffisent pas à rendre l'agent pathogène inoffensif, le système immunitaire spécifique entre en vigueur. A l’aide de substances messagères (cytokines), les partenaires de la réaction immunitaire demandent de l’aide. Les intrus sont censés être spécifiquement éliminés par ce qu'on appelle les lymphocytes (lymphocytes T et lymphocytes B).

Étant donné que le système immunitaire apprend constamment et qu'il rentre en contact régulièrement avec de nouveaux agents pathogènes, il n’est pas rare que plusieurs infections surviennent chaque année. Chez l'adulte, le niveau normal se situe autour d'une à trois maladies infectieuses. Les enfants peuvent même souffrir de toux, d'écoulement nasal et de fièvre jusqu'à huit fois par an, sans que cela soit nécessairement dû à un système immunitaire affaibli ou à un défaut immunitaire. Bien entendu, les facteurs individuels jouent toujours un rôle.

Facteurs de risque possibles pour le système immunitaire :

Après la guérison du COVID-19, les symptômes peuvent persister même si l’infection aiguë a déjà été guérie (plus de quatre semaines). L’infection exerce une forte pression sur le système immunitaire, ce qui peut finalement conduire à un affaiblissement durable. Cela se manifeste différemment chez chaque patient. Les symptômes qui persistent sont : les difficultés respiratoires, de la fatigue, un manque de concentration, des maux de tête et une perte de l'odorat et du goût. Dans ce cas, nous parlons de COVID Long. Si les symptômes durent plus de douze semaines, on parle de syndrome post-COVID.

Parce que le système immunitaire est affaibli, le corps est souvent plus sensible à d’autres infections, ce qui signifie que les rhumes et autres maladies peuvent survenir plus facilement. Afin d’atténuer les symptômes – ou idéalement de prévenir leur arrivée – un système immunitaire fort est essentiel.

Si vous souhaitez réduire votre sensibilité aux infections et lutter au mieux contre diverses maladies, vous devez adapter votre mode de vie afin que votre système immunitaire en profite. Vous verrez que des mesures simples peuvent être mises en œuvre dans votre quotidien !

Pour être en bonne santé, il est crucial que votre système immunitaire fonctionne correctement en localisant rapidement les envahisseurs nuisibles et donc en les combattant immédiatement. Un système immunitaire affaibli vous fera traverser une période difficile en conséquence. En plus des conseils mentionnés, la micro immunothérapie peut être utilisée pour ré-éduquer en douceur le système immunitaire et le maintenir dans son équilibre naturel. La micro immunothérapie fait appel à des substances naturelles que l'organisme connaît très bien : les cytokines. Ces substances messagères prennent en charge la communication entre les différents acteurs immunitaires et veillent à ce que tout se passe bien. La micro immunothérapie utilise le même langage que celui du système immunitaire.

Étant donné que les composants de la micro immunothérapie sont présents à faibles doses (low doses et ultra-low doses), elle est très bien tolérée et c'est que très peu associée à des effets secondaires. La micro-immunothérapie peut être prise à tout âge, afin que les enfants, les adultes et les seniors puissent bénéficier du renforcement de leur système immunitaire.

Sur notre blog, vous trouverez d'autres articles autour des infections. L'accent est mis ici en particulier sur les infections pseudo-grippales. Nous avons également un autre article sur le thème de la Fatigue chronique, qui pourrait également vous intéresser ➤ Fatigue chronique, infections virales & micro-immunothérapie. Les infections autour de la maladie du baiser ➤ Infections par le virus Epstein-Barr.



J'ai eu de très bonnes expériences avec la micro-immunothérapie chez mes patients. J'utilise la micro-immunothérapie chez les enfants et les adolescents depuis 13 ans et je ne peux pas imaginer mon travail médical quotidien sans elle.

Le problème le plus fréquent concerne les infections récurrentes – j’ai ici une excellente expérience de la micro-immunothérapie. Elle fonctionne également très bien pour les problèmes ORL chroniques et les allergies.

J'ai également pu réussir de nombreux traitements avec la formule de micro-immunothérapie spécifique à la pathologie : dans les infections aiguës à EBV ou réactivations EBV, dans les infections varicelleuses ou herpès zoster, dans les infections à HSV, chez les adolescents présentant des troubles dépressifs, dans le stress ou dans le rhume de hanche et la polyarthrite rhumatoïde juvénile.

Romana Slapakova

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