L'institut
Micro-immunothérapie
Services aux patients
Services aux praticiens
Nous contacter
Connexion à mon compte
Déjà inscrit ? Accédez à votre espace professionnel
IFMi, l’Institut Français de Micro-immunothérapie

Cancer colorectal et micro-immunothérapie

Agir sur le système immunitaire pour lutter contre le cancer du côlon-rectum

Cancer colorectal : définition, causes et incidence

Le cancer colorectal, appelé aussi cancer du côlonrectum est une maladie des cellules qui tapissent la paroi interne du côlon. Il se développe à partir d’une cellule initialement normale qui se transforme et se multiplie de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne (ou cancer).

Le cancer colorectal prend plusieurs années à se former, comme la majorité des cancers. Il le fait habituellement à partir de polypes dans la paroi tapissant l’intérieur du côlon. Les polypes sont de petites excroissances charnues. Il en existe plusieurs genres. Le plus souvent, ils sont bénins. Cependant, on sait que certains d’entre eux peuvent devenir cancéreux. Cela prend en moyenne 10 ans à un polype pour former une tumeur cancéreuse. Les polypes (cancéreux ou non) causent parfois des malaises digestifs.

Le cancer colorectal est le 3ème cancer le plus fréquent chez l’homme après ceux de la prostate et du poumon. C’est le 2ème cancer le plus fréquent chez la femme après celui du sein.

Il touche chaque année plus de 43 000 personnes en France (dont environ 23 000 hommes et 20 000 femmes). Il est responsable de plus de 17 000 décès par an. 

Facteurs de risques et lien avec le système immunitaire

L’âge augmente le risque de développer un cancer du côlon : 9 personnes atteintes sur 10 ont plus de 50 ans.

Les habitudes de vie sont aussi en cause :

  • une alimentation trop riche, notamment en graisses animales ;
  • une consommation importante de viandes rouges ;
  • l’inactivité physique ;
  • le surpoids ;
  • la consommation d’alcool ;
  • la consommation de tabac.

Le risque de développer un cancer du côlon est augmenté chez les personnes atteintes de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (comme la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique), les maladies génétiques (polypose adénomateuse familiale) et le syndrome de Lynch (ou HNPCC).

Des antécédents familiaux de cancer du côlon ou du rectum sont également un facteur de risque.

Les cellules immunitaires sont normalement capables de reconnaître des cellules altérées, telles que les cellules cancéreuses, et de les détruire avant qu’une tumeur ne se développe. C’est généralement le cas chez les personnes en bonne santé. Cependant, les cellules cancéreuses développent des capacités et des mécanismes qui leur permettent d’échapper partiellement ou totalement au système immunitaire. Elles sont en outre capables de libérer certaines substances messagères afin d’affaiblir la fonction des cellules immunitaires chargées de combattre la tumeur. Elles peuvent également « manipuler » certaines cellules immunitaires afin que celles-ci libèrent des substances messagères pour les utiliser à leur propre avantage. Les cellules cancéreuses sont donc en mesure de se créer un environnement favorable dans lequel elles ne sont pas « attaquées » par le système immunitaire.

La régulation immunitaire et la modification du microenvironnement inflammatoire de la tumeur pourraient donc être des éléments intéressants pour initier une réponse immunitaire anti-tumorale efficace et maîtriser le processus tumoral.

Manifestations cliniques

Le cancer colorectal passe généralement inaperçu dans ses premiers stades de croissance. Les symptômes suivants peuvent être le signe d’un cancer colorectal :

  • des changements dans les habitudes fécales qui durent depuis quelques semaines (constipation ou diarrhée, par exemple) ;
  • du sang dans les selles ;
  • des malaises abdominaux, tels des gaz intestinaux, des crampes ou des douleurs au ventre ;
  • la sensation que les intestins ne se vident jamais complètement ou d’avoir constamment envie de déféquer ;
  • une masse à la palpation de l’abdomen ;
  • une dégradation inexpliquée de l’état général se manifestant notamment par une perte de poids et d’appétit, une diminution de la prise alimentaire et de la fatigue.

Conseils et prévention

Se soumettre à un test de dépistage passé l’âge de 50 ans est l’action principale pour prévenir le cancer du côlon, via un test de recherche de sang occulte dans les selles (RSOS).

Lorsque ce test est positif, d’autres examens médicaux sont proposés.

La sigmoïdoscopie à sonde souple permet au médecin d’observer la paroi du rectum et du côlon sigmoïde.

La coloscopie permet un examen du rectum et de toutes les sections du côlon. Elle est pratiquée sous médication analgésique.

De plus, pour réaliser une prévention efficace, il est essentiel de limiter les causes du cancer du côlon, notamment dans le domaine de l’alimentation et des habitudes de vie, telles que :

  • ne pas fumer ;
  • rester actif physiquement ;
  • atteindre ou maintenir un poids santé ;
  • manger suffisamment de fruits et légumes et de céréales à grains entiers ;
  • limiter la consommation de viande rouge, de charcuterie et de grillades.

De façon générale, on estime qu’en changeant son mode de vie et en adoptant les recommandations suivantes, on diminue d’environ 70 % le risque de développer un cancer colorectal.

Traitements existants pour le cancer colorectal

Le type de traitement administré dépend du stade d’évolution du cancer. Plus le cancer est détecté tôt dans son évolution, meilleurs sont les résultats.

La chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie sont des traitements possibles, ainsi que la prise de médicaments qui limitent la prolifération des cellules cancéreuses, sont parfois utilisés, seuls ou en complément aux autres traitements, tel que le bevacizumab (Avastin®), par exemple.

Traitement complémentaire de la micro-immunothérapie : bénéfices et objectifs de la thérapie

La micro-immunothérapie constitue également un complément utile aux traitements habituels du cancer colorectal et peut contribuer à leur efficacité. En effet, les radiothérapies et chimiothérapies ont généralement des effets secondaires importants et affaiblissent non seulement les cellules cancéreuses dégénérées, mais aussi les cellules saines et les tissus intacts. Le système immunitaire peut alors être fragilisé et moins efficace dans la reconnaissance et la destruction des cellules anormales comme les cellules cancéreuses ou les agents infectieux.  La micro-immunothérapie est une approche ciblée et non invasive qui permet de réguler les processus physiologiques du système immunitaire et ainsi rétablir sa capacité et donc sa lutte contre le cancer colorectal.

La micro-immunothérapie constitue non seulement un élément important dans le traitement du cancer même, mais elle peut également améliorer la qualité de vie pendant cette période très difficile.

Vous êtes médecin, membre d'un groupe médical spécialisé ou thérapeute ?

L’Institut Français de Micro-immunothérapie permet aux professionnels de santé de développer les connaissances nécessaires à la prise en charge du système immunitaire de façon préventive ou afin de restaurer son bon fonctionnement sur le long terme tout en intégrant la micro-immunothérapie comme outil thérapeutique immunocompétent et accessible à tous les praticiens.

Intéressé ? Inscrivez-vous maintenant et obtenez un Webinaire gratuit.

Profitez d’un accès gratuit et sans engagement à notre espace professionnel.
Inscription gratuite
  • Je pratique la micro-immunothérapie dans mon propre cabinet près du lac de Constance (Suisse) depuis plus de 20 ans. Le golf est mon hobby, la micro-immunothérapie est ma passion ; ils ont quelque chose en commun.
    Pour pratiquer les deux, j'ai besoin de précision, d'une routine constante et de la volonté de réussir. Le chemin le plus court n'est pas toujours le meilleur quand on vise un objectif. Réussir, c'est obtenir les meilleurs résultats tout en restant concentré sur l'objectif. La micro-immunothérapie a aidé nombre de mes patients à surmonter leurs maladies chroniques. Il faut avant tout trouver les causes et les traiter avec un remède adapté.
    Corinne I. Heitz
  • Avec du recul, après 30 ans de pratique de la médecine intégrative, je dois dire que de découvrir la micro-immunothérapie a été le chaînon manquant dans mon diagnostic et ma thérapie de régulation systémique. La micro-immunothérapie est le tremplin le plus significatif pour obtenir un impact psycho-immunologique précis et mesurable, de longue durée, tant dans les maladies aiguës que chroniques.
    Eleni Kavelara Lodge
  • Les Drs. Friderike et Petra Wiechel, deux spécialistes de la médecine biologique et intégrative dirigent ensemble la Swiss Mountain Clinic dans le canton des Grisons. Des repas sans gluten, de l'eau potable pure et un environnement pratiquement dépourvu d'électrosmog font de la clinique le lieu idéal pour trouver le calme et se régénérer. Avec leurs nombreuses méthodes de diagnostic, leurs différents traitements et thérapies, les médecins visent à rééquilibrer le corps. C'est pourquoi ils s'accordent si bien avec MeGeMIT et l'approche de la micro-immunothérapie.
    Petra et Frederike Wiechel
© IFMi 2024 | Webdesign & SEO by MSM Web Solutions
crossmenu linkedin facebook pinterest youtube rss twitter instagram facebook-blank rss-blank linkedin-blank pinterest youtube twitter instagram