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IFMi, l’Institut Français de Micro-immunothérapie

Chlamydiae et micro-immunothérapie

Agir sur le système immunitaire pour lutter contre la chlamydiose

Chlamydiae : définition, causes et incidence

La chlamydia est une infection sexuellement transmissible (IST) causée par la bactérie Chlamydiae trachomatis. Une personne peut l’attraper plusieurs fois au cours de sa vie.

La chlamydiose est à l’origine de l’une des IST les plus fréquentes en France et dans les pays industrialisés chez les moins de 25 ans et le nombre de cas augmente depuis une quinzaine d’années. L’infection à chlamydiae – parfois appelée chlamydia – touche les femmes comme les hommes : en France, 1,4 % des hommes et 1,6 % des femmes de 18 à 44 ans en sont atteints.

Facteurs de risques et lien avec le système immunitaire

La chlamydia se transmet lors de relations sexuelles orales, anales ou vaginales non protégées, par l’échange de jouets sexuels, par l’échange de liquides biologiques, et le contact des muqueuses. Elle est rarement transmise par cunnilingus.

La chlamydia peut aussi être transmise au nouveau-né par sa mère infectée pendant l’accouchement.

Les facteurs de risque de la chlamydia sont :

  • avoir plus d’un partenaire sexuel ;
  • avoir un partenaire qui a d’autres partenaires sexuels ;
  • avoir contracté une IST dans le passé ;
  • avoir entre 15 et 29 ans ;
  • être séropositif pour le VIH.

Le système immunitaire joue un rôle prépondérant dans le contrôle de l’infection d’où la nécessité de soutenir le système immunitaire dans la lutte contre cette bactérie.

Manifestations cliniques

La Chlamydia trachomatis est un microbe assez sournois. Que ce soit chez les hommes ou chez les femmes, près de la moitié des personnes infectées par la bactérie Chlamydia trachomatis n’a pas de symptômes. On parle alors d’infection silencieuse. Pourtant, la bactérie est bien là et peut faire de sérieux dégâts. Quand une personne a des symptômes, ils apparaissent de 2 à 3 semaines après la transmission de la bactérie. Ce délai peut parfois aller jusqu’à 6 semaines.

Chez la femme, lorsque les chlamydiae se cantonnent à l’urètre (canal qui va de la vessie au méat urinaire), au vagin ou au col de l’utérus, les conséquences ne sont pas trop graves. Si des symptômes apparaissent, ils se limitent à une sensation de brûlure en urinant, dues à l’inflammation de l’urètre ou urétrite, à des pertes vaginales blanchâtres, appelées leucorrhées dues à une inflammation du col de l’utérus, ou des douleurs pelviennes ou rectales.

Les complications se profilent lorsque la bactérie se propage à l’utérus et aux trompes de Fallope, pouvant entraîner une salpingite (infection des trompes utérines).

Si les hommes ne sont pas épargnés, les séquelles sont plus rares chez eux. Des cas de stérilité ont été observés après une infection de la prostate.

Chez l’enfant nouveau-né à qui la mère transmet les chlamydiae :

  • une infection des yeux avec des rougeurs et écoulements à ce niveau ;
  • une infection pulmonaire pouvant entraîner une toux, une respiration difficile et de la fièvre.

Conseils et prévention

Mesures préventives de base

L’usage des préservatifs aide à prévenir la transmission de la chlamydia durant les rapports sexuels anaux ou vaginaux. Les préservatifs ou digues dentaires peuvent servir aussi de moyen de protection pendant les activités sexuelles orales.

Mesures de dépistage de la chlamydia

La chlamydia peut être dépistée, tant chez l’homme que chez la femme, grâce à un simple test. On prélève chez l’homme, le premier jet d’urine, et chez la femme, le premier jet d’urine ou bien on lui fait pratiquer un auto-prélèvement vulvo-vaginal. D’autres prélèvements sont possibles, au niveau de l’ouverture de l’urètre, du col de l’utérus (avec un examen gynécologique) ainsi que des auto-prélèvements rectaux, ou un prélèvement dans la gorge.

Un examen régulier de dépistage permet un traitement rapide et évite la transmission de l’infection à de nouveaux partenaires. Dans le cas d’un résultat positif, il importe d’aviser toute personne avec qui vous avez eu des relations sexuelles et qui pourrait avoir été exposée. Elle devra subir un test de dépistage et être immédiatement traitée, si elle est infectée. Ce point est extrêmement important, car cette infection n’étant pas immunisante, on peut l’attraper plusieurs fois de suite. Or, dans 84 % des cas, une personne qui subit une nouvelle contamination l’a été par la même personne que la première fois !

Traitements existants pour les la chlamydiae

La Chlamydiae se traite par antibiotiques. On dispose aujourd’hui d’un traitement en prise unique, l’azithromycine. Un autre traitement souvent prescrit est la doxycycline.

Le traitement prend un certain temps à agir pour guérir l’infection. Pendant ce temps, la personne demeure contagieuse.

Traitement complémentaire de la micro-immunothérapie 

La micro-immunothérapie se sert de cytokines essentielles pour répondre aux infections bactériennes, comme les interleukines 1 et 2 ou l’interféron alpha. Ces cytokines sont utilisées en dilutions modulatrices pour aider le système immunitaire à détecter la bactérie et activer les cellules qui la détruiront sans provoquer de réaction excessive. Grâce à des acides nucléiques spécifiques, la micro-immunothérapie cherche également à freiner la prolifération de la bactérie. Dans le cas de Chlamydia, elle vise donc deux objectifs principaux : la modulation du système immunitaire et une collaboration étroite avec l’organisme pour qu’il fournisse une réponse adaptée à l’infection à Chlamydia.

Compatible avec d’autres traitements, la micro-immunothérapie est adaptée à tous les types de patientsfacile d’administration et bien tolérée.

Vous êtes médecin, membre d'un groupe médical spécialisé ou thérapeute ?

L’Institut Français de Micro-immunothérapie permet aux professionnels de santé de développer les connaissances nécessaires à la prise en charge du système immunitaire de façon préventive ou afin de restaurer son bon fonctionnement sur le long terme tout en intégrant la micro-immunothérapie comme outil thérapeutique immunocompétent et accessible à tous les praticiens.

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  • Je pratique la micro-immunothérapie dans mon propre cabinet près du lac de Constance (Suisse) depuis plus de 20 ans. Le golf est mon hobby, la micro-immunothérapie est ma passion ; ils ont quelque chose en commun.
    Pour pratiquer les deux, j'ai besoin de précision, d'une routine constante et de la volonté de réussir. Le chemin le plus court n'est pas toujours le meilleur quand on vise un objectif. Réussir, c'est obtenir les meilleurs résultats tout en restant concentré sur l'objectif. La micro-immunothérapie a aidé nombre de mes patients à surmonter leurs maladies chroniques. Il faut avant tout trouver les causes et les traiter avec un remède adapté.
    Corinne I. Heitz
  • Avec du recul, après 30 ans de pratique de la médecine intégrative, je dois dire que de découvrir la micro-immunothérapie a été le chaînon manquant dans mon diagnostic et ma thérapie de régulation systémique. La micro-immunothérapie est le tremplin le plus significatif pour obtenir un impact psycho-immunologique précis et mesurable, de longue durée, tant dans les maladies aiguës que chroniques.
    Eleni Kavelara Lodge
  • Les Drs. Friderike et Petra Wiechel, deux spécialistes de la médecine biologique et intégrative dirigent ensemble la Swiss Mountain Clinic dans le canton des Grisons. Des repas sans gluten, de l'eau potable pure et un environnement pratiquement dépourvu d'électrosmog font de la clinique le lieu idéal pour trouver le calme et se régénérer. Avec leurs nombreuses méthodes de diagnostic, leurs différents traitements et thérapies, les médecins visent à rééquilibrer le corps. C'est pourquoi ils s'accordent si bien avec MeGeMIT et l'approche de la micro-immunothérapie.
    Petra et Frederike Wiechel
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