COVID-19 et micro-immunothérapie

Cette pneumonie (COVID-19) est une maladie infectieuse causée par un virus appartenant à la famille des coronavirus, pour le moment identifié sous le nom de SARS-CoV-2.

La COVID-19 a été identifiée pour la première fois en décembre 2019 dans la ville de Wuhan, en Chine. Le réservoir de virus est probablement animal. Même si le SARS-CoV-2 est très proche d’un virus détecté chez une chauve-souris, l’animal à l’origine de la transmission à l’homme n’a pas encore été identifié. L’hypothèse du pangolin, petit mammifère consommé dans le sud de la Chine, comme hôte intermédiaire entre la chauve-souris et l’homme, n’a pas été confirmée.

La pandémie de COVID-19, véritable crise sanitaire, a eu un impact significatif sur la santé publique dans le monde entier. Les systèmes de santé ont été mis à rude épreuve, les écoles et les entreprises ont dû fermer, et des millions de personnes ont perdu leur emploi ou leur entreprise. Les mesures de confinement et les fermetures de frontières ont également eu des conséquences économiques et sociales importantes.

L’incidence de la COVID-19 est très variable dans le monde, mais elle a été particulièrement élevée dans certaines régions, comme les États-Unis, le Brésil, l’Inde et le Mexique. Cependant, cela ne signifie pas que ces pays sont les seuls touchés, la pandémie s’est propagée presque partout dans le monde entier et de nombreux pays ont connu des niveaux élevés de morbidité et de mortalité.

La France a été l’un des pays les plus durement touchés par la pandémie de COVID-19 en Europe. La maladie a été détectée pour la première fois dans le pays en janvier 2020, et depuis lors, le nombre de cas et de décès a continué à augmenter.

Il existe plusieurs facteurs de risque pour développer une forme grave de COVID-19, cependant, il est important de noter que la plupart des personnes qui contractent le virus ont des symptômes bénins ou n’en ont pas du tout.

Voici quelques-uns des principaux facteurs de risque identifiés pour développer une forme grave de COVID-19 :

• l’âge avancé : Les personnes âgées de plus de 65 ans ont un risque accru de complications graves, en particulier si elles ont d’autres conditions de santé préexistantes ;
• les comorbidités médicales : Les personnes atteintes de maladies chroniques telles que l’hypertension, le diabète ou les maladies cardiaques ont un risque accru de complications graves liées à la COVID-19 ;
• les troubles de l’immunité : Les personnes atteintes d’un trouble de l’immunité, comme le cancer ou le VIH, ont un risque accru de complications graves ;
• l’obésité : Les personnes obèses (IMC > 30) ont un risque plus élevé de formes graves de la COVID-19 ;
• le tabagisme : Les fumeurs ont un risque accru de complications graves liées à la COVID-19.

Il est important de noter que ces facteurs de risque sont associés à une forme grave de COVID-19, mais ne garantissent pas qu’une personne développera une forme grave de la maladie.

Le système immunitaire joue un rôle clé dans la réponse au virus SARS-CoV-2, qui cause la COVID-19. Lorsque le virus entre dans l’organisme, il se lie aux récepteurs cellulaires appelés ACE2, qui se trouvent sur la surface des cellules respiratoires. Une fois qu’il a pénétré dans les cellules, le virus se multiplie, entraînant une réponse immunitaire.

Le système immunitaire inné, qui est le premier à réagir lorsqu’une infection se produit, reconnaît les protéines virales et déclenche une réponse immunitaire pour tenter de combattre l’infection. Les cellules dendritiques et les macrophages phagocytent les virus et les présentent aux lymphocytes T et aux lymphocytes B pour une réponse immunitaire adaptative. Les lymphocytes T cytotoxiques (CD8+) peuvent reconnaître et tuer les cellules infectées par le virus, tandis que les lymphocytes B produisent des anticorps pour neutraliser le virus et empêcher sa réplication.

En résumé, le système immunitaire est impliqué dans toutes les étapes de la réponse à l’infection par le SARS-CoV-2. Il intervient dans la reconnaissance du virus, dans la destruction des cellules infectées et dans la production d’anticorps qui permettent de mémoriser le virus pour une réponse rapide lors d’une nouvelle infection. Cependant, la réponse immunitaire peut varier d’une personne à l’autre, et certaines personnes peuvent avoir des réponses immunitaires moins efficaces ou moins rapides, ce qui peut les rendre plus vulnérables à la COVID-19. Ces personnes sont souvent celles qui ont des facteurs de risques comme l’âge avancé, les maladies chroniques ou l’obésité.

Les manifestations cliniques de la COVID-19 varient considérablement, allant d’une infection asymptomatique à une maladie grave pouvant entraîner la mort. Les symptômes les plus couramment signalés comprennent : la fièvre, la toux, la difficulté à respirer, la fatigue, les maux de tête, la perte de goût ou d’odorat, et les courbatures et douleurs musculaires. Chez certains individus, il peut également y avoir des symptômes digestifs tels que des nausées, des vomissements et des diarrhées.

Il existe plusieurs mesures préventives que les individus peuvent prendre pour réduire le risque de contamination et de propagation de la COVID-19 :

• le lavage des mains régulièrement avec de l’eau et du savon pendant au moins 20 secondes, ou l’utilisation d’un désinfectant pour les mains à base d’alcool si de l’eau et du savon ne sont pas disponibles ;
• le port du masque facial dans les espaces publics fermés et les lieux où la distance physique ne peut pas être maintenue ;
• la pratique de la distanciation physique en évitant les rassemblements et en maintenant une distance d’au moins 2 mètres avec les autres ;
• éviter de se toucher le visage, en particulier les yeux, le nez et la bouche ;
• le confinement à la maison en cas de maladie ;
• éviter de contacter les personnes âgées ou vulnérables ;
• éviter les voyages non essentiels ;
• suivre les recommandations et les directives des autorités sanitaires locales pour les fermetures et les restrictions.

Il est important de noter que des recommandations peuvent varier en fonction de l’évolution de l’épidémie de COVID-19, des autorités sanitaires et peuvent donc varier en fonction de la situation épidémique dans votre zone géographique.

La micro-immunothérapie offre de nombreuses possibilités de traitement dans le cas de la COVID-19 ; permettant d’aborder la maladie depuis le processus inflammatoire, les troubles mitochondriaux, la fatigue, la dépression, les troubles de la mémoire jusqu’aux co-infections fréquentes. En particulier, les études actuelles mettent en évidence un lien entre le syndrome COVID long et les réactivations du virus Epstein-Barr (EBV).

La micro-immunothérapie utilise des substances messagères telles que les cytokines en low doses, qui imitent le fonctionnement naturel du système immunitaire et garantissent une bonne tolérabilité au traitement.

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