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IFMi, l’Institut Français de Micro-immunothérapie

Toxoplasmose et micro-immunothérapie

Agir sur le système immunitaire pour lutter contre la toxoplasmose

Toxoplasmose : définition, causes et incidence

La toxoplasmose est une infection parasitaire, présente partout dans le monde, due au protozoaire (organisme unicellulaire) Toxoplasma gondii – du grec toxon, « arc », et plasma, « forme » à cause de sa forme –, dont l’hôte définitif est un félidé.

Elle se contracte lors de contact avec un chat porteur du parasite ou en consommant des aliments contaminés (viande mal cuite, fruits et légumes crus). Elle n’est pas contagieuse entre les êtres humains et est le plus souvent bénigne et asymptomatique. 80 % des personnes atteintes, y compris les femmes enceintes, n’ont pas de symptômes.

La toxoplasmose peut toutefois causer des complications parfois graves chez les patients immunodéprimés, être accompagnée de fièvre et provoquer diverses lésions (oculaires, cardiaques, pulmonaires, voire neurologiques). Elle peut également toucher les fœtus des femmes enceintes qui contractent la toxoplasmose pour la première fois au cours de leur grossesse et impacter fortement le système nerveux central, provoquant des retards psychomoteurs graves, des calcifications intracrâniennes, des convulsions, une hydrocéphalie ou au contraire une microcéphalie, des dilatations ventriculaires, une modification des réflexes, de l’hypotonie ou de l’hypertonie et des lésions oculaires.

Après contamination, les personnes restent immunisées toute leur vie.

Avant de contaminer l’être humain, le toxoplasma gondii atteint :

  • des animaux « hôtes intermédiaires » qui ne présentent aucun symptôme. C’est le cas des herbivores et omnivores (porc, bovin, mouton, chèvre…) et des oiseaux chez lesquels le parasite est présent sous des formes inactives (kystes). Cependant, l’homme peut présenter une toxoplasmose s’il ingère les kystes contenus dans de la viande contaminée, peu cuite, de ces animaux (porc et bœuf essentiellement). Une cuisson insuffisante ne tue pas les kystes ;
  • des animaux « hôtes définitifs » tels que les chats et autres félins. Il prend alors une forme active (oocystes). Ces animaux éliminent les parasites dans leurs excréments et peuvent ainsi contaminer l’homme. Les sources de contamination sont :
    • le contact direct avec un chat qui chasse pour se nourrir, ou sa litière. Un chat d’appartement nourri avec des aliments industriels ne risque pas de contaminer l’homme,
    • la terre ou l’eau de rivière souillées par les excréments,
    • les fruits et légumes crus souillés et mal lavés.
  • Le parasite peut traverser la barrière du placenta lorsqu’une femme enceinte contracte la toxoplasmose au cours de sa grossesse. Il contamine alors le fœtus ;
  • Le parasite ne se transmet pas d’homme à homme. La toxoplasmose n’est donc pas contagieuse.

La prévalence de la toxoplasmose est faible en Asie ou en Amérique, elle est de 20 à 50 % en Europe du Sud et les régions humides de l’Afrique et jusqu’à 70 % en Europe de l’Ouest.

Le pourcentage de femmes enceintes immunisées contre la toxoplasmose baisse régulièrement en France : elle était de plus de 54 % en 1995, n’était plus que de 44 % en 2003 et de 37 % en 2010.

Facteurs de risques et lien avec le système immunitaire

Tout le monde peut contracter la toxoplasmose mais certaines personnes sont plus à risque de la développer et des facteurs de risque favorisent son apparition.

Nous l’avons vu, la toxoplasmose est le plus souvent bénigne et asymptomatique mais les femmes enceintes peuvent transmettre la maladie au fœtus en entraînant de graves problèmes de santé.

De même, les personnes dont le système immunitaire est affaibli sont plus à risque de sérieux problèmes de santé :

  • les personnes atteintes du SIDA/VIH ;
  • les personnes qui suivent une chimiothérapie ;
  • les personnes qui prennent des stéroïdes ou des médicaments immunosuppresseurs ;
  • les personnes qui ont reçu une transplantation.

Les facteurs de risque de contracter la toxoplasmose sont les suivants :

  • être en contact avec des excréments de chats par la manipulation de terre ou de litière ;
  • vivre ou voyager dans des pays dont les conditions sanitaires sont déficientes (eau ou viande contaminée) ;
  • très rarement, la toxoplasmose peut être transmise par une transplantation d’organe ou une transfusion sanguine.

Toxoplasma gondii et réponse immunitaire

Diverses cellules participent à la réponse immunitaire contre Toxoplasma Gondii, notamment les lymphocytes T et les cellules Natural Killer. Ces cellules produisent toute une série de cytokines pro-inflammatoires telles que l’interféron gamma (IFN-gamma) ou le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-alpha) qui favorisent la destruction des cellules infectées. En plus de cela, les lymphocytes B s’activent : ces cellules fabriquent des anticorps spécifiques, notamment de type IgG, qui sont essentiels pour combattre l’infection. Cependant, une activation excessive de l’immunité peut entraîner des lésions dans l’organisme, c’est pourquoi il est important de maintenir un équilibre.

Manifestations cliniques

Symptômes

La période d’incubation de la toxoplasmose est mal connue. Il semble qu’elle dure entre 5 et 10 jours après la contamination par le parasite. Dans plus de 80 % des cas, la maladie passe inaperçue.

Lorsque les symptômes apparaissent, il s’agit de :

  • fièvre modérée (inférieure à 38 °C) ;
  • présence de ganglions (essentiellement au niveau du cou et à la base du crâne) ;
  • éruption cutanée (petits boutons rosés) sur l’ensemble du corps ;
  • fatigue souvent prolongée (plusieurs semaines ou mois) ;
  • mal de tête ;
  • douleurs dans les articulations et les muscles.

Réactivation

Le parasite reste présent dans le corps (dans le tissu nerveux et les muscles) pendant des années, sans entraîner de symptômes car le système immunitaire le maintient inactif.

La maladie survient après une première infection, mais la réactivation d’une toxoplasmose ancienne est observée chez les patients souffrant d’un déficit important de l’immunité, le parasite pouvant redevenir virulent après plusieurs années.

Il est donc recommandé pour les personnes immunodéprimées d’effectuer un dépistage systématique de la toxoplasmose. Si le résultat est positif, le patient est alors immunisé mais doit faire l’objet d’une surveillance systématique et/ou suivre un traitement préventif, même en l’absence de symptôme car le parasite, présent dans l’organisme, peut se réactiver. Si le résultat est négatif, le patient devra adopter les mêmes mesures de prévention que la femme enceinte et une surveillance sérologique est instaurée tous les 6 mois.

Complications

La principale complication observée de la toxoplasmose est une atteinte cérébrale sous forme d’un abcès, avec des symptômes spécifiques :

  • fièvre élevée (supérieure à 38 °C) ;
  • mal de tête important et persistant ;
  • crises d’épilepsie ;
  • difficulté à réaliser certains gestes, voire paralysie de certaines parties du corps (si le parasite touche des zones du cerveau qui exécutent les mouvements volontaires).

Une autre complication fréquemment observée est la choriorétinite (inflammation touchant deux parties de l’œil, la choroïde et la rétine) qui peut se manifester par plusieurs symptômes :

  • une baisse de l’acuité visuelle ;
  • une impression de “mouches” volant devant les yeux ;
  • une rougeur de l’œil.

Le parasite atteint quelquefois d’autres organes (poumons, etc.).

Infection du foetus

L’infection du fœtus – toxoplasmose congénitale – par Toxoplasma gondii transmis par la mère suppose que cette dernière a été en contact avec le parasite pendant la grossesse et qu’elle n’était pas immunisée contre la maladie. La plupart du temps, la toxoplasmose est asymptomatique chez la femme enceinte et le diagnostic est posé lors du dépistage sérologique.

Plus la contamination par Toxoplasma gondii survient tôt lors de la grossesseplus la toxoplasmose congénitale est graveLa principale complication chez le fœtus est la choriorétinite qui se déclare après la naissance ou même à l’adolescence ou à l’âge adulte, et qui peut être responsable de déficit visuel.

La maladie peut entraîner d’autres complications graves en cas de contamination précoce lors de la grossesse : mort in utéro, accouchement prématuré, séquelles neurologiques (anomalies de développement du cerveau, retard psychomoteur…)

Elle peut être latente (90 % des cas) : dans ce cas, le nouveau-né n’a pas de symptôme mais ses tests biologiques montrent qu’il a été en contact avec le parasite. Le traitement précoce limite une possible évolution secondaire vers une forme oculaire ou neurologique retardée. L’atteinte oculaire secondaire est cependant possible tout au cours de la vie, dans environ 25 % des cas. Le suivi clinique une fois par an est poursuivi jusqu’à l’âge adulte, avec contrôle du fond d’œil.  

En France, depuis 2007, un dépistage de la toxoplasmose obligatoire est mis en place.

Si la femme enceinte a déjà été infectée par le parasite de la toxoplasmose avant la grossesse et qu’elle est immunisée, il n’y a pas de mesure particulière à prendre durant la grossesse. En revanche, si elle n’est pas immunisée, un dépistage systématique par sérologie est réalisé chaque mois jusqu’à l’accouchement et une dernière sérologie est faite dans le mois suivant l’accouchement. Simultanément, des recommandations hygiéno-diététiques sont données afin de réduire le risque de contamination.

Le risque de transmission du parasite augmente durant la grossesse :

  • au 1er trimestre, il est d’environ 10 %, et la contamination peut provoquer une fausse couche ;
  • au 2ème trimestre, le risque de transmission passe à environ 30 % ;
  • au 3ème trimestre, il monte à environ 60 %.

À l’inverse, plus la transmission du parasite à l’enfant arrive tard durant la grossesse, moins la toxoplasmose congénitale entraîne des lésions graves.

Conseils et prévention

Il n’existe pas de vaccin contre la toxoplasmose. Il convient donc de mettre en place quelques mesures pour prévenir l’apparition de la maladie chez les personnes à risque, et particulièrement les personnes immunodéprimées et la femme enceinte du début de la grossesse jusqu’à l’accouchement :

  • l’hygiène des mains est Le lavage des mains avec du savon (et le brossage des ongles) est une arme efficace contre les microbes et parasites :
    • avant de préparer le repas,
    • après avoir manipulé de la viande crue ou des légumes souillés par de la terre,
    • avant de passer à table,
    • en rentrant du jardin,
    • après avoir caressé des animaux ou changer la litière.
  • l’hygiène de la cuisine : Le lavage des surfaces et des ustensiles de cuisine après chaque utilisation, surtout après avoir découpé de la viande crue est tout aussi important ;
  • au niveau de l’alimentation:
    • rinçage des crudités, fruits et plantes aromatiques à l’eau claire pour retirer toute trace de terre,
    • cuisson longue et à cœur de la viande, à plus de 68°. Le four micro-ondes ne détruit pas mieux le parasite que les autres modes de cuisson,
    • éviter la consommation de viande marinée, fumée, salée ou grillée,
    • congélation de la viande au moins 3 jours à une température inférieure à – 18°,
    • éviter de consommer des moules, huitres ou tout autre mollusque crus,
    • boire de l’eau en bouteille,
    • au restaurant ou chez des amis, éviter la consommation de crudités au profit de légumes cuits ainsi que la viande bien cuite.
  • Précautions à prendre avec le chat et si on s’adonne au jardinage :
    • laver le bac à litière avec de l’eau très chaude (+ 70°) en utilisant des gants ou demander à une autre personne de le faire,
    • porter des gants pour jardiner ou pour tout contact avec la terre. Le lavage des mains après les activités de jardinage, même si elles sont protégées par des gants, est primordial.

Traitements existants de la toxoplasmose

Généralement, la toxoplasmose ne nécessite aucun soin particulier et ne laisse pas de séquelles. Toutefois, un traitement peut être indispensable chez les patients à risque. Les enfants contaminés durant la grossesse bénéficient aussi d’un suivi.

Après l’examen de son patient, le médecin peut demander une sérologie pour confirmer le diagnostic de toxoplasmose. Cet examen sanguin détermine si l’organisme a développé des anticorps présents dans le sang et si le patient est séronégatif (s’il n’a jamais été en contact avec Toxoplasma gondii), s’il a été contaminé récemment (primo-infection ou toxoplasmose récente) ou s’il s’agit d’une toxoplasmose ancienne.

Chez la femme enceinte, afin d’affiner le diagnostic, et si la contamination est difficile à dater, d’autres examens sont réalisés :

  • le test sanguin d’avidité des IgG, exprimé en pourcentages, qui déterminera si l’infection est récente ou ancienne ;
  • la recherche de l’ADN du toxoplasme dans le liquide amniotique ou le sang du cordon ou du placenta par amniocentèse ;
  • des échographies mensuelles, jusqu’à l’accouchement, pour dépister des anomalies fœtales ;
  • la recherche d’anticorps anti-toxoplasma dans le sang du nouveau-né, puis jusqu’à l’âge d’un an.

Chez les personnes immunodéprimées, le parasite de la toxoplasmose peut toucher d’autres organes (cerveau, cœur, poumon…). Ainsi, en dehors des examens sanguins avec recherche des anticorps, des examens spécialisés, comme la recherche de l’ADN du toxoplasme, sont réalisés dans un laboratoire spécifique et expert :

  • dans le liquide céphalorachidien prélevé par ponction lombaire ;
  • dans des prélèvements d’organes (ex. : sang, moelle osseuse, biopsie cérébrale).

Pour diagnostiquer ou faire le suivi de la toxoplasmose, des analyses sanguines répétées sont parfois nécessaires. La recherche d’anticorps peut reposer sur différentes techniques. Pour une meilleure interprétation des résultats, il est important que les examens soient réalisés dans le même laboratoire et que la technique employée soit toujours la même.

Dans la plupart des cas, aucun traitement n’est nécessaire contre la toxoplasmose qui guérit spontanément chez les personnes ayant des défenses immunitaires normales.

Par contre, en cas de séroconversion avec apparition d’anticorps anti-Toxoplasma au cours de la grossesse, la femme enceinte est adressée rapidement vers un service hospitalier pour confirmation du diagnostic et prise en charge de la toxoplasmose. Un traitement par spiramycine est prescrit jusqu’au bilan en centre spécialisé.

Après le bilan et si l’enfant présente une toxoplasmose congénitale confirmée par une analyse du liquide amniotique, deux antibiotiques (pyriméthamine et sulfadiazine) sont prescrits en association jusqu’à l’accouchement. Ces médicaments peuvent provoquer une carence en acide folique, parfois à l’origine d’une anémie. Pour l’éviter, la prise de comprimés d’acide folique est indiquée durant le traitement. En présence de malformations fœtales graves à l’échographie, une interruption médicale de grossesse peut être demandée par les parents. Si le diagnostic de toxoplasmose anténatale est négatifle traitement par spiramycine est poursuivi jusqu’à l’accouchement.

Le nouveau-né présentant une toxoplasmose congénitale reçoit un traitement antibiotique par pyriméthamine-sulfamides pendant au moins un an. Une surveillance régulière est nécessaire.

Les personnes immunodéprimées qui ont eu une infection ancienne par la toxoplasmose doivent parfois suivre un traitement préventif par antibiotiques (cotrimoxazole). Chez ceux pour qui certains organes sont atteints par le Toxoplasma gondii, ou qui ont une atteinte oculaire, le traitement de première intention consiste en l’association de pyriméthamine et sulfadiazine, couplée à la prise d’acide folique. Une alternative existe et consiste en l’association de pyriméthamine et clindamycine.

Traitement complémentaire de la micro-immunothérapie : bénéfices et objectifs de la thérapie

Le système immunitaire est préparé pour lutter contre les infections qu’elles soient d’origine virale, bactérienne ou parasitaire. Lorsque la réponse immunitaire est déficiente et ne fonctionne pas à 100 %, les microorganismes se multiplient plus facilement dans le corps, et favorisent ainsi le développement de maladies et/ou deviennent des infections chroniques. La micro-immunothérapie vise à aider le système immunitaire à détecter les agents infectieux et à contrôler leur multiplication dans l’organisme.

Pour combattre la toxoplasmose, on prescrit en général divers médicaments qui visent à bloquer la réplication du Toxoplasma gondii.  La micro-immunothérapie peut être utilisée comme traitement complémentaire des thérapies conventionnelles. Son objectif est de soutenir le système immunitaire dans sa lutte contre le parasite via l’utilisation de cytokines et d’acides nucléiques spécifiques. La préparation de ces substances en low doses séquentielles garantit leur bonne tolérance par l’organisme et la compatibilité avec d’autres traitements.

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L’Institut Français de Micro-immunothérapie permet aux professionnels de santé de développer les connaissances nécessaires à la prise en charge du système immunitaire de façon préventive ou afin de restaurer son bon fonctionnement sur le long terme tout en intégrant la micro-immunothérapie comme outil thérapeutique immunocompétent et accessible à tous les praticiens.

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  • Je pratique la micro-immunothérapie dans mon propre cabinet près du lac de Constance (Suisse) depuis plus de 20 ans. Le golf est mon hobby, la micro-immunothérapie est ma passion ; ils ont quelque chose en commun.
    Pour pratiquer les deux, j'ai besoin de précision, d'une routine constante et de la volonté de réussir. Le chemin le plus court n'est pas toujours le meilleur quand on vise un objectif. Réussir, c'est obtenir les meilleurs résultats tout en restant concentré sur l'objectif. La micro-immunothérapie a aidé nombre de mes patients à surmonter leurs maladies chroniques. Il faut avant tout trouver les causes et les traiter avec un remède adapté.
    Corinne I. Heitz
  • Avec du recul, après 30 ans de pratique de la médecine intégrative, je dois dire que de découvrir la micro-immunothérapie a été le chaînon manquant dans mon diagnostic et ma thérapie de régulation systémique. La micro-immunothérapie est le tremplin le plus significatif pour obtenir un impact psycho-immunologique précis et mesurable, de longue durée, tant dans les maladies aiguës que chroniques.
    Eleni Kavelara Lodge
  • Les Drs. Friderike et Petra Wiechel, deux spécialistes de la médecine biologique et intégrative dirigent ensemble la Swiss Mountain Clinic dans le canton des Grisons. Des repas sans gluten, de l'eau potable pure et un environnement pratiquement dépourvu d'électrosmog font de la clinique le lieu idéal pour trouver le calme et se régénérer. Avec leurs nombreuses méthodes de diagnostic, leurs différents traitements et thérapies, les médecins visent à rééquilibrer le corps. C'est pourquoi ils s'accordent si bien avec MeGeMIT et l'approche de la micro-immunothérapie.
    Petra et Frederike Wiechel
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