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IFMi, l’Institut Français de Micro-immunothérapie

La Fibromyalgie et micro-immunothérapie

Agir sur le système immunitaire pour lutter contre la fibromyalgie

Découvrez comment la micro-immunothérapie peut vous aider à lutter contre les processus inflammatoires de la fibromyalgie.

La fibromyalgie : définition et causes

La fibromyalgie, ou syndrome fibromyalgique, est une affection chronique, caractérisée par des douleurs diffuses persistantes et une sensibilité à la pression souvent associées à une fatigue intense, des troubles du sommeil, etc.
Au fur et à mesure que ces douleurs et ces troubles apparaissent, la capacité à effectuer les activités et actes de la vie quotidienne diminue et cela peut varier d’une personne à l’autre et évoluer dans le temps.

À ce jour, la cause de la fibromyalgie n’est pas connue mais un certain nombre de facteurs sont cependant impliqués.

Au niveau du système nerveux central, les voies de détection et de contrôle de la douleur sont altérées chez la personne fibromyalgique.
Les neurotransmetteurs au niveau des cellules neurologiques sont perturbés. La combinaison de ces anomalies aboutit à une extrême sensibilité à la douleur, de 2 types :

  • l’allodynie : perception douloureuse de stimulations qui sont habituellement indolores. Par exemple, le fait d’être touché simplement ;
  • l’hyperalgésie : perception anormalement importante des stimulations douloureuses.

En France, on estime que 1,5 à 2 % de la population souffrirait d'un syndrome fibromyalgique. Les femmes, entre 40 et 50 ans, sont plus fréquemment affectées par la fibromyalgie. À l’échelle mondiale, les pays occidentaux sont les plus touchés.

Manifestations cliniques de la fibromyalgie

La douleur chronique est le symptôme toujours présent en cas de fibromyalgie. Les autres symptômes (fatigue, perturbation du sommeil, etc.) diffèrent d’un patient à l’autre et évoluent au fil du temps. Le diagnostic repose sur une évaluation et un examen clinique.

Au départ, la douleur peut être localisée puis elle s’étend à tout le corps. Les régions proches de la colonne vertébrale (la nuque, les épaules, la région interscapulaire, les omoplates, le bas du dos et les hanches) sont les plus sensibles.

Souvent, la douleur est maximale au réveil, avec une raideur qui peut être perçue à tous moments de la journée dès lors que la personne reste dans une même position. Les muscles, parfois siège de spasmes, semblent durs et sensibles à la pression et les articulations gonflées.

La douleur est parfois :

  • Diffuse et migratrice, car elle n’est pas toujours localisée au même endroit ;
  • Permanente, mais fluctuante en intensité dans le temps ;
  • Variable. Elle peut parfois prendre la forme de douleurs articulaires, musculaires, tendineuses ou neurologiques (fourmillements, engourdissement, brûlures, décharges électriques, crampes).

Elle est aggravée par les efforts, le froid, l’humidité, les émotions, le maintien d’une activité et le manque de sommeil. La chaleur d’une douche ou d’un bain chaud et le repos nocturne permet de la calmer temporairement car les médicaments permettant de soulager la douleur ne sont pas toujours efficaces.

D’autres symptômes de la fibromyalgie peuvent être associés à la douleur, différents selon les malades, ils évoluent au cours du temps :

  • La fatigue : l’effort est mal toléré et le repos n’apporte qu’un bénéfice transitoire. Souvent très intense dès le réveil, elle peut devenir invalidante au moindre effort ;
  • Le sommeil perturbé : difficultés d’endormissement, réveils nocturnes, impression d’un sommeil superficiel, fragmenté et non réparateur, ce qui fait que la personne se réveille fatiguée ;

D’autres symptômes peuvent être présents tels que :

  • Une sensation de "muscles noués" ;
  • Des troubles digestifs (douleurs abdominales, ballonnements, syndrome de l’intestin irritable…) ;
  • Des troubles neurologiques (vertiges, maux de tête…) ;
  • Des difficultés respiratoires (essoufflement, douleurs thoraciques…) ;
  • Des troubles sensoriels, visuels (vision floue) ou auditifs (hypersensibilité au bruit et acouphènes) ;
  • Une intolérance au froid ou au chaud ;
  • Un besoin fréquent d’uriner et des mictions douloureuses ;
  • Des troubles de la mémoire et de l’attention ;
  • Des difficultés d’apprentissage ou d’expression

Certaines personnes souffrant de fibromyalgie décrivent avec minutie leurs symptômes. Elles peuvent en éprouver de l’anxiété, voire craindre de souffrir d’une maladie grave. Des troubles de l’humeur et une dépression peuvent aussi être présents.

D’une manière générale, les symptômes de la fibromyalgie sont chroniques et invalidants. Ils entraînent des perturbations dans les activités de la vie quotidienne et ont des répercussions familiales et sociales, avec des difficultés à se maintenir dans l’emploi, un repli sur soi, un isolement et une qualité de vie amoindrie.

Conseils et prévention

Il n’existe pas de manière de prévenir la fibromyalgie car sa cause n’est pas identifiée. Toutefois, il est recommandé de ne pas être en surpoids pour ne pas accentuer les douleurs au niveau des articulations et des muscles.

Pour mieux vivre la maladie au quotidien, voici quelques conseils :

  • Alterner chaque jour des périodes calmes avec des périodes actives ;
  • Augmenter progressivement les périodes d’activités ;
  • Ne pas pratiquer d’activités trop difficiles qui pourraient déclencher ou aggraver les symptômes ;
  • Pratiquer progressivement et régulièrement une activité physique en extérieur ;
  • Soulager les douleurs par la balnéothérapie ;
  • Planifier sa journée ;
  • Réduire le stress grâce à la relaxation et à la cohérence cardiaque ;
  • Répertorier les périodes de fortes douleurs et fatigue pour parfois mieux les appréhender.
  • Avoir une bonne hygiène de vie en veillant à l’alimentation et une bonne qualité de sommeil ;
  • Supprimer la consommation de caféine et le tabac.

Les allergènes les plus fréquents sont les suivants

Les pollens et les périodes de pollinisation varient selon les régions de France. Les symptômes rencontrés dans l’allergie respiratoire sont variés et il peut exister des réactions croisées avec certains aliments. Les tests biologiques permettent un diagnostic et une prise en charge de qualité.
L’allergie alimentaire est une réaction immunitaire inappropriée du corps face à un allergène donné. Cet allergène est considéré à tord par le corps comme un élément néfaste
Les piqûres d’hyménoptères (dont la guêpe, le frelon, l’abeille…) sont la plupart du temps bénignes mais elles peuvent être à l’origine de réactions allergiques potentiellement graves.
Les acariens de la poussière de maison sont de petites bêtes qui appartiennent à la même famille que les araignées. Ils mesurent environ 0,3 mm, ce qui les rend difficiles à distinguer à l’œil nu.
Une allergie médicamenteuse survient généralement dans l’heure qui suit la prise s’il s’agit d’une voie orale ou dans les minutes s’il s’agit d’une voie injectable. Le plus souvent, il s’agit d’une urticaire.
On parle d’allergie au latex quand une personne qui se trouve au contact de la substance pour la première fois développe une réaction immunitaire anormale qui amènera à une réaction allergique au second contact avec le latex.
L’allergie au nickel est une maladie qui s’installe progressivement, à force de contacts réguliers. Sa prise en charge ne nécessite pas une éviction stricte mais plutôt une somme de mesures d’éviction qui permettront un équilibre en dessous de son seuil de réactivité.

Les pollens et les périodes de pollinisation varient selon les régions de France. Les symptômes rencontrés dans l’allergie respiratoire sont variés et il peut exister des réactions croisées avec certains aliments. Les tests biologiques permettent un diagnostic et une prise en charge de qualité.

L’allergie aux moisissures est fréquente, même dans les maisons les plus propres. Les moisissures sont nombreuses et peuvent être présentes dans de multiples endroits

Nous utilisons chaque jour de nombreux produits cosmétiques. Toutefois, certains contiennent des substances allergènes, qui peuvent déclencher des réactions indésirables au niveau de la peau.

Lien avec le système immunitaire

Les scientifiques estiment que la fibromyalgie pourrait être une maladie auto-immune et que les symptômes de la maladie (la faiblesse musculaire, les douleurs, la fatigue...) résulteraient d'un dysfonctionnement du système immunitaire des patients.

Les scientifiques estiment que la fibromyalgie pourrait être une maladie auto-immune et que les symptômes de la maladie (la faiblesse musculaire, les douleurs, la fatigue...) résulteraient d'un dysfonctionnement du système immunitaire des patients.

  • Facteurs prédisposants, tels des antécédents personnels de dépression, de maladie, un contexte de vie difficile, un sentiment d'isolement, des difficultés d'adaptation aux évènements douloureux, etc. ;
  • Facteurs déclenchants, c’est-à-dire un traumatisme physique ou psychique comme un accident, une infection virale, un accouchement, une intervention chirurgicale, un surmenage, une rupture affective, le décès d’un proche, etc. ;
  • • facteurs d’entretien, qui participent à la prolongation des symptômes de la fibromyalgie. C’est le cas du stress, de l’anxiété, des inquiétudes, d’un déconditionnement musculaire (perte de la masse et de la force musculaire), etc.

Une personne atteinte de fibromyalgie souffre souvent d'autres problèmes de santé tels que :

Syndrome de
l’intestin irritable

Syndrome de
vessie irritable

Syndrome de
fatigue chronique

Syndrome des
jambes sans repos

Céphalées
de tension

Des
migraines

Temporo-mandibulaire

Un dysfonctionnement de l'articulation entre l'os temporal du crâne et le maxillaire inférieur, de maux de tête et de mâchoire, bruits dans l'articulation et limitation d'ouverture de la bouche ;
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Syndrome de Gougerot-Sjögren

Un syndrome de Gougerot-Sjögren, responsable de sécheresse de la bouche, des yeux et des muqueuses génitales.
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Troubles psychologiques

Comme des troubles anxieux graves, des crises de panique, des TOC, des épisodes dépressifs ou des troubles de la personnalité ;
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Traitements existants pour la fibromyalgie

De nombreux patients atteints de fibromyalgie ont connu un long parcours du combattant, car la maladie n'est pas facile à diagnostiquer. Le diagnostic repose donc sur une évaluation et un examen relevant une association de plusieurs critères médicaux (analyse des symptômes, examen de la personne). Comme les symptômes sont variés, il faut d'abord exclure tout autre maladie qui pourrait avoir des symptômes identiques ou proches (problèmes orthopédiques, maladies psychiques ou rhumatismales…). Cela peut se faire par le biais d'examens biologiques et/ou en adressant le patient à différents spécialistes.

Lors de l’évaluation, le médecin traitant se renseignera précisément sur les troubles. Il peut parfois être utile d'inscrire les zones concernées sur un croquis. Pour que le diagnostic de fibromyalgie soit posé, les douleurs doivent être présentes depuis plus de trois mois. En outre, d'autres symptômes tels que des troubles de la concentration, un épuisement, la fatigue, des douleurs ou des crampes d'estomac ou des maux de tête doivent accompagner la maladie.

Le médecin évalue la souffrance physique et morale de la personne. Il recherche aussi une dépression associée, préexistante (sans lien avec la fibromyalgie) ou secondaire (en lien avec le syndrome). Il apprécie le retentissement des symptômes sur la vie quotidienne.

Le médecin vérifie parfois la sensibilité à la douleur à l'aide de ce que l'on appelle les points sensibles. Une modalité consiste à étudier 18 points sur lesquels une pression suffisamment forte est exercée. Ces points de pression se situent dans la zone des muscles ainsi qu’à la jonction et à l’insertion des tendons et sont particulièrement sensibles à la pression.

Une fois le diagnostic de fibromyalgie posé, le médecin recherche des problèmes de santé souvent associés :

  • troubles psychologiques comme des troubles anxieux graves, crises de panique, TOC, épisodes dépressifs,
  • troubles de la personnalité ;
  • syndrome de l’intestin irritable ;
  • syndrome de fatigue chronique ;
  • syndrome des jambes sans repos ;
  • syndrome de Gougerot-Sjögren.

Afin d’améliorer la qualité de vie d'une personne fibromyalgique, une prise en charge globale et personnalisée est indispensable. Plusieurs traitements sont à envisager ; ils se complètent et la participation du patient est un élément important pour améliorer son état de santé.

Le traitement commun à chaque personne fait appel à la réhabilitation physique, complétée éventuellement par un traitement médicamenteux, voire un soutien psychologique.

De nombreux patients atteints de fibromyalgie craignent de faire de l'exercice en raison des douleurs, mais les sports d'endurance et les exercices légers comme le vélo, la natation ou la marche nordique aident à soulager les douleurs et à améliorer la qualité de vie. La balnéothérapie, les massages et la relaxation sont souvent bénéfiques.

Une thérapie multimodale de la douleur est particulièrement recommandée en cas de fortes douleurs. Celle-ci se compose généralement d'un programme d'exercices physiques, d'une psychothérapie et d'exercices de relaxation. Les maladies associées doivent parfois être traitées par des médicaments. En général, les analgésiques traditionnels sont déconseillés en cas de fibromyalgie.

L'alimentation joue un rôle important dans la fibromyalgie et peut améliorer les symptômes. Une alimentation riche en fruits et légumes est à privilégier par rapport à la viande, au sucre, aux produits laitiers, au blé et aux aliments industriels car elle permet de réduire le stress oxydatif et l’inflammation.

Les traitements médicamenteux sont prescrits en seconde intention aux personnes fibromyalgiques chez lesquelles la réhabilitation physique n’a pas suffi à améliorer significativement la qualité de vie et les douleurs musculaires, articulaires, tendineuses ou neurologiques.
Tenant compte des effets secondaires importants des médicaments sur le syndrome fibromyalgique, le médecin traitant doit peser, avec le patient, les bénéfices apportés par le traitement et ses effets indésirables.

Les médicaments pouvant être prescrits sont :

  • les antalgiques de niveau II, comme le tramadol ;
  • les antiépileptiques à visée antalgique (prégabaline ou gabapentine). Ces médicaments ont des effets indésirables : nausées, somnolence, vertiges, prise de poids ;
  • les antidépresseurs à faible dose et ayant une double action. La duloxétine a un effet antalgique. L’amitryptiline agit sur les douleurs et les troubles du sommeil.

Le traitement vise essentiellement à soulager les symptômes, qui varient beaucoup d’une personne à l’autre. Il est donc propre à chaque patient. Il est mis en place par le médecin traitant, qui en assure ensuite le suivi.

Le médecin peut conseiller à son patient fibromyalgique une prise en charge psychologique quand cela se révèle nécessaire. Cette aide est proposée au cas par cas.

L’avis d’un médecin spécialiste (rhumatologue, médecin exerçant dans une structure de prise en charge de la douleur, etc.) dans le traitement du patient atteint de fibromyalgie est nécessaire si :

  • l’ensemble des démarches thérapeutiques entreprises n’apporte pas assez de bénéfices au bout de 4 à 6 mois ;
  • la personne fibromyalgique a d’emblée de sévères limitations dans ses activités quotidiennes.

Cette prise en charge pluridisciplinaire a lieu le plus souvent en établissement de santé. Elle associe :

  • la réhabilitation physique hors contexte de soins ;
  • une éducation thérapeutique du patient fibromyalgique pour lui apprendre à gérer sa douleur, sa fatigue. Ces séances lui permettent de savoir comment organiser ses activités, comment utiliser les médicaments, etc. ;
  • un soutien à la poursuite ou à la reprise des activités professionnelles. Ceci se fait en lien avec le médecin du travail ;
  • une thérapie comportementale et cognitive, proposée au cas par cas, qui a pour but d’améliorer l'estime de soi, réduire le stress.

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  • Je pratique la micro-immunothérapie dans mon propre cabinet près du lac de Constance (Suisse) depuis plus de 20 ans. Le golf est mon hobby, la micro-immunothérapie est ma passion ; ils ont quelque chose en commun.
    Pour pratiquer les deux, j'ai besoin de précision, d'une routine constante et de la volonté de réussir. Le chemin le plus court n'est pas toujours le meilleur quand on vise un objectif. Réussir, c'est obtenir les meilleurs résultats tout en restant concentré sur l'objectif. La micro-immunothérapie a aidé nombre de mes patients à surmonter leurs maladies chroniques. Il faut avant tout trouver les causes et les traiter avec un remède adapté.
    Corinne I. Heitz
  • Avec du recul, après 30 ans de pratique de la médecine intégrative, je dois dire que de découvrir la micro-immunothérapie a été le chaînon manquant dans mon diagnostic et ma thérapie de régulation systémique. La micro-immunothérapie est le tremplin le plus significatif pour obtenir un impact psycho-immunologique précis et mesurable, de longue durée, tant dans les maladies aiguës que chroniques.
    Eleni Kavelara Lodge
  • Les Drs. Friderike et Petra Wiechel, deux spécialistes de la médecine biologique et intégrative dirigent ensemble la Swiss Mountain Clinic dans le canton des Grisons. Des repas sans gluten, de l'eau potable pure et un environnement pratiquement dépourvu d'électrosmog font de la clinique le lieu idéal pour trouver le calme et se régénérer. Avec leurs nombreuses méthodes de diagnostic, leurs différents traitements et thérapies, les médecins visent à rééquilibrer le corps. C'est pourquoi ils s'accordent si bien avec MeGeMIT et l'approche de la micro-immunothérapie.
    Petra et Frederike Wiechel

Traitement complémentaire de micro-immunothérapie

Cette maladie complexe nécessite un concept de traitement global. Dans ce cadre, la micro-immunothérapie peut constituer un complément important. Elle permet notamment de lutter contre les processus inflammatoires de la fibromyalgie.

La micro-immunothérapie est également importante en ce qui concerne la gestion du stress. En effet, le stress résulte souvent d'une interaction entre les systèmes immunitaire, nerveux et hormonal qui a perdu son équilibre. La micro-immunothérapie vise à réduire ce déséquilibre et à faciliter la gestion du stress.

La micro-immunothérapie est un outil thérapeutique intéressant car elle parvient à rééquilibrer efficacement le fonctionnement du système immunitaire en restaurant l’équilibre biologique de l’organisme sur plusieurs niveaux et permet au patient de retrouver un état d’esprit positif, le tout en un temps raisonnable et sans effets secondaires observables.

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