L'institut
Micro-immunothérapie
Services aux patients
Services aux praticiens
Nous contacter
Connexion à mon compte
Déjà inscrit ? Accédez à votre espace professionnel
IFMi, l’Institut Français de Micro-immunothérapie

Chaque jour, le corps est en constante exposition à une variété d'influences et de substances diverses.

Lorsque nous absorbons des substances étrangères par les muqueuses du nez par exemple, de la peau ou par le tractus gastro-intestinal, le corps vérifie s'il s'agit d'éventuels agents pathogènes.

Si le contrôle est positif, des fonctions de défense complexes sont immédiatement mises en œuvre pour neutraliser l'agent pathogène.

Il arrive toutefois que le système immunitaire fasse une erreur de diagnostic et que des substances en réalité inoffensives soient considérées comme dangereuses. C'est également le cas de l'allergie : le système immunitaire réagit de manière excessive à des substances en principe inoffensives.

Rôle potentiel du médicament de micro-immunothérapie 2LALERG dans le traitement de l'inflammation allergique induite par le pollen.

La pollinisation hivernale pour les arbres et arbustes a généralement lieu de la mi-janvier à mai. C'est donc dès maintenant que vous pouvez agir sur ces allergies !



La Dre. Ilse Fleck-Václavik se consacre au traitement holistique dans son cabinet de médecine générale à Perchtoldsdorf, en Basse-Autriche. Auparavant, après ses études de médecine à l'université de Vienne, elle a travaillé à l'hôpital général et dans d'autres hôpitaux de la capitale du pays. Fidèle à son motto "La force de la guérison", elle propose dans son cabinet depuis 2004 de nombreuses méthodes différentes qu'elle utilise en tant que médecin généraliste pour la santé de ses patients. 
Parmi celles-ci, la micro-immunothérapie, qui fait partie de son répertoire de méthodes de diagnostics complémentaires ainsi que de traitement des allergies. La médecine conventionnelle propose principalement des thérapies symptomatiques (p. ex. antihistaminiques, sprays à base de cortisone). En outre, on tente de rendre le corps moins sensible à l'allergène connu par le biais de "désensibilisations". L'objectif des thérapies complémentaires est de modifier fondamentalement l'organisme et, dans l'idéal, d'obtenir la guérison de l'allergie.

Dr Ilse Fleck-Václavik

L'inflammation chronique, un phénomène persistant et souvent insidieux, est associée à une multitude de maladies graves, telles que les maladies cardiovasculaires, les cancers, le diabète, et les maladies auto-immunes. Malgré les traitements traditionnels, la gestion de l'inflammation chronique reste un défi majeur en médecine. C'est dans ce contexte que la micro-immunothérapie suscite un intérêt croissant. Cette approche innovante, qui repose sur l'utilisation de substances naturelles à faibles doses pour moduler le système immunitaire, pourrait offrir une solution complémentaire dans le traitement de l'inflammation chronique. Une étude scientifique de 2022 explore la place de la micro-immunothérapie dans ce domaine, en évaluant ses effets sur l'atténuation de l'inflammation à long terme et ses bénéfices potentiels pour les patients souffrant de maladies inflammatoires chroniques.

Cette recherche ouvre la voie à de nouvelles perspectives thérapeutiques, visant à améliorer la gestion de l'inflammation et à réduire ses impacts sur la santé à long terme.

Étude des effets anti-inflammatoires cellulaires de différentes formulations de micro-immunothérapie : analyse des contextes d'inflammation intestinale en lien avec l'axe immunitaire et neuronal.

L'inflammation chronique est une forme d'inflammation "classique" qui persiste sur une longue période, pouvant durer de plusieurs mois à plusieurs années.

Contrairement à l'inflammation aiguë, qui est une réponse naturelle du corps pour favoriser la guérison, l'inflammation chronique est un signal négatif. En effet, le corps perçoit une menace continue (même si ce n'est pas le cas) et réagit de manière excessive en activant son système immunitaire, avec l'aide des globules blancs et d'autres messagers chimiques.

Ce phénomène devient particulièrement préoccupant, car les recherches récentes montrent que l'inflammation chronique est liée à de nombreuses maladies graves, telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète, certains cancers, les maladies rénales, ainsi que les maladies auto-immunes et dégénératives.



Mona, comme beaucoup de mères, prend soin de la santé de toute sa famille. Son mari souffre d’une rhinite allergique, ses enfants sont souvent touchés par des infections courantes et elle a une maladie inflammatoire chronique de l'intestin depuis de nombreuses années.

Comment avez-vous entendu parler de la micro-immunothérapie ?

C’est mon médecin de famille qui me l'a recommandée. Il s'agit d'un traitement très bien toléré et qui peut être associé en complément d'autres médicaments. Nous avons choisi la micro-immunothérapie parce qu'elle soutient le système immunitaire de manière naturelle.

Que vous a apporté ce traitement ?

Les autres médicaments ne traitent souvent que les symptômes. Avec le temps, les troubles réapparaissent. Depuis que nous utilisons la micro-immunothérapie, nous avons observé une certaine stabilité de notre état de santé. Les enfants développent plus rarement des infections et les symptômes d'allergie de mon mari ont presque complètement disparu. Je me sens à nouveau plus vivante et beaucoup moins limitée dans ma vie quotidienne. La micro-immunothérapie a donc changé notre vie.

Comment prenez-vous le traitement ?

Chacun d'entre nous prend une formule de micro-immunothérapie différente. Il suffit d'ouvrir les gélules et de verser les granules qu'elles contiennent sous la langue. Le traitement est très facile à prendre, surtout pour les enfants. Aujourd'hui, mon mari et les enfants l'utilisent principalement à titre préventif.

Est-ce que vous pourriez recommander ce traitement ?

Absolument ! Nous sommes ravis de la micro-immunothérapie et nous l'avons déjà conseillée à des proches.

Les actifs du médicament de micro-immunothérapie 2LMIREG ® réduisent l'expression des cytokines et des marqueurs immunitaires, notamment l'interleukine-2 et le HLA-II, tout en modulant le stress oxydatif et la fonction mitochondriale.

Nous vous invitons à consulter cette article scientifique du Journal of Inflammation Research – volume 17 Pages 1161-1181 - publié le 21 février 2024.

Découvrez le pouvoir de la mitochondrie et son rôle clef : Institut Belge d'Endobiogénie et de Physiologie intégrative.

La médecine moderne a démontré que 90 % des maladies chroniques, tout particulièrement les maladies neurodégénératives, les maladies liées au vieillissement, les maladies métaboliques ainsi que plusieurs formes de cancer, sont liées à des altérations mitochondriales.

Le contrôle de la fonction mitochondriale est donc essentiel pour prévenir l’apparition et la progression de nombreuses pathologies et retrouver l’équilibre dans l’organisme.

Au cœur de nombreuses pathologies, les dysfontions mitochondriales seraient impliquées dans le syndrome de fatigue chronique qui touche à l’heure actuelle un grand nombre de patients notamment ceux souffrant de Covid long, d’où l’interêt d’approfondir le sujet.

La micro-immunothérapie a pour but but de donner à l’organisme les clés endogènes nécessaires pour faire fonctionner de manière optimale les mécanismes mitochondriaux essentiels, afin de favoriser une régulation mitochondriale équilibrée et de rétablir une homéostasie correcte.

Grâce à sa structure et sa composition, la formule MIREG possède une action régulatrice au niveau de différents facteurs impliqués dans les dysfonctionnements mitochondriaux, ainsi que sur leurs conséquences délétères.

micro-immunothérapie ; cytokines ; métabolisme mitochondriales ; inflammationanti-inflammatoireinterleukin-2



Je pense que ce que vous avez produit va changer des vies... Je suis malade depuis 15 ans de fatigue chronique, de maladie de Crohn, de gastrite à éosinophiles pour ne citer que quelques-uns de ces problèmes... J'ai commencé votre traitement il y a 9 jours et ce week-end j'ai bondi de ma chaise suite au désir de mon cœur de voir l'un de mes enfants marquer au football... Je suis trop malade et fatigué depuis trop longtemps pour faire autre chose que de rester assis... cette énergie et ce désir de m'engager dans la vie est nouvelle et s'est maintenue et tous mes symptômes ont changé cette semaine.

La parodontite est une maladie des gencives qui entraîne la destruction progressive des tissus qui soutiennent les dents. Cela est souvent causé par une altération des réponses du système immunitaire. C'est un problème de santé important car il peut affecter gravement la santé buccale.

La parodontite résulte de l'interaction complexe entre la réponse immunitaire du corps et les bactéries présentes dans la bouche. Ces interactions comprennent des réponses immunitaires de différents types : innées (réactions immédiates) et adaptatives (réactions plus lentes mais spécialisées). Ces réponses utilisent divers composants cellulaires et des médiateurs inflammatoires essentiels.

Parmi ces composants, on retrouve :

  1. les cytokines ;
  2. les chimiokines ;
  3. les facteurs de croissance ;
  4. les cellules immunitaires.

Tous ces éléments sont cruciaux dans le processus de remodelage des tissus affectés par la parodontite.

La micro-immunothérapie utilise de très faibles doses et des doses ultra-faibles de ces molécules importantes, comme les cytokines, les facteurs de croissance et les hormones, pour traiter la parodontite.

Des études dans divers domaines montrent que cette thérapie pourrait avoir un potentiel anti-inflammatoire et régénérateur. Les recherches en laboratoire sur des modèles de tissus montrent des résultats prometteurs.

En résumé, la micro-immunothérapie pourrait être une solution polyvalente et efficace pour gérer la santé des gencives, en modifiant les réponses immunitaires à faibles doses pour lutter contre la parodontite. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ces résultats et intégrer pleinement cette thérapie dans la pratique clinique.

Avec le soutien de la micro-immunothérapie, nous espérons que la gestion de la parodontite pourra devenir plus efficace, innovante et douce pour les patients.

Nous vous invitons à prendre connaissance de l'article publié le 25 avril 2024 dans le numéro spécial Research Advances in Micro-Immunotherapy and Low Doses-Based Therapies) qui reprend les informations de l'étude réalisée par Maria del Mar Ferrà-Cañellas et Laura García-Sureda.



En plus de m'avoir permis d'approfondir énormément ma compréhension de l'immunologie et de modifier mon approche thérapeutique, l'intégration de la micro-immunothérapie à ma pratique quotidienne m'a aussi aidé à améliorer de manière significative l'approche globale de mes patients.

Selon moi, l'un des principaux avantages de la micro-immunothérapie réside dans la possibilité de la combiner avec d'autres traitements, en complément ou en soutien. Aujourd'hui, la micro-immunothérapie est un composant incontournable de mon approche thérapeutique et a soulagé les symptômes de nombreux patients, notamment ceux souffrant de pathologies immunitaires.

Dr Udo Berg

Le médicament de micro-immunothérapie 2LPAPI® présente des effets immunomodulateurs dans un modèle de cellules mononucléées du sang périphérique humain traitées par la capside du papillomavirus humain de type 16 L1 et des effets antiprolifératifs dans un modèle de cellules cancéreuses du col de l'utérus.

Une étude a été réalisée sur le papillomavirus humain (HPV), deuxième agent infectieux le plus courant à l'origine du cancer du col de l'utérus, et publiée le 5 avril 2024 dans la revue "Cancers", revue d'oncologie à comité de lecture et en accès libre, publiée deux fois par mois en ligne par MDPI.

Le papillomavirus humain (HPV) est le deuxième agent infectieux le plus courant à l'origine du cancer. Une infection persistante par le HPV à haut risque (HR) peut entraîner une néoplasie intraépithéliale cervicale et des carcinomes cervicaux (CC). Alors que la réponse immunitaire de l'hôte est nécessaire à l'élimination du virus, l'activation immunitaire chronique contribue à une inflammation de faible intensité qui peut finalement conduire à la carcinogenèse. Le médicament de micro-immunothérapie (MIM) 2LPAPI® pourrait être un outil précieux pour gérer l'élimination du virus et réduire le risque de développer un CC. Dans cette étude in vitro, nous avons cherché à étudier son mode d'action. Nous avons montré que les actifs du MIM augmentaient la sécrétion d'IL-6, d'IFN-γ et d'IP-10 dans les cellules mononucléaires du sang périphérique humain (PBMC) exposées à des peptides dérivés de la capside du HPV-16 (HPV16 (L1)). Cela pourrait refléter une augmentation de l'activité immunitaire contre le HPV-16. Parallèlement, certaines substances actives ont réduit la lymphoprolifération et l'expression des marqueurs d'activation des cellules T. Enfin, certains des actifs MIM ont montré des effets antiprolifératifs dans les cellules HeLa dérivées de CC dans des conditions de manque de sérum. Au total, cet ensemble de données a mis en évidence pour la première fois le double effet du MIM dans le cadre des infections HR-HPV en tant que potentiel (i) modulateur immunitaire des PBMC traitées par HPV16 (L1) et (ii) agent antiprolifératif des cellules CC HPV-positives.

micro-immunothérapie ; cytokines ; papillomavirus ; cancer du col de l'utérus ; HeLa ; réponse immunitaire ; lymphocytes ; immunorégulateur


Le 13 janvier 2022, la revue Science a publié les résultats d'une étude qui établit un lien direct entre le développement de la sclérose en plaques et le virus d'Epstein-Barr (EBV). La relation entre l'infection à EBV et la sclérose en plaques a longtemps été discutée dans des études précédentes ainsi que dans la pratique clinique. Cependant, la recherche partagée dans Science indique un risque 32 fois plus élevé de développer une sclérose en plaques chez les personnes infectées par l'EBV ; il en va autrement pour d'autres pathogènes de la même famille, comme le cytomégalovirus (CMV).

Peu après, le 24 janvier 2022, les résultats d'une autre étude dirigée par Stanford Medicine sont parus dans Nature : « Clonally Expanded B Cells in Multiple Sclerosis Bind EBV EBNA1 and GlialCAM », identifiant comment le virus d'Epstein-Barr déclenche la sclérose en plaques, notamment en imitant une protéine fabriquée dans le cerveau et la moelle épinière, ce qui amène le système immunitaire à attaquer par erreur les cellules nerveuses du corps. Les preuves de l'implication de l'EBV dans la sclérose en plaques sont donc convaincantes, ce qui fait du virus la cible thérapeutique la plus importante pour la prévention et le traitement de la sclérose en plaques. "Si un virus est la cible de la réponse immunitaire qui va dans une direction indésirable dans le cerveau SEP, pourquoi ne pas se débarrasser du virus ?", a déclaré William Robinson, auteur principal de l'article (lire les nouvelles sur la page Web de Stanford Medicine).

Il y a 4 ans, le Dr Walter Wührer, MD, a publié un article intitulé "Le virus d'Epstein-Barr : rôle possible dans le développement de la sclérose en plaques", dans lequel la sclérose en plaques est définie comme une maladie multifactorielle. Un environnement inflammatoire est répertorié parmi les facteurs de risque, incluant également les infections, l'EBV étant "considéré comme l'un des déclencheurs infectieux les plus significatifs pour cette maladie auto-immune". L'article rassemble également les preuves sur le rôle de l'EBV dans la sclérose en plaques et les mécanismes potentiels de l'auto-immunité associée au virus. À cet égard, et compte tenu de l'implication de l'EBV dans la pathogenèse de la sclérose en plaques, l'article du Dr Wührer suggère que la micro-immunothérapie peut contribuer à prévenir l'apparition de l'auto-immunité associée au virus en soutenant la défense antivirale et en entravant la réactivation de virus tels que l'EBV.

Les découvertes publiées dans Science et Nature confirment l'importance de soutenir l'immunité contre les virus latents qui peuvent se réactiver, comme les herpèsvirus. Il convient de garder à l'esprit que plus de 90 % de la population mondiale est infectée par l'EBV. Bien que le virus ait été associé à des processus auto-immuns et oncogènes, ses effets sur l'organisme dépendent largement de l'état du système immunitaire et de sa capacité à maintenir le virus sous contrôle.

Pour plus d'informations sur l'EBV, consultez le site internet https://detectebv.org/


Je travaille avec la micro-immunothérapie depuis quelques années sur mes patients et je suis heureuse de faire partie de l'équipe de formateurs en micro-immunothérapie.

L'utilisation des formules de micro-immunothérapie fait la différence dans la pratique clinique. Non seulement pour soutenir l'immunité mais aussi dans le cas de maladies aiguës et chroniques.

Je suis convaincue que l'avenir de l'immunologie passera par ce concept. L'approche vise à soutenir le système immunitaire de manière logique, intelligente et naturelle, en le rendant plus adapté pour surmonter les déséquilibres auxquels il est soumis.

J'insiste sur le domaine de la virologie et des réactivations virales, où la micro-immunothérapie est particulièrement efficace et constitue un traitement innovant et unique, car il n'existe pas d'autres outils thérapeutiques permettant de contrôler les réactivations virales, à l'origine de tant de maladies, de manière aussi ciblée.

Vasconcelos, A.

© IFMi 2024 | Webdesign & SEO by MSM Web Solutions
crossmenu linkedin facebook pinterest youtube rss twitter instagram facebook-blank rss-blank linkedin-blank pinterest youtube twitter instagram