Dans un monde en perpétuelle évolution, où les innovations technologiques s’enchaînent et les sollicitations affluent de toutes parts, notre quotidien peut vite devenir source de stress. Aux bouleversements globaux s’ajoutent les épreuves naturelles de chaque étape de la vie. Face à cette pression constante, la capacité à s’adapter et à rester solide intérieurement – ce que l’on appelle la résilience – devient essentielle.
La résilience joue un rôle clef dans notre aptitude à faire face aux changements et à traverser les périodes difficiles. Bien qu’elle soit en partie innée, elle peut aussi se cultiver et se renforcer. Cet article explore des moyens concrets pour développer sa résilience et mieux gérer les défis, tout en mettant en lumière son impact sur le bon fonctionnement du système immunitaire.
La vie est faite de hauts et de bas, et certains événements peuvent ébranler profondément notre équilibre. Deuil, séparation, maladie, perte d’emploi… autant de situations qui peuvent plonger une personne dans un stress chronique, voire dans des troubles psychiques ou physiques. Pourtant, face à ces mêmes difficultés, certaines personnes parviennent à rester stables, à garder confiance et à se reconstruire, parfois même plus fortes qu’avant. Cette aptitude, c’est la résilience.
La résilience ne consiste pas à ignorer les problèmes ou à minimiser la douleur, mais à trouver en soi les ressources pour avancer malgré les épreuves. Elle permet d’amortir les chocs émotionnels, de s’adapter aux changements et d’éviter les conséquences négatives durables. Le terme vient du latin resilire, qui signifie « rebondir » : une image qui illustre bien cette force intérieure capable de transformer les crises en opportunités de croissance.
Il est essentiel de comprendre que la résilience ne signifie pas l’absence d’émotions. Les personnes résilientes ressentent elles aussi de la tristesse, de la peur, de l’abattement ou du doute. Elles ne sont pas invincibles ni indifférentes. La différence, c’est qu’elles accueillent leurs émotions sans s’y laisser enfermer. Elles savent faire une pause, prendre du recul, analyser la situation et retrouver un cap.
Pour y parvenir, elles s’appuient sur leurs ressources internes : leurs expériences passées, leurs valeurs, leurs compétences ou encore leur capacité à relativiser. Mais les ressources externes jouent également un rôle fondamental : le soutien d’un entourage bienveillant, la qualité des relations sociales ou encore l’accès à une aide professionnelle peuvent considérablement renforcer la résilience.
Bonne nouvelle : la résilience n’est pas réservée à quelques privilégiés. Bien que certaines personnes aient une disposition naturelle à faire preuve d’optimisme ou de stabilité émotionnelle, la résilience est un processus évolutif, qui se construit et se renforce avec le temps.
Les premières bases se posent dès l’enfance. Un environnement familial stable, des figures d’attachement sécurisantes, la reconnaissance et les encouragements permettent à l’enfant de développer une confiance en lui et en la vie. Mais même à l’âge adulte, il est tout à fait possible de entraîner sa résilience : en travaillant sur sa connaissance de soi, en adoptant des stratégies positives de gestion du stress, en se fixant des objectifs réalistes et en développant un réseau de soutien solide.
En somme, la résilience est une compétence de vie, précieuse à chaque étape de notre existence, et particulièrement utile dans un monde en perpétuel mouvement.
La vie n’est pas un long scénario écrit à l’avance. Chacun d’entre nous la traverse avec ses propres expériences, imprévus et apprentissages. Pourtant, certaines étapes comportent des défis « typiques » qui reviennent chez la plupart des individus. Comprendre ces moments-clefs permet non seulement de mieux les anticiper, mais aussi de cultiver plus consciemment notre résilience… et de soutenir notre système immunitaire, étroitement lié à notre bien-être psychologique.
L’enfance est une période d’exploration intense. Tout y est nouveau : les relations, les émotions, les règles sociales. Les enfants apprennent à nouer des liens affectifs sûrs, qui deviendront souvent la pierre angulaire de leur équilibre émotionnel futur. Ce sentiment de sécurité favorise la confiance en soi, essentielle pour bâtir une résilience solide.
C’est aussi à ce moment-là que l’on apprend à reconnaître et gérer ses émotions. Les premiers grands changements – comme l’entrée à la crèche ou à l’école, les nouvelles amitiés, ou encore les conflits – laissent une empreinte durable. Par ailleurs, le système immunitaire des enfants étant encore en développement, les infections sont fréquentes, mais constituent aussi une forme d’apprentissage biologique : chaque exposition renforce les défenses naturelles.
L’adolescence est souvent vécue comme un véritable chamboulement. Le corps change, les hormones fluctuent, et avec elles, l’humeur, la perception de soi et des autres. Les jeunes doivent apprendre à composer avec une image corporelle en mutation, des émotions parfois extrêmes et une quête d’autonomie.
C’est aussi l’époque des premières grandes décisions, des confrontations aux normes sociales, des essais-erreurs dans les relations. Autant de situations qui mettent à l’épreuve la stabilité émotionnelle… et exigent des capacités d’adaptation grandissantes. Construire sa résilience à cette étape, c’est apprendre à faire face aux comparaisons, à la pression scolaire ou sociale, mais aussi à découvrir ses ressources personnelles.
À l’âge adulte, les responsabilités se multiplient : carrière professionnelle, vie de couple, parentalité, gestion du quotidien… La charge mentale augmente, tout comme les sources de stress. Il faut apprendre à s’organiser, à faire des choix, à gérer l’incertitude de l’avenir.
Sur le plan physique, le corps commence à changer doucement : le métabolisme ralentit, la récupération devient plus longue, et les déséquilibres hormonaux (grossesse, post-partum, ménopause…) peuvent influencer la santé globale. Renforcer sa résilience à ce stade, c’est avant tout savoir préserver son énergie, poser ses limites, et nourrir ses ressources internes et sociales pour tenir sur la durée.
En avançant en âge, de nouveaux défis apparaissent. Le système immunitaire s’affaiblit progressivement. Il s'agit d'un phénomène naturel appelé sénescence immunitaire, ce qui augmente le risque d’infections, de maladies chroniques, et de fragilités physiques ou mentales.
La résilience reste ici tout aussi essentielle, voire plus encore : pour garder confiance, rester actif, maintenir des liens sociaux, et donner du sens à cette nouvelle phase de vie. Vieillir en santé ne dépend pas uniquement de facteurs biologiques, mais aussi de notre état d’esprit. C’est d’ailleurs ce que nous allons explorer dans notre prochain article sur le Well-Aging, une approche bienveillante du vieillissement. Ne manquez pas sa publication, la semaine prochaine !
La résilience mentale et l’équilibre du système immunitaire jouent tous deux un rôle fondamental dans notre santé globale — et ils sont étroitement liés. Un bon exemple de cette interaction est le stress, qui agit comme un pont entre notre psychisme et notre immunité.
Un stress ponctuel – comme un examen, un entretien important ou un déménagement – peut être parfaitement géré par notre organisme. Dans ces situations, le corps libère naturellement des hormones comme le cortisol ou l’adrénaline, pour mobiliser l’énergie nécessaire à la gestion de l’urgence. C’est une réaction normale, souvent bénéfique à court terme.
Mais lorsque le stress s’installe sur la durée — par exemple en cas de surcharge de travail, de tensions chroniques ou d’anxiété non traitée — il devient chronique. Le taux de cortisol reste élevé, maintenant le corps dans un état d’alerte quasi permanent. Ce dérèglement n’est pas sans conséquence : il perturbe l’activité du système immunitaire.
Les cellules de défense, comme les lymphocytes T et B, deviennent moins efficaces. Résultat : le corps est plus vulnérable aux infections, les processus inflammatoires s’intensifient, et certaines fonctions de réparation et de protection s’affaiblissent. À long terme, cela peut favoriser l’apparition de maladies chroniques, d’inflammations persistantes, ou tout simplement affaiblir nos capacités à « encaisser » les agressions extérieures.
C’est là que la résilience entre en jeu. En apprenant à mieux gérer le stress émotionnel, à prendre du recul face aux événements, et à puiser dans nos ressources internes, nous réduisons l’impact du stress chronique sur notre organisme. Cela permet de limiter la production excessive de cortisol et de maintenir un bon fonctionnement immunitaire.
En d’autres termes, renforcer sa résilience, c’est aussi renforcer ses défenses naturelles. Un mental solide, apaisé, capable de faire face aux imprévus sans se laisser submerger, contribue à préserver notre équilibre intérieur, tant sur le plan psychique que physiologique.
Ce schéma illustre l’interaction étroite entre stress, résilience et système immunitaire. En réduisant le stress, on favorise directement la santé immunitaire. De même, une bonne résilience agit comme un bouclier protecteur pour nos défenses naturelles. À l’inverse, un système immunitaire affaibli peut diminuer notre capacité à rester résilient face aux épreuves.
Il existe de nombreuses façons de soutenir notre système immunitaire au quotidien : une alimentation équilibrée, une activité physique régulière, un bon sommeil… Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à parcourir notre blog.
Parmi les approches douces, la micro-immunothérapie se distingue comme un véritable allié pour favoriser l’équilibre immunitaire. Elle repose sur l’utilisation de substances naturellement présentes dans notre organisme, telles que des cytokines, des hormones et certains acides nucléiques. Administrées à très faibles doses, ces molécules visent à moduler l’activité du système immunitaire en respectant son fonctionnement naturel, sans l’agresser.
L’objectif est de restaurer une communication harmonieuse entre les cellules immunitaires et d’aider le corps à retrouver son équilibre (appelé homéostasie). Par exemple, en situation de stress chronique, la micro-immunothérapie cherche à désamorcer l’état d’alerte permanent dans lequel le corps est enfermé. En stimulant les mécanismes anti-inflammatoires et en atténuant les processus pro-inflammatoires, elle peut réduire naturellement la production de cortisol et rééquilibrer les défenses immunitaires.
En renforçant ainsi la stabilité du système immunitaire, cette approche contribue aussi à mieux faire face au stress et à prévenir ses effets néfastes sur l’organisme.
Mais ses bienfaits ne s’arrêtent pas là. La micro-immunothérapie est également explorée dans d’autres domaines tels que les maladies auto-immunes, les troubles digestifs chroniques, certains cancers ou encore les infections récurrentes. Pour en savoir plus, tu peux consulter notre article dédié aux domaines d’application de la micro-immunothérapie.
Comme vous l’avez vu, la résilience est un véritable atout pour votre santé globale. Bonne nouvelle : elle se cultive, à tout âge et à tout moment. Voici quelques pistes simples et efficaces pour développer votre capacité à faire face aux défis du quotidien :
🔷 Pratiquez l’introspection : prenez conscience de vos forces, de vos ressources personnelles et de votre capacité à gérer les difficultés.
🔷 Adoptez un regard lucide : dans les situations stressantes, interrogez vos attentes. Êtes-vous trop perfectionniste ? Cela crée-t-il une pression inutile ?
🔷 Fixez-vous des objectifs accessibles : avancez par étapes concrètes et réalistes pour renforcer progressivement votre sentiment de maîtrise.
🔷 Accordez-vous des pauses régulières : elles permettent de recharger vos batteries, de prendre du recul et d’éviter l’épuisement.
🔷 Restez actif physiquement : l’activité physique, en particulier en extérieur, est un excellent moyen de libérer le stress et de stimuler le bien-être.
🔷 Cultivez la gratitude : notez chaque jour quelques éléments positifs de votre journée. Cela aide à entretenir un état d’esprit plus équilibré.
🔷 Pratiquez des exercices de respiration consciente : quelques minutes suffisent pour retrouver calme et clarté dans les moments de tension.
🔷 Préservez vos liens sociaux : les échanges avec vos proches sont essentiels pour maintenir un bon équilibre émotionnel.
Et si vous souhaitez découvrir des méthodes plus originales pour développer votre résilience, notre prochain article vous proposera quatre approches inattendues à intégrer dans votre quotidien.
La résilience constitue une faculté essentielle pour affronter avec sérénité les défis de santé tout au long de la vie. En soutenant de manière ciblée l’équilibre du système immunitaire, il est possible de renforcer à la fois la santé physique et psychique. La micro-immunothérapie représente à cet égard une approche prometteuse pour accompagner le système immunitaire. Toutefois, elle devrait toujours être envisagée avec l’accompagnement d’un professionnel de santé expérimenté. L’outil de recherche de thérapeutes proposé par notre institut vous permet d’identifier des spécialistes qualifiés près de chez vous.
➤ Résilience : l’importance de la pensée positive
➤ Sensibilisation à la santé mentale : pour une nouvelle année dynamique au travail ou à l'école
➤ Bouger pour mieux se défendre : les effets du sport sur l’immunité
➤ Prévenir la résistance aux antibiotiques : quelles solutions ?
➤ Bienvenue au pays des rêves ! Que faire en cas de troubles du sommeil ?
Écrivez-nous en commentaires ou par email à l'adresse ifmi@microimmuno.fr !
Attention : les déclarations faites sur les indications et l'efficacité reposent sur l'expérience des micro-immunothérapeutes en exercice.
L’été est là, et vous avez peut-être prévu de partir en vacances : voici tout ce qu’il faut savoir pour en profiter pleinement !
Quand on évoque le mal des transports, on pense spontanément aux vertiges en avion, aux nausées en voiture ou aux troubles digestifs sur la route des vacances. Pourtant, ce terme pourrait englober bien plus que ces désagréments immédiats. Car voyager – que ce soit en train, en voiture ou à l’autre bout du monde – met notre corps à rude épreuve, et pas uniquement notre estomac.
Fatigue, stress, changements de climat, expositions prolongées au soleil ou au chlore : ces facteurs affaiblissent notre système immunitaire, rendant notre organisme plus vulnérable à certaines infections opportunistes.
Loin d’être en vacances, certains virus – comme le HPV ou l’herpès – profitent justement de ce contexte pour se manifester.
Que vous preniez l’avion ou le train, que vous soyez dans un hôtel, un camping ou une piscine publique, votre système immunitaire est mis à contribution :
🔷 exposition à de nouveaux germes,
🔷 horaires décalés,
🔷 stress lié aux transports ou à l’organisation,
🔷 baisse temporaire de vigilance sur l’hygiène ou la protection.
Ce "mal des transports" version invisible ne provoque peut-être pas de nausées immédiates, mais il peut faire le lit d’infections virales qui vous poursuivront bien au-delà du trajet.
Le virus du papillome humain (HPV) est extrêmement fréquent et souvent asymptomatique. Dans la plupart des cas, le système immunitaire le contrôle efficacement. Mais en période de fatigue ou de stress – comme c’est souvent le cas lors des longs trajets ou des vacances – le virus peut trouver une brèche.
Transmission :
🔸 Par contact direct avec les muqueuses, lors de rapports sexuels.
🔸 Même si le voyage n’est pas la cause directe, il peut créer un contexte favorable à une infection ou réactivation.
Symptômes possibles :
🔸 Aucun, dans la majorité des cas.
🔸 Verrues génitales.
🔸 Lésions précancéreuses (souvent silencieuses).
Prévention en voyage :
🔸 Utiliser des préservatifs, en particulier avec des partenaires occasionnels.
🔸 Éviter les contacts muqueux à risque.
🔸 Maintenir des consultations de dépistage régulières.
Renforcer son immunité, notamment en amont d’un voyage.
On le sait moins, mais le mal des transports peut aussi être viral. L’herpès, qu’il soit labial ou génital, fait partie des virus qui sommeillent dans l’organisme et qui se réactivent souvent lorsque l’immunité est affaiblie.
Facteurs déclenchants :
🔸 Stress du départ, manque de sommeil.
🔸 Exposition au soleil ou au chlore.
🔸 Contact avec d'autres personnes en milieu humide (piscine, plage).
Symptômes :
🔸 Picotements, cloques, brûlures.
🔸 Ulcères douloureux.
🔸 Parfois fièvre ou douleurs diffuses.
Mesures préventives :
🔸 Hygiène stricte (serviettes personnelles, tongs à la piscine).
🔸 Éviter les contacts avec des zones infectées.
🔸 Protéger sa peau du soleil et limiter l’exposition prolongée à l’eau chlorée.
🔸 Soutenir le système immunitaire pour éviter la réactivation.
Ce que l’on appelle communément le mal des transports peut donc aller bien au-delà des troubles digestifs. C’est tout un déséquilibre du système immunitaire qui peut être déclenché par les contraintes liées aux déplacements.
C’est pourquoi il est essentiel de préparer son organisme en amont, et pas seulement sa valise !
La micro-immunothérapie peut aider à rééquilibrer doucement le système immunitaire grâce à des substances naturelles comme les cytokines. Elle ne masque pas les symptômes, mais agit sur les mécanismes de régulation immunitaire pour :
🔸 mieux prévenir les infections comme le HPV ou l’herpès,
🔸 limiter les réactivations virales,
🔸 améliorer la réponse immunitaire face aux agressions extérieures.
🔷 Dormez suffisamment avant le départ : la fatigue affaiblit l’immunité.
🔷 Renforcez votre système immunitaire naturellement (alimentation, exercice, éventuellement micro-immunothérapie).
🔷 Protégez-vous lors de rapports sexuels, même en vacances.
🔷 Gardez une bonne hygiène en milieu collectif (piscines, douches, hébergements).
🔷 Évitez l’exposition excessive au soleil et au chlore.
En résumé : partir en vacances, c’est aussi sortir son système immunitaire de sa zone de confort. En prenant soin de lui avant, pendant et après le voyage, vous limitez non seulement les nausées en voiture, mais aussi les infections virales silencieuses qui peuvent laisser des souvenirs bien plus persistants.
Désormais bien informé, il ne vous reste plus qu’à profiter pleinement de vos vacances en toute sérénité !
➤ Risque de contamination en piscine : peut-on attraper un herpès génital, le pied d'athlète, etc. ?
➤ Bienvenue au pays des rêves ! Que faire en cas de troubles du sommeil ?
➤ Sensibilisation à la santé mentale : pour une nouvelle année dynamique au travail ou à l'école
Mon fils de douze ans attrape régulièrement un rhume à la fin de l'été, juste à temps pour la rentrée scolaire, qui dure généralement plus d'une semaine. Son nez est tellement bouché qu'il ne peut pas dormir. De plus, le mucus entraîne souvent des maux d’oreilles et des maux de tête. Mais il est surtout triste de ne pas pouvoir pratiquer son sport favori.
Grâce à la formule micro-immunothérapeutique pour le soutien immunitaire dans les infections aiguës, chroniques et récurrentes, dans le cas d'un état immunitaire « normal » ou également déficient, nous avons relevé ce défi annuel. De plus, nous avons appris à prendre des mesures préventives pour que l’année scolaire puisse démarrer sans absences ni baisse des performances.
C’est avec enthousiasme que notre Institut a participé au congrès ODENTH, l’un des événements majeurs en Europe consacrés à l’odontologie énergétique et naturelle. Réunissant des professionnels de santé dentaire, des chercheurs, docteurs et thérapeutes venus de divers horizons, ce congrès offre une plateforme unique d’échange, de formation et d’innovation autour des approches complémentaires en odontologie.
La participation de notre équipe à cet événement témoigne de notre engagement à promouvoir une vision intégrative de la santé bucco-dentaire.
Au cœur des discussions : l’impact des soins dentaires sur l’équilibre global du patient, le rôle des matériaux biocompatibles, les liens entre dents et méridiens énergétiques, ou encore l’importance de la prévention et de l’approche psycho-émotionnelle.
Dans cette perspective, la micro-immunothérapie trouve pleinement sa place en tant qu’outil thérapeutique de choix. En soutenant le système immunitaire de manière douce et ciblée, elle permet de renforcer les mécanismes naturels de régulation du corps, en particulier dans les contextes d'inflammation chronique ou de perturbations immunitaires souvent observées en lien avec les pathologies bucco-dentaires. Elle s’inscrit donc naturellement dans une approche globale, respectueuse de la physiologie du patient.
Au-delà des conférences, le congrès ODENTH fut l’occasion de retrouver de nombreux confrères et consoeurs partageant une même vision de la dentisterie, mais aussi de rencontrer de jeunes praticiens curieux de découvrir de nouvelles approches thérapeutiques. Ces moments de partage renforcent notre conviction qu’un changement de paradigme est en marche dans le domaine de la santé dentaire.
Nous repartons de ce congrès inspirés, motivés, et plus que jamais engagés à intégrer les savoirs traditionnels et les avancées scientifiques au service de nos patients. Nous remercions chaleureusement les organisateurs d’ODENTH pour la qualité de l’événement et pour leur engagement à faire avancer les pratiques.
Nous avons le plaisir de vous annoncer le lancement de notre 5ème édition de notre Formation Générale en Micro-Immunothérapie. Notre institut, certifié Qualiopi pour la France et ASCA pour la Suisse, vous propose une formation complète afin d’apprendre à réaliser un diagnostic immunitaire, élaborer un raisonnement clinique et utiliser la micro-immunothérapie dans différents domaines thérapeutiques.
💻 Cette formation en distanciel se déroulera sur 7 matinées aux dates suivantes :
🎖️ Et un examen final, pour une certification en micro-immunothérapie à la clef !
Si le sujet vous intéresse, nous vous invitons à lire nos précédents articles :
🔶 La parodontite : une approche complémentaire de prise en charge grâce à la micro-immunothérapie
🔶 Explorons le potentiel de la micro-immunothérapie dans le traitement de la parodontite
🔶 Pourquoi, comment, quoi – La micro-immunothérapie en médecine intégrative
🔶 La micro-immunothérapie : un traitement incisif contre les affections bucco-dentaires !
L'exercice physique n'est pas seulement bon pour rester en forme, il est aussi vital pour votre bien-être général. Pratiquer un sport régulièrement a des effets bénéfiques sur votre santé physique et mentale, et permet à votre corps de s’adapter et de se renforcer. Bouger aide, par exemple, à améliorer la respiration, à renforcer les muscles, et à se sentir mieux dans sa tête. Mais ce n’est pas tout : faire de l’activité physique a aussi un effet très positif sur votre système immunitaire, c’est-à-dire sur les défenses naturelles de votre corps. Quand vous bougez régulièrement, votre corps est mieux préparé pour combattre les microbes, les virus et d’autres maladies. C’est un peu comme si vous entraîniez vos défenses à être plus rapides et plus efficaces.
Professionnels de santé, ne manquez pas notre dernier atelier en ligne, désormais accessible gratuitement dans votre espace professionnel.
Sport et virus EBV : un duo à surveiller de près
Le virus d’Epstein-Barr, bien connu pour être à l’origine de la mononucléose, pourrait bien être l’ennemi caché de nombreux sportifs, en particulier ceux soumis à un entraînement intensif.
Comment ce virus se réactive-t-il dans un corps déjà mis à rude épreuve ? Quels sont ses effets sur l’immunité et la performance ? Et surtout, comment y répondre efficacement ?
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Voici ce que vous devez savoir :
🔷 Les bienfaits du sport : pratiquer une activité physique peut renforcer votre système immunitaire. Cela aide votre corps à se défendre contre les maladies et maintient un équilibre dans vos fonctions corporelles.
🔷 Attention à ne pas en faire trop : un entraînement intense ou prolongé peut parfois affaiblir votre système immunitaire. Les sportifs qui s'entraînent beaucoup, par exemple, peuvent être plus susceptibles aux infections, surtout s'ils ne mangent pas bien ou ne dorment pas assez.
🔷 Le sport modéré est la clé : une pratique régulière et modérée est la meilleure option pour vous. Elle peut aider à prévenir certaines maladies chroniques et à réduire les inflammations silencieuses dans le corps.
🔷 Les bonnes habitudes : pour bénéficier pleinement des avantages du sport pour votre système immunitaire, il est important d'adopter de bonnes habitudes de vie, comme bien manger, bien dormir et bien gérer le stress.
En résumé, le sport est très bénéfique pour votre santé mais il doit être pratiqué de manière équilibrée. Et rappelez-vous, il est toujours bon de consulter un professionnel pour obtenir des conseils adaptés à votre situation personnelle.
Il existe un traitement qui peut aider à équilibrer votre système immunitaire de façon très précise : c'est la micro-immunothérapie. Cette approche utilise des substances de votre système de défense, comme les cytokines, mais à des doses très faibles. Le but est de stimuler votre corps à réagir de la bonne manière face aux différentes agressions sans provoquer d'effets secondaires.
Voici les utilisations pratiques de cette méthode, particulièrement en lien avec la médecine du sport :
🔷 Pour les problèmes articulaires comme l'arthrose ou l'arthrite : des formules spécifiques peuvent diminuer l'inflammation et soulager la douleur.
🔷 Pour les neuropathies et problèmes nerveux : certains traitements sont dédiés à réduire l'inflammation qui affecte les nerfs, et d'autres renforcent la réponse immunitaire contre les infections qui perturbent votre système nerveux.
🔷 Pour l'ostéoporose : il existe des traitements qui aident à diminuer la dégradation des os et à améliorer leur reconstruction.
🔷 Pour les allergies : on peut atténuer les réactions allergiques grâce à une formule spécifique.
🔷 Contre le burnout et la faiblesse physique : certaines formules cherchent à rééquilibrer les fonctions de vos cellules en gérant l'inflammation et le stress oxydatif pour vous donner plus d'énergie.
🔷 Pour gérer le stress : des traitements sont disponibles pour aider votre corps à mieux faire face au stress et à ses effets sur le vieillissement.
La micro-immunothérapie est un accompagnement qui respecte votre corps et peut se combiner avec différents traitements. Ce peut être une option intéressante pour vous soutenir dans votre pratique sportive ou votre quotidien, surtout si vous êtes confronté à des problèmes immunitaires ou inflammatoires.
N'hésitez pas à en parler avec votre médecin pour savoir si c'est approprié pour vous.
Un patient cycliste de 42 ans consulte pour des douleurs musculaires et une fatigue généralisée malgré un entraînement régulier. Il a également eu des infections respiratoires récurrentes et souffre d'angine purulente chronique, de fatigue sévère, d'apathie et de sueurs nocturnes.
Des antibiothérapies ont été prescrites, mais ses symptômes persistent. Un hémogramme révèle une légère leucocytose, une PCR légèrement élevée, et des taux de fer/ferritine et de vitamines dans la limite inférieure.
Il s'entraîne jusqu'à 150 km par semaine avec un régime principalement végétarien et prend occasionnellement des compléments de vitamines et minéraux.
L'examen physique ne montre pas de pathologie significative, à l'exception de déséquilibres musculaires. Des ganglions lymphatiques palpables et indolores sont trouvés des deux côtés de l’aine et sur les côtés du cou.
Le patient a un historique de diagnostic de performance par spiroergométrie et de dépistage par échographie sans résultats anormaux.
Il lui est recommandé d'effectuer des analyses supplémentaires pour l'hémogramme complet, l'état hormonal, et la sérologie infectieuse, notamment pour le virus Epstein-Barr (EBV), ainsi que de réduire son activité physique.
Les analyses plus poussées confirment une infection aiguë par l'EBV et révèlent une lymphocytose, des inflammations chroniques, et des indications de fatigue chronique.
Un plan de traitement global est mis en place, incluant la micro-immunothérapie spécifique à l'EBV, des vitamines B, griffonia, L-tryptophane, zinc, sélénium, et des acides aminés essentiels, ainsi que des conseils pour réduire le stress et optimiser le sommeil.
Après quelques semaines, l'état général et les performances sportives du patient s'améliorent. Les formules de micro-immunothérapie et les suppléments orthomoléculaires montrent des effets bénéfiques significatifs.
Cet exemple illustre l'importance d'une approche holistique en médecine. La micro-immunothérapie, en régulant le système immunitaire, s'avère une composante prometteuse de la médecine intégrative.
N'hésitez pas à prendre contact avec notre institut pour toute information complémentaire : ifmi@microimmuno.fr
Le 12 mai, à l’occasion de la Journée mondiale de la fibromyalgie, nous mettons en lumière un enjeu majeur de santé : la douleur chronique. Touchant des millions de personnes à travers le monde, elle se distingue de la douleur aiguë par sa persistance et son origine souvent inexpliquée. Dans cet article, nous explorerons les causes possibles de cette affection, analyserons le rôle du système immunitaire et ses mécanismes de régulation, et présenterons les perspectives offertes par la micro-immunothérapie.
La douleur chronique demeure l’une des énigmes les plus complexes, aussi bien sur le plan médical que psychologique. Issue d’une interaction entre des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux, elle dépasse largement la simple perception de symptômes physiques. Son impact sur la vie quotidienne peut être considérable, entraînant une diminution significative de la qualité de vie des personnes concernées.
Un acteur souvent sous-estimé dans ce phénomène est le système immunitaire, qui joue un rôle clé dans l’apparition et le maintien de la douleur chronique. Bien au-delà de ses fonctions de réparation des tissus et de défense contre les infections, il influence directement le traitement de la douleur dans le système nerveux. Les processus inflammatoires qu’il déclenche peuvent non seulement intensifier la douleur aiguë, mais aussi provoquer une sensibilisation menant à la chronicisation de la douleur.
Malgré les avancées scientifiques, comprendre pleinement l’origine et les mécanismes de la douleur chronique reste un défi majeur. Cette complexité nous pousse à explorer des approches interdisciplinaires afin de mieux décrypter les interactions entre le système nerveux, le psychisme et l’immunité.
La douleur chronique se manifeste sous diverses formes, chacune se distinguant par son origine et sa localisation. On peut les classer en quatre grandes catégories :
Elles proviennent des organes internes et sont souvent liées à des maladies ou des inflammations situées dans la cavité abdominale. Des affections comme le syndrome du côlon irritable ou les douleurs gastriques chroniques en sont des exemples typiques. L’inflammation des organes ou des tissus environnants est généralement à l’origine de ces douleurs persistantes.
Elles résultent de lésions ou de dysfonctionnements du système nerveux. Parmi les plus courantes figurent les neuropathies et la névralgie post-zostérienne, qui se manifestent par des sensations de brûlure, de picotement ou d’électrisation. L’inflammation du tissu nerveux joue souvent un rôle clé dans leur apparition et peut aggraver les symptômes sur le long terme.
Ces douleurs touchent les muscles, les os et les articulations, comme c’est le cas du mal de dos ou de l’arthrite. Elles sont généralement causées par des blessures, des pathologies dégénératives ou un surmenage. L’inflammation est un facteur déterminant, notamment dans des maladies comme l’arthrite, où elle contribue à l’intensification des douleurs.
Ce type de douleur est étroitement lié à des facteurs psychologiques tels que le stress, l’anxiété ou la dépression. Bien qu’aucune lésion physique évidente ne soit en cause, un déséquilibre du système immunitaire joue souvent un rôle déterminant, un aspect que nous approfondirons plus loin.
Les douleurs chroniques résultent d’une interaction complexe entre plusieurs facteurs biologiques, psychologiques et sociaux. Leur origine est souvent multifactorielle, ce qui rend leur compréhension et leur prise en charge particulièrement délicates.
🔹 Dysfonctionnement du système nerveux : des anomalies dans le fonctionnement du système nerveux, qu’il soit central ou périphérique, peuvent amplifier la perception de la douleur. Ces perturbations peuvent conduire à une hypersensibilité et à une réponse exagérée aux stimuli douloureux.
🔹 Mémoire de la douleur : l’hyperactivité des voies nerveuses et la sensibilisation centrale contribuent à ancrer la douleur dans le système nerveux. Celui-ci finit par enregistrer et reproduire la douleur, même lorsque son déclencheur initial a disparu.
🔹 Stress et charge émotionnelle : les émotions négatives et le stress peuvent intensifier la perception de la douleur. Un cercle vicieux peut alors s’installer : la douleur génère un mal-être émotionnel, qui à son tour renforce la douleur.
🔹 Influence de l’histoire de vie et du contexte social : les expériences passées, les traumatismes, le soutien familial ou encore les relations sociales influencent la manière dont une personne ressent et gère sa douleur. Ces facteurs peuvent favoriser ou atténuer la chronicisation de la douleur.
Ainsi, la douleur chronique ne se limite pas à une simple sensation physique : elle est le reflet d’un équilibre fragile entre le corps, l’esprit et l’environnement social.
Le traitement des douleurs chroniques doit tenir compte de l’interaction complexe entre le corps, le psychisme et l’environnement social. Ces trois dimensions peuvent perturber le système immunitaire, contribuant ainsi à un déséquilibre qui favorise la persistance de la douleur. Cette compréhension ouvre la voie à des approches thérapeutiques personnalisées et ciblées.
Saviez-vous que les inflammations chroniques sont souvent liées à un déséquilibre du système immunitaire ? Lorsqu’il devient hyperactif, il ne se contente pas d’amplifier la douleur, il peut aussi en favoriser la chronicisation.
Un excès de cytokines pro-inflammatoires peut déclencher des réactions inflammatoires nuisibles qui accentuent la sensation douloureuse. À l’inverse, les cytokines anti-inflammatoires jouent un rôle clef dans l’atténuation de ces réactions. Un équilibre entre ces deux types de cytokines est essentiel pour assurer une réponse immunitaire saine. S’il est rompu, la douleur risque de s’installer durablement.
Parmi les acteurs clefs de cette modulation, la microglie, une population de cellules immunitaires du système nerveux central, joue un rôle déterminant. Ces cellules sont capables d’émettre des signaux pro- et anti-inflammatoires, influençant directement l’intensité et la durée de la douleur. Cette découverte ouvre la voie à de nouvelles stratégies thérapeutiques prometteuses.
La micro-immunothérapie est une méthode thérapeutique qui vise à moduler le système immunitaire de manière ciblée afin d’améliorer la gestion des maladies, y compris la douleur chronique. Cette approche ouvre des perspectives intéressantes pour soulager durablement les patients.
🔹 Réduction de l’inflammation : en influençant les cytokines responsables de l’inflammation, la micro-immunothérapie peut contribuer à diminuer la douleur associée aux inflammations persistantes.
🔹 Action sur les processus neuroinflammatoires : en ciblant les interactions entre cellules immunitaires et cellules nerveuses, elle pourrait limiter la surexcitation des neurones impliqués dans la douleur chronique.
🔹 Neuroprotection : cette approche pourrait également stabiliser l’environnement des cellules nerveuses, aidant ainsi à prévenir ou réparer les dommages structurels et fonctionnels des neurones.
La prise en charge de la douleur chronique représente un véritable défi, impliquant une compréhension fine des interactions entre le corps, l’esprit et le système immunitaire. Une approche multidisciplinaire, combinant dimensions physique, psychologique et immunologique, semble essentielle pour une gestion plus globale et efficace de la douleur.
Les avancées scientifiques, notamment dans des domaines innovants comme la micro-immunothérapie, offrent de nouvelles perspectives porteuses d’espoir pour les patients. Ces approches intégratives laissent entrevoir non seulement un meilleur soulagement de la douleur, mais aussi une amélioration significative de la qualité de vie, ouvrant la voie à une existence plus sereine et épanouie.
Pour en savoir plus sur la micro-immunothérapie, n’hésitez pas à contacter l’IFMi.
Remarque : les indications et effets mentionnés reposent sur l'expérience de praticiens spécialisés en micro-immunothérapie.
Je n'hésite pas à dire que, tout au long de ma pratique médicale, la micro-immunothérapie a été d'une aide incroyable pour traiter de nombreuses maladies graves comme la fatigue chronique, la fibromyalgie, les maladies auto-immunes, les infections persistantes ou récurrentes, les maladies neurodégénératives, etc. Dans beaucoup de ces cas, elle n'a pas seulement atténué les symptômes, mais elle a guéri. Bien que je sois maintenant à la retraite, je continue à recommander la micro-immunothérapie à ceux qui souffrent de maladies chroniques souvent négligées par la médecine conventionnelle. Je pense que la micro-immunothérapie devrait faire partie intégrante des études médicales car elle est d'une grande aide pour les patients.
À cette période de l’année, vous pourriez être tenté de profiter de la piscine municipale pour faire du sport ou de vous détendre dans des thermes afin de vous ressourcer. Ces lieux attirent de nombreuses personnes et familles, attirées par les bienfaits de l’eau. Mais qu’en est-il des bactéries et des virus ? Quel est le risque d’infection dans l’eau ou aux abords de la piscine ? Quelles maladies peuvent être transmises et, surtout, comment vous protéger efficacement, vous et votre famille, sans renoncer aux plaisirs de la baignade ? Découvrez ici toutes les réponses à ces questions et comment la micro-immunothérapie peut renforcer vos défenses face aux agents pathogènes indésirables.
Les bassins individuels des piscines intérieures et extérieures, ainsi que du spa thermal, peuvent être comparés à d'immenses baignoires utilisées quotidiennement par de nombreuses personnes. Avec eux, ils introduisent diverses impuretés : résidus de produits d'entretien et de protection solaire s'il s'agit d'une piscine extérieure, des micro-organismes, ainsi que des agents pathogènes tels que bactéries, virus et parasites, qui se propagent dans l'eau et aux abords.
Bien que des mesures de protection comme la circulation régulière de l'eau, son renouvellement et l'utilisation du chlore pour la désinfection soient mises en place, elles ne permettent pas d'éliminer totalement les agents pathogènes.
Par ailleurs, le chlore peut perturber l'équilibre naturel de la flore vaginale, augmentant ainsi le risque d'irritations et d'infections, comme l'herpès génital.
Comme mentionné précédemment, l'eau de la piscine n'est pas la principale source de danger. Les zones humides, telles que les vestiaires, les douches et les toilettes, présentent un risque plus élevé en raison de leur forte concentration en agents pathogènes. Ces derniers peuvent s’y installer, se multiplier et se propager très facilement.
En outre, la transmission des maladies peut également se faire par voie aérienne ou par contact direct entre individus. Les piscines, qu'elles soient couvertes ou en plein air, rassemblent souvent un grand nombre de personnes, favorisant ainsi la propagation des bactéries et des virus par les voies respiratoires ou par simple contact.
Les piscines peuvent être à l’origine de diverses maladies, parmi lesquelles on retrouve principalement le pied d'athlète, les verrues, les infections respiratoires et les troubles gastro-intestinaux. Des affections cutanées et des inflammations, notamment au niveau des oreilles ou de la conjonctive, peuvent également apparaître. La région génitale n'est pas épargnée, avec des infections telles que l’herpès génital, les verrues génitales ou encore les infections bactériennes de la vessie.
Enfin, dans le contexte de la pandémie actuelle, il est possible d’être exposé au coronavirus du SRAS dans les piscines et autres lieux publics. Comme pour d’autres maladies respiratoires, la contamination se fait principalement par voie aérienne et non par l’eau de la piscine.
L'herpès génital est l'une des maladies qui peuvent survenir après une visite à la piscine.
L’herpès génital est l’une des infections sexuellement transmissibles les plus répandues. Comme les autres virus de la famille de l’herpès, les virus de l’herpès simplex (HSV) restent présents dans l’organisme après l’infection initiale. Le système immunitaire contrôle généralement leur activité, limitant ainsi les poussées. Cependant, un affaiblissement du système immunitaire peut entraîner une réactivation du virus et l’apparition de symptômes.
Il existe deux types de virus de l’herpès simplex :
L’herpès touche environ 10 à 20 % de la population, mais seuls 10 à 30 % des personnes infectées développent des symptômes. Le risque de transmission est plus élevé pour les femmes, car le virus se propage plus facilement aux muqueuses féminines. La transmission d’un homme à une femme est ainsi environ cinq fois plus probable que l’inverse. Toutefois, les récidives de l’herpès génital semblent plus fréquentes chez les hommes. En général, les symptômes des réinfections sont plus légers que ceux de la première poussée.
Le meilleur moyen de défense contre les infections est un système immunitaire fort, capable d’identifier et de combattre les virus et bactéries nuisibles. Plusieurs facteurs influencent l’efficacité du système immunitaire :
Un sommeil réparateur : un bon sommeil favorise la régénération du corps et l’efficacité du système immunitaire. Veillez à dormir suffisamment chaque nuit.
Une alimentation saine : privilégiez les aliments riches en vitamines et nutriments, comme les baies, les herbes et les épices. Réduisez la consommation d’aliments transformés, de sucre, de sel et de produits à base de blé.
L’exercice en plein air : une activité physique régulière, notamment en extérieur, stimule le système immunitaire. La natation est un excellent sport sollicitant plusieurs groupes musculaires.
La gestion du stress : un stress excessif libère des hormones qui affaiblissent le système immunitaire. Prenez le temps de vous détendre et d’intégrer des pauses dans votre quotidien.
Certaines mesures peuvent aider à réduire le risque d’infection dans un environnement aquatique :
Le risque d’infections dans les piscines peut être réduit grâce à des règles simples.
En complément des mesures évoquées, la micro-immunothérapie constitue une aide précieuse pour renforcer les défenses naturelles de l’organisme contre les virus et les bactéries. Cette approche repose sur l’utilisation de substances messagères, appelées cytokines, que le corps utilise naturellement pour coordonner la réponse immunitaire.
Son action est douce et progressive, permettant de moduler le système immunitaire sans l’affaiblir ni le sur-solliciter. Grâce à cette régulation équilibrée, la micro-immunothérapie est bien tolérée, convient à tous les âges et peut être associée à d’autres traitements.
L’objectif de cette thérapie est d’entraîner le système immunitaire afin qu’il puisse mieux réagir face aux infections. Elle peut être utilisée à titre curatif, pour soutenir l’organisme lors d’une maladie aiguë, mais aussi en prévention, par exemple avant l’arrivée de l’hiver, période propice aux infections.
Vous recherchez plus d’informations sur la façon dont la micro-immunothérapie peut vous aider contre diverses maladies infectieuses ?
N'hésitez pas à consulter les domaines d'application de notre site Web :
➤ Prévenir la résistance aux antibiotiques : quelles solutions ?
➤ Fatigue chronique, infections virales & micro-immunothérapie
➤ Infections par le virus Epstein-Barr
➤ Du Lyme chronique au Covid Long
➤ Impact du Covid sur le système immunitaire et solutions naturelles
➤ S'attaquer à la cause sous-jacente de l'herpès récurrent
Bien entendu, nos experts en micro-immunothérapie de votre région se feront un plaisir de vous aider afin de vous fournir des informations détaillées et des informations sur les possibilités de la micro-immunothérapie.
Lundi 7 avril, c'était la journée mondiale de la santé. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit la santé comme "un état de complet bien-être physique, mental et social, qui ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité".
Dans un monde en perpétuelle évolution, la médecine ne cesse de s’adapter aux nouveaux défis. Les tendances en matière de santé reflètent ces transformations et montrent comment le système de santé évolue pour mieux répondre aux pathologies émergentes et aux besoins individuels. S’informer sur ces tendances permet à chacun de mieux anticiper les changements et de prendre soin de sa santé de manière proactive.
Face à des enjeux majeurs tels que le vieillissement de la population, la hausse des maladies chroniques, le stress psychologique et les pandémies mondiales, l’attention se porte de plus en plus sur un acteur clé de notre bien-être : le système immunitaire. Nous verrons pourquoi il occupe une place centrale dans la recherche médicale et comment la micro-immunothérapie peut contribuer à relever ces défis. Découvrons ensemble les grandes tendances de la santé en 2025 !
Les transformations mondiales, qu’il s’agisse de l’évolution démographique, des changements environnementaux, du réchauffement climatique, de l’exposition aux produits chimiques et aux toxines ou encore des modes de vie modernes, peuvent favoriser l’augmentation de certaines maladies ou renforcer leur impact médical. Voici quelques exemples de pathologies qui pourraient gagner en importance à partir de 2025.
Les infections, omniprésentes depuis toujours, ont accompagné l’humanité à travers les âges. La pandémie de coronavirus a mis en évidence l’ampleur que peuvent prendre de nouvelles infections jusqu’alors inconnues, ainsi que leur impact durable sur la santé. Même après la guérison, certaines personnes peuvent souffrir de troubles persistants, comme dans le cas du Long COVID, qui se manifeste par des problèmes de concentration, une fatigue chronique, des troubles du sommeil, des douleurs musculaires et articulaires, ou encore des difficultés respiratoires. De manière similaire, bien que rare, un syndrome post-vaccinal (post-vac) avec des symptômes comparables peut également survenir.
Les agents pathogènes évoluant en permanence, de nouvelles infections à grande échelle restent une possibilité pour l’avenir, d’autant plus que la mondialisation favorise leur propagation rapide. Cela représente un défi majeur pour la recherche médicale, qui doit identifier précocement ces maladies, développer des thérapies adaptées et mettre en place des mesures de prévention efficaces.
Par ailleurs, la réactivation d’infections latentes est un phénomène à ne pas négliger. Certains virus, comme l’herpès simplex (HSV), le virus d’Epstein-Barr (EBV), le virus de la varicelle-zona (VZV) ou encore le cytomégalovirus (CMV), peuvent rester en dormance dans l’organisme après une première infection. En temps normal, le système immunitaire les maintient sous contrôle, mais en cas d’affaiblissement – dû au stress, aux changements environnementaux ou aux modes de vie modernes – ces virus peuvent se réactiver et provoquer des symptômes parfois sévères. Afin de prévenir ces réactivations, il devient essentiel de renforcer et de soutenir le système immunitaire.
Chaque utilisation d'antibiotiques favorise la formation de résistances. Problème : des germes résistants aux antibiotiques peuvent se développer au fil du temps, ce qui peut représenter un grave danger pour la santé. Selon une étude, le nombre de décès pourrait de cette façon augmenter considérablement d'ici 2050. La médecine et la recherche sont confrontées au défi de trouver de bonnes alternatives à l'utilisation des antibiotiques. Les médecins ont également la responsabilité d'utiliser le moins possible d'antibiotiques et de se concentrer sur d'autres thérapies efficaces et sur la promotion de l'autorégulation du corps.
Un autre aspect essentiel est la santé mentale. L’hyperconnexion, les crises, l’anxiété, le stress et des modes de vie déséquilibrés peuvent avoir un impact négatif sur le bien-être psychologique, favorisant l’émergence de troubles tels que le burnout et la dépression. Le système immunitaire et les processus inflammatoires jouent également un rôle clé dans ces mécanismes. La prévention et la prise en charge des troubles psychiques sont déjà devenues une priorité et continueront de gagner en importance à l’avenir.
Les médecins et les thérapeutes font état d'une augmentation des maladies auto-immunes depuis la pandémie du Coronavirus. Une étude portant sur plus de 640.000 personnes atteintes du COVID a montré que l'incidence des maladies auto-immunes avait augmenté de 42,63 %. Les facteurs de stress, l'alimentation et les facteurs environnementaux peuvent également favoriser l'apparition de ces maladies. En outre, les possibilités de détection et de diagnostic s'améliorent, de sorte que les maladies auto-immunes sont de plus en plus « visibles » dans la médecine et la société.
Parmi les maladies auto-immunes les plus fréquentes, on trouve la polyarthrite rhumatoïde, le lupus, la sclérose en plaques (SEP) et les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin comme la maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse.
Le syndrome métabolique est un ensemble complexe de facteurs de risque qui inclut un mode de vie malsain, des influences environnementales modernes et des prédispositions génétiques. Il se caractérise principalement par une accumulation de graisse abdominale (ou obésité), de l'hypertension, des taux élevés de lipides sanguins et de glycémie. Ses conséquences peuvent inclure le diabète de type 2, des maladies hépatiques, des inflammations chroniques et des troubles cardiovasculaires. Qualifié de « maladie de civilisation », il connaît une propagation croissante : dans le cadre de l’étude internationale Monica coordonnée par l’Organisation Mondiale de la Santé, trois centres Français (Inserm de Lille, de Toulouse et le Laboratoire Universitaire d’Epidémiologie de Strasbourg) ont estimé la prévalence du syndrome métabolique en France à 22,5% chez les hommes et 18,5% chez les femmes.
La tendance à privilégier la médecine préventive en matière de santé s'observe déjà depuis plusieurs années. À l'avenir, la recherche et la médecine devraient accorder une attention croissante à la prévention de certaines pathologies. Une prévention efficace permet de préserver ou d'améliorer l'état de santé actuel. Ainsi, le risque de développer certaines maladies est diminué, et les effets secondaires des traitements sont soit supprimés, soit considérablement atténués.
En médecine préventive, plusieurs facteurs sont essentiels : le mode de vie personnel, la réduction des toxines environnementales et des substances chimiques nuisibles, les habitudes quotidiennes, ainsi que la santé mentale et la santé au travail. Par ailleurs, le système immunitaire, en tant qu'élément central de la santé, joue un rôle clé dans la prévention des maladies.
La médecine personnalisée est devenue une tendance majeure dans le domaine de la santé, permettant d'adapter les traitements de façon de plus en plus précise à chaque individu. Les avancées dans l'analyse des données et la génomique jouent un rôle clé dans ce phénomène. Les soins personnalisés optimisent l'efficacité des traitements et, idéalement, minimisent les risques pour les patients.
Dans ce cadre, l'intérêt pour les traitements complémentaires et la médecine holistique ne cesse de croître. Cela permet de combiner diverses approches afin d'offrir un soutien sur mesure aux patients.
Pendant longtemps, des recommandations générales standard ont été appliquées à de nombreux traitements et médicaments. Cependant, chaque corps étant unique, il existe des différences biologiques, hormonales et sociales entre les hommes et les femmes en matière de santé. La vulnérabilité aux maladies, leur évolution ainsi que la tolérance et l'efficacité des traitements peuvent différer selon le sexe. Par exemple, un infarctus du myocarde peut se manifester par des symptômes différents chez les hommes et les femmes. Prendre en compte ces spécificités liées au sexe peut rendre les diagnostics et traitements plus précis, plus efficaces et avec moins d'effets secondaires.
Il est également évident que, au-delà de ces considérations liées au sexe, il est essentiel de tenir compte de l'individualité de chaque personne. Même au sein des mêmes sexes biologiques, il est important de ne pas trop généraliser afin de trouver une solution de santé optimale et personnalisée.
Existe-t-il des différences dans le système immunitaire des hommes et des femmes ?
Lorsque l'on parle des tendances en matière de santé, il est difficile de passer à côté du système immunitaire et des immunothérapies. Ces dernières années, notre compréhension de ce système a fait d'importants progrès. Les approches thérapeutiques qui s'appuient sur l'immunité offrent un atout majeur : elles favorisent une prise en charge personnalisée. En ciblant spécifiquement le système immunitaire et ses particularités, tout en tenant compte d'autres facteurs individuels, elles permettent d'adapter le traitement aussi bien au patient qu'à sa pathologie.
Les immunothérapies ont pris une place grandissante, notamment dans le traitement du cancer. Elles poursuivent plusieurs objectifs :
En mobilisant les défenses naturelles de l’organisme, les immunothérapies permettent de neutraliser les agents pathogènes de manière précoce et efficace. Cette approche s’inscrit également dans la tendance de la médecine préventive, puisqu’un système immunitaire robuste peut contribuer à prévenir certaines maladies ou à en limiter les effets.
À partir de 2025, les immunothérapies devraient occuper une place encore plus centrale dans le traitement des maladies, élargissant ainsi les options thérapeutiques. Au-delà du cancer, elles jouent un rôle clé dans la prise en charge des maladies auto-immunes, chroniques, neurologiques, psychiques et métaboliques, confirmant ainsi les grandes tendances émergentes en santé.
Malheureusement, de nombreuses immunothérapies s'accompagnent généralement d'effets secondaires importants. Il en va autrement de la micro-immunothérapie, que nous souhaitons examiner de plus près dans les lignes qui suivent.
La micro-immunothérapie est une approche spécifique de l’immunothérapie qui repose sur l’utilisation de messagers immunitaires (tels que les cytokines, les facteurs de croissance ou des acides nucléiques ciblés) à très faibles doses. Contrairement à d’autres formes d’immunothérapie, elle est reconnue pour sa douceur, sa bonne tolérance et son faible risque d’effets secondaires. Son objectif principal est d’harmoniser l’activité du système immunitaire afin de limiter les erreurs et de soutenir ses mécanismes naturels, notamment les défenses antivirales et la reconnaissance des cellules cancéreuses. L’équilibre entre les processus pro-inflammatoires et anti-inflammatoires joue un rôle clé dans cette approche, permettant de restaurer et de préserver l’homéostasie du système immunitaire sur le long terme.
L'évolution des critères et des influences médicales entraîne en permanence des avancées en matière de recherche et de traitement. Ce dynamisme est essentiel, car il permet de développer des approches innovantes, plus efficaces et mieux adaptées aux besoins des patients. À partir de 2025, les grandes tendances en santé s’orientent vers des solutions personnalisées et une priorité accordée à la prévention plutôt qu’au curatif.
Dans ce contexte, les immunothérapies, en particulier la micro-immunothérapie douce, occupent une place croissante. En exploitant les ressources naturelles de l’organisme et en s’adaptant aux besoins individuels, elles offrent une approche prometteuse. Par ailleurs, le système immunitaire, véritable pilier de la santé, est de plus en plus mis en avant. D’autres facteurs comme le mode de vie, l’activité physique, l’alimentation, l’exposition aux polluants environnementaux et aux produits chimiques, ainsi que l’impact du stress, sont également intégrés dans les stratégies de prise en charge globale de la santé.
D’autres sujets méritent également une attention particulière, bien qu’ils ne soient pas abordés ici en détail. Parmi eux, l’impact du changement climatique sur la santé (maladies liées à la chaleur, allergies), le rôle croissant de l’intelligence artificielle dans le diagnostic et le suivi médical, l’essor des applications et dispositifs connectés (wearables, trackers de fitness) ainsi que l’importance de la durabilité dans le secteur de la santé.
Nous l'avons tous déjà vécu : parfois, nous n'arrivons tout simplement pas à nous endormir, on se tourne et on se retourne dans notre lit, nous n'arrivons pas à trouver une position de sommeil détendue et nos pensées tournent en boucle. Parfois encore, nous nous réveillons plusieurs fois dans la nuit et avons des difficultés à nous rendormir après cela. Ces situations, si elles sont isolées, sont tout à fait normales. Mais que faire si vous souffrez de troubles du sommeil plus fréquents ?
Comment surviennent les troubles du sommeil ? Quelles maladies pourraient en être à l’origine ? Dans cet article, nous évaluerons l’importance d’un sommeil sain et réparateur pour le système immunitaire et donc pour notre santé. Vous découvrirez également quel soutien pourrait vous apporter la micro-immunothérapie dans vos problèmes liés au sommeil et comment vous pouvez améliorer la qualité de votre sommeil par vous-même.
La qualité du sommeil des Français est mise à l'épreuve par les crises et les rythmes sociaux et individuels : selon des études de l'INSV, de l'Institut National du Sommeil et de la Vigilance et du DMGEN (mutuelle française), la dégradation de la qualité de sommeil, dont souffre plus d’1 Français sur 3, est associée à une réduction de la durée moyenne de sommeil et à des réveils nocturnes qui concernent 8 Français sur 10.
Cet institut précise aussi que chez 56% des Français, les problèmes de sommeil occasionnent au moins une nuisance dans le cadre professionnel.
Le sommeil fait partie intégrante de notre vie. Au fil des millénaires, les humains se sont adaptés au rythme naturel de 24 heures du jour et de la nuit, de la lumière et de l’obscurité. Le sommeil est vital pour notre corps. Les fonctions, processus et mécanismes exacts du sommeil n’ont pas encore été entièrement étudiés. Il existe tout de même des explications générales, qui nous indiquent à quel point le somme est important pour nous et ce qui se passe pendant celui-ci.
🔸 Performance cognitive : Le sommeil permet de traiter et d’intégrer les informations ainsi que les compétences acquises au cours de la journée, favorisant ainsi l’apprentissage.
🔸 Régulation des fonctions corporelles : De nombreuses fonctions et systèmes du corps sont régulés pendant le sommeil et nous permettent ainsi de rester en bonne santé. Il s’agit notamment de la température corporelle, du système cardiovasculaire et de la production d’hormones.
🔸 Régénération cellulaire et défense immunitaire : Le sommeil favorise la réparation des cellules et l’optimisation de la défense immunitaire, permettant ainsi de récupérer du stress de la journée écoulée tout en renforçant l’organisme pour affronter celle à venir.
🔸 Performance accrue : La mémoire se consolide et s’enrichit durant le sommeil. Un repos sain et réparateur améliore notre concentration et notre productivité pour le jour suivant.
🔸 Soutien de l’équilibre énergétique : Pendant le sommeil, le métabolisme ralentit, réduisant les besoins énergétiques de l’organisme et contribuant à réguler sa consommation d’énergie.
🔸 Bénéfique pour la santé mentale : Le rôle du sommeil dans le maintien de notre équilibre psychique est crucial. Un sommeil suffisant et réparateur favorise un meilleur équilibre émotionnel et réduit la sensibilité au stress psychologique.
🔸 Gestion des émotions : Le sommeil, notamment à travers les rêves, permet de traiter les événements et les émotions vécus au cours de la journée, facilitant ainsi la gestion des souvenirs émotionnels.
Au cours de la nuit, nous traversons un cycle de sommeil composé de différentes phases.
Un cycle complet dure environ 80 à 110 minutes. Les personnes en bonne santé traversent généralement quatre à sept cycles de sommeil chaque nuit.
➡️ La phase d'endormissement (environ 5 %)
Transition entre l'éveil au sommeil. L'activité musculaire ralentit, des contractions musculaires occasionnelles se produisent.
➡️ Sommeil léger (environ 45-55 %)
Le corps se détend, mais le sommeil reste facilement perturbable. Le rythme cardiaque et la respiration ralentissent, tandis que la température corporelle diminue légèrement.
➡️ Sommeil profond modéré (environ 4 à 6 %)
Les fonctions corporelles poursuivent leur ralentissement, tandis que l'activité cérébrale atteint une fréquence réduite.
➡️ Sommeil profond (environ 12-15 %)
Le corps est complètement détendu. L'activité cérébrale reste, à faible fréquence. Les processus de régénération battent leur plein.
➡️ Sommeil paradoxal / le rêve (environ 20-25 %)
L'activité et les ondes cérébrales reprennent leur activité, se rapprochant presque de celle de l'état de veille. Les globes oculaires se déplacent rapidement d'avant en arrière sous les paupières (REM, ou mouvement oculaire rapide). Les muscles restent détendus. C'est durant cette phase que nous vivons la plupart de nos rêves.
C’est surtout lorsque nous manquons de sommeil que nous réalisons à quel point il est important.
Après une nuit agitée, il est courant d’avoir du mal à se concentrer, de se sentir fatigué, irrité ou d'être sujet à des sautes d'humeur. Nous devenons plus vulnérables aux pensées négatives et, si les troubles du sommeil persistent, notre système immunitaire peut en souffrir, augmentant ainsi le risque de tomber malade. Les chercheurs ont découvert qu’un déficit de sommeil de trois heures affecte nos cellules de défense (appelées cellules T) et perturbe déjà le système immunitaire.
Voici ce qui se passe dans votre système immunitaire lorsque vous manquez de sommeil :
Les problèmes de sommeil occasionnels ne sont généralement pas alarmants. Notre sommeil peut être perturbé, notamment avant des événements importants ou lors de périodes de stress intense. Cela peut provoquer des difficultés à s'endormir ou à rester endormi, des réveils fréquents pendant la nuit et une fatigue diurne. En règle générale, la qualité du sommeil s'améliore dès que le stress diminue.
En revanche, lorsqu'il s'agit d'un trouble du sommeil, les problèmes de sommeil durent plus longtemps. Un trouble du sommeil est diagnostiqué lorsque les difficultés à dormir surviennent au moins trois fois par semaine pendant une période de trois mois ou plus. Ces carences de sommeil affectent de manière significative la qualité de vie, les performances et le bien-être psychologique.
Signes caractéristiques de nuits agitées et de troubles du sommeil :
Les problèmes de sommeil peuvent avoir des causes différentes. Si vous dormez mal pendant une longue période, il est important d’en rechercher les causes afin d’améliorer la qualité de votre sommeil.
Les facteurs pouvant déclencher des troubles du sommeil :
Après une nuit blanche, on se sent généralement épuisé. Si les troubles du sommeil persistent, cela impactera fortement votre performance et votre niveau de concentration au cous de la journée.
L'encéphalomyélite myalgique, également connue sous le nom de syndrome de fatigue chronique (ME/SFC), représente une forme d'épuisement extrêmement sévère et éprouvante. Cette maladie engendre un épuisement physique et psychologique d'une intensité dévastatrice, rendant la vie quotidienne des personnes atteintes pratiquement paralysée.
La micro-immunothérapie propose des formules spécifiques pour différents domaines d'application, en venant moduler spécifiquement le système immunitaire afin d'équilibrer en douceur le trouble existant. La micro-immunothérapie apporte également une réponse à la question « Que faire en cas de troubles du sommeil ? ».
Il s'agit en fait d'immunothérapie à faible dose : les ingrédients sont d'origine naturelle et sont présents à très faibles doses en respectant certains niveaux de dilution. En fonction des résultats et de la réaction souhaitée, les principes actifs sont dilués à différents niveaux : faible (l'effet est donc de stimuler), moyen (l'effet est la modulation) ou élevé (l'effet est d'inhiber la réaction immunitaire).
Dans le cas des troubles du sommeil, la micro-immunothérapie vise à utiliser des cytokines et d'autres substances immunocompétentes pour compenser les déséquilibres de l'organisme qui favorisent une détérioration de la qualité du sommeil. Parallèlement, il est essentiel de favoriser les mécanismes clés qui contribuent à un sommeil sain et réparateur.
Les réactions inflammatoires et les fluctuations hormonales doivent tout particulièrement être régulées et ramenées à leur équilibre naturel. La micro-immunothérapie soutient en douceur le fonctionnement du système immunitaire dans le but d’améliorer les processus de régulation afin de bénéficier d'une meilleure qualité de sommeil.
En fonction de chaque individu et de la source responsable du trouble du sommeil, d'autres formes de micro-immunothérapie peuvent être spécialement intégrées en complément du traitement, par exemple dans les cas de maladies auto-immunes, des maladies mentales telles que la dépression et le stress, ou dans le cadre d'infections.
🔶 Quelle quantité de sommeil est nécessaire ?
Il n'existe pas de règle universelle concernant le nombre d'heures de sommeil requis. Les besoins varient légèrement d'une personne à l'autre. En général, sept à huit heures de sommeil réparateur par nuit suffisent pour maintenir une bonne santé et une forme optimale. Cependant, certaines personnes peuvent se sentir pleinement reposées avec seulement cinq heures de sommeil.
🔶 Est-il vrai que l'on dort moins en vieillissant ?
Il existe des différences dans la durée moyenne du sommeil selon les différents groupes d’âge.
Les nouveau-nés dorment jusqu'à 17 heures par jour. Jusqu'à l'âge adulte, cette valeur diminue lentement et se stabilise aux sept à huit heures mentionnées ci-dessus.
Cependant, cette idée très répandue selon laquelle les personnes âgées ont encore moins besoin de dormir est fausse. Pour eux aussi, le nombre moyen d'heures de repos la nuit est compris entre sept à huit heures, mais en raison de maladies, de douleurs et d'autres facteurs liés à l'âge, ils peuvent être amenés à dormir moins que les plus jeunes.
🔶 Est-ce bénéfique de dormir davantage en prévision d'une courte nuit ou de rattraper le sommeil manqué ?
Dans une certaine mesure, il est possible de combler les déficits de sommeil, mais malheureusement, le sommeil ne peut pas être « accumulé » à l’avance. Ce qui rentre en jeu, c'est l'étendue du manque de sommeil et sa durée. Des études ont montré qu’une heure de déficit de sommeil nécessite environ quatre jours de sommeil sain et adéquat pour être compensée. Bien entendu, cela dépend toujours en fonction de l'individu. Finalement, le mieux à faire est de s'assurer d'éviter tout déficit de sommeil !
🔶 Comment diagnostiquer les problèmes de sommeil ?
Si vous sentez que vous avez du mal à dormir, que vous ne vous sentez pas reposé le lendemain et que vous avez du mal à vous concentrer, vous souffrez peut être de problèmes de sommeil. Dans ce cas, contactez votre médecin. Après une première anamnèse, il pourra par exemple vous orienter vers un laboratoire spécialisé du sommeil qui examinera de plus près votre comportement et votre qualité de sommeil. Cela permettra d’identifier les causes potentielles de vos troubles.
🔶 Les somnifères sont ils une bonne ou mauvaise idée ?
Face à des problèmes de sommeil aigus, de nombreuses personnes trouvent une solution rapide grâce à la consommation de somnifères. Temporairement et avec l'accord de votre médecin, les médicaments peuvent aider à vous endormir et à maintenir votre sommeil jusqu'au petit matin. Toutefois il est encore mieux d'étudier et de soigner les causes possibles de vos problèmes de sommeil afin de pouvoir commencer un traitement ciblé et sur le long terme.
Vous avez probablement entendu parler de ce qu'on appelle "avoir une bonne hygiène de sommeil" : tout comme notre hygiène personnelle quotidienne, nos habitudes de sommeil jouent également un rôle très important sur notre santé. Avec seulement quelques ajustements dans notre routine quotidienne et le suivi de certains conseils, vous parviendrez à mieux dormir.
Et vous, avez-vous d’autres conseils qui vous aident personnellement à vous endormir ? Qu'est-ce qui fonctionne pour vous lorsque vous vous réveillez et que vous ne parvenez pas à vous rendormir ? Partagez avec nous vos astuces et votre expérience en nous écrivant par email : ifmi@microimmuno.fr
➤ Fatigue chronique, infections virales & micro-immunothérapie
➤ Qu’est-ce que la micro-immunothérapie ?
➤ Les effets du stress chronique sur la santé à long terme
➤ Résilience : l’importance de la pensée positive
...Je vous écris pour vous dire que je vais finalement mieux.
Après de nombreuses années, grâce à la micro-immunothérapie, j'ai enfin trouvé un traitement pour ma fatigue chronique qui m'a rendu une partie de ma santé et de ma vie. Après avoir fait des recherches sur Internet, j'ai commencé à chercher un micro-immunothérapeute et j'en ai trouvé un dans la liste des professionnels de la santé proposés par MeGeMIT. Après quelques séances seulement, je me sentais déjà beaucoup mieux. Aujourd'hui, je peux travailler, m'occuper de ma famille et profiter de la vie. J’en suis très reconnaissant.
Les actifs du médicament de micro-immunothérapie 2LMIREG ® réduisent l'expression des cytokines et des marqueurs immunitaires, notamment l'interleukine-2 et le HLA-II, tout en modulant le stress oxydatif et la fonction mitochondriale.
Nous vous invitons à consulter cette article scientifique du Journal of Inflammation Research – volume 17 Pages 1161-1181 - publié le 21 février 2024.
Découvrez le pouvoir de la mitochondrie et son rôle clef : Institut Belge d'Endobiogénie et de Physiologie intégrative.
La médecine moderne a démontré que 90 % des maladies chroniques, tout particulièrement les maladies neurodégénératives, les maladies liées au vieillissement, les maladies métaboliques ainsi que plusieurs formes de cancer, sont liées à des altérations mitochondriales.
Le contrôle de la fonction mitochondriale est donc essentiel pour prévenir l’apparition et la progression de nombreuses pathologies et retrouver l’équilibre dans l’organisme.
Au cœur de nombreuses pathologies, les dysfontions mitochondriales seraient impliquées dans le syndrome de fatigue chronique qui touche à l’heure actuelle un grand nombre de patients notamment ceux souffrant de Covid long, d’où l’interêt d’approfondir le sujet.
La micro-immunothérapie a pour but but de donner à l’organisme les clés endogènes nécessaires pour faire fonctionner de manière optimale les mécanismes mitochondriaux essentiels, afin de favoriser une régulation mitochondriale équilibrée et de rétablir une homéostasie correcte.
Grâce à sa structure et sa composition, la formule MIREG possède une action régulatrice au niveau de différents facteurs impliqués dans les dysfonctionnements mitochondriaux, ainsi que sur leurs conséquences délétères.
micro-immunothérapie ; cytokines ; métabolisme mitochondriales ; inflammation, anti-inflammatoire, interleukin-2
Je pense que ce que vous avez produit va changer des vies... Je suis malade depuis 15 ans de fatigue chronique, de maladie de Crohn, de gastrite à éosinophiles pour ne citer que quelques-uns de ces problèmes... J'ai commencé votre traitement il y a 9 jours et ce week-end j'ai bondi de ma chaise suite au désir de mon cœur de voir l'un de mes enfants marquer au football... Je suis trop malade et fatigué depuis trop longtemps pour faire autre chose que de rester assis... cette énergie et ce désir de m'engager dans la vie est nouvelle et s'est maintenue et tous mes symptômes ont changé cette semaine.
Pour beaucoup d'entre nous, les derniers jours de l’année sont marqués par la famille, les amis, se réunir et célébrer ensemble. Nous revenons sur nos derniers mois passés et nous pensons aussi à ce qui nous attend : souhaits, projets et bonnes résolutions pour 2025.
Les résolutions les plus courantes sont celles de se remettre au sport, de manger plus sainement, reprendre une activité laissée à l'abandon, en trouver une nouvelle, perdre du poids, arrêter de fumer ou encore réduire sa consommation d’alcool en suivant le mouvement du Dry January.
Ces intentions sont louables, mais que diriez-vous de mettre votre système immunitaire au centre de vos bonnes résolutions ?
Le système immunitaire est le pilier de notre santé. Il est en connexion avec tous les autres systèmes du corps et influence le fonctionnement de nos cellules et organes. Si l'équilibre immunitaire est perturbé, cela se manifestera par des allergies, des infections, des maladies auto-immunes ou des maladies mentales. Cependant, si vous veillez activement à ce que votre système immunitaire soit efficace et puisse fonctionner normalement, cela aura un effet positif direct sur votre santé physique et mentale. Vous pouvez utiliser la micro-immunothérapie pour soutenir votre équilibre immunitaire - de manière réactive face à l'apparition de symptômes, mais aussi de manière préventive pour éviter autant que possible le développement de maladies.
Voyons ici pourquoi et comment vous pourriez intégrer l'équilibre immunitaire à vos bonnes résolutions !
Selon une enquête de 2016 (EU-SILC), la majorité des Européens évaluent leur état de santé général comme étant de bon à très bon. Environ 65 % des personnes interrogées sont satisfaites de leur état de santé, mais cela ne veut pas dire qu'elles font tout pour y contribuer. Aujourd'hui, l'année 2024 touche à sa fin et c’est une bonne idée de prendre un nouveau départ et devenir acteur de sa santé. Après tout, il s’agit de notre plus grande force et notre immunité ne doit pas être tenue pour acquise.
Notre vie moderne nous fait évoluer dans un monde trépidant et en évolution rapide, avec de nombreux additifs alimentaires, un stress psychologique, un réduction de l'exercice souvent engendré par le travail de bureau, la diversité des modes de transport, les loisirs sur les écrans, les toxines environnementales et bien plus encore.. Tout cela impose de nouveaux défis au corps et à la santé mentale. Il est donc important d'être sensibilisé à ce sujet car cela joue un rôle important pour rester en bonne forme pendant longtemps.
En plus des bonnes résolutions classiques déjà évoquées, « réduire son stress » fait aussi partie des intentions en début d'année, pour de nombreuses personnes. Le stress n'est pas une mauvaise chose en soi, car il permet, entre autres, à notre corps de devenir plus efficace et d'être capable de performer dans des activités sportives ou des examens. Le stress positif (l'eustress) agit pendant des moments de bonheur comme les naissances ou les mariages. Au contraire, il existe aussi le stress négatif (détresse), qui met le corps à rude épreuve sur le long terme.
Si le stress persiste, l'organisme reste en alerte et libère davantage d'hormones comme le cortisol. Des niveaux élevés de cortisol qui ne diminuent pas, entraînent une perturbation du sommeil, une sensation de faiblesse ou engendre plus fréquemment des maladies. L'hormone du stress inhibe les processus inflammatoires du système immunitaire, le rendant moins apte à combattre les agents pathogènes. C'est pourquoi la pratique de la pleine conscience et adopter une attitude de résilience devraient faire partie des bonnes résolutions pour 2025.
Vous sentez-vous accablé par des mauvaises nouvelles ? Vous sentez-vous plus susceptibles de faire des crises ? Souhaitez-vous avoir plus de temps pour vous ?
Prenez le temps de respirer profondément. Cela vous aidera à vous concentrer à nouveau sur les choses positives et essentielles. Vous pouvez également travailler votre résilience. Découvrir ce qu'est la résilience et comment l'améliorer dans notre article : Résilience : l’importance de la pensée positive.
Il existe deux types de réponse immunitaire chez l'être humain. Le premier mécanisme est celui du bouclier protecteur, connu comme le système immunitaire inné (non spécifique). Il s'agit de la peau, des muqueuses, des cellules immunitaires et des substances messagères. La peau et les muqueuses empêchent les agents pathogènes de pénétrer facilement dans le corps. Si des agents pathogènes ou des cellules dégénérées parviennent à entrer dans le corps, ils seront reconnus par le système immunitaire - s'il est sain - et combattus par les cellules immunitaires. Les macrophages, les monocytes, les mastocytes et les cellules dites tueuses sont utilisés, entre autres, pour éliminer le plus rapidement possible les organismes perturbateurs.
Pour certains agents pathogènes, la réponse immunitaire innée n'est pas suffisante, c'est pourquoi la réponse immunitaire adaptative (spécifique) vient s'activer à l'aide de cytokines. Les globules blancs (des lymphocytes tels que les lymphocytes B et T), les anticorps et les cytokines spécifiques en sont les principaux acteurs. Le corps produit alors des anticorps spécifiques qui correspondent exactement aux agents pathogènes et les rendent donc inoffensifs. Dans le même temps, des cellules mémoires sont activées et stockent des informations sur les agents pathogènes combattus. Ces informations sont accessibles en cas de nouveau contact afin de lutter plus rapidement contre les pathogènes.
Bien entendu, il ne s’agit là que d’une représentation simplifiée, car le système immunitaire est un appareil très complexe, qui est connecté et interagit avec de nombreux autres systèmes du corps.
La micro-immunothérapie est une immunothérapie à faible dose qui place le système immunitaire au coeur du traitement. Le système immunitaire est modulé en douceur à l'aide de composants naturels (par exemple des cytokines, des acides nucléiques spécifiques). Le but de la micro immunothérapie est de corriger les déséquilibres au niveau immunologique afin que le système immunitaire puisse fonctionner et éliminer correctement les agents perturbateurs.
Il existe différentes formules de micro-immunothérapie pour différents domaines d'application et tableaux cliniques. Les ingrédients sont présents à très faibles doses, de sorte qu'ils n'interfèrent pas de manière agressive avec les processus naturels, mais offrent plutôt une aide douce pour l'immunité. Cela vient donner le bon message au système immunitaire afin qu'il puisse déployer des réactions en conséquence.
L'accent est fréquemment mis sur les mécanismes pro-inflammatoires et anti-inflammatoires, car le système immunitaire utilise l'inflammation pour se défendre contre les agents pathogènes et les cellules dégénérées. Cependant, si le système immunitaire est déséquilibré, l’un de ces mécanismes pourrait prendre le relais. Cela peut conduire à des processus inflammatoires continus, qui à leur tour endommagent d'autres cellules, tissus et systèmes, ou bien le système immunitaire est tellement inhibé qu'aucune réaction inflammatoire significative ne se produit.
L'objectif de la micro-immunothérapie est de rééquilibrer ces deux processus. Et c’est exactement à cela que servent les substances messagères (cytokines), que le corps connaît et utilise déjà lui-même.
La micro-immunothérapie peut être un soutien précieux pour l’équilibre immunitaire à tout âge et quel que soit l’état de santé. Pour savoir comment la micro-immunothérapie peut vous aider et quelles autres mesures sont également importantes pour rester en bonne santé et en forme, nous vous invitons à contacter un micro-immunothérapeute expérimenté. Vous en apprendrez davantage en fonction de vos éventuelles pathologies ou pour prévenir des maladies, et pourrez poser vos questions directement à l'expert. Utilisez notre carte en ligne pour trouver un micro-immunothérapeute près de chez vous ou en distanciel !
Faites un premier pas dans vos bonnes résolutions pour la nouvelle année : trouvez le micro-immunothérapeute qui saura vous mettre en confiance !
Carte en ligne des micro-immunothérapeutes
Toute l'équipe IFMi vous souhaite un Joyeux Noël, et de garder un excellent système immunitaire pour la nouvelle année !
Pour toute question n'hésitez pas à nous écrire ifmi@microimmuno.fr. Vous serez lus avec beaucoup de bienveillance.
Cette année fut riche en événements, en partage et en retrouvailles et nous vous remercions pour votre engagement !
Nous vous présentons une vidéo qui revient sur le retour au présentiel de l'IFMi et retrace notre journée colloque à Lyon.
Nous nous réjouissons d’ores et déjà de vous retrouver en 2025 pour continuer à avancer ensemble autour de l’immunité.