L’été est là, et vous avez peut-être prévu de partir en vacances : voici tout ce qu’il faut savoir pour en profiter pleinement !
Quand on évoque le mal des transports, on pense spontanément aux vertiges en avion, aux nausées en voiture ou aux troubles digestifs sur la route des vacances. Pourtant, ce terme pourrait englober bien plus que ces désagréments immédiats. Car voyager – que ce soit en train, en voiture ou à l’autre bout du monde – met notre corps à rude épreuve, et pas uniquement notre estomac.
Fatigue, stress, changements de climat, expositions prolongées au soleil ou au chlore : ces facteurs affaiblissent notre système immunitaire, rendant notre organisme plus vulnérable à certaines infections opportunistes.
Loin d’être en vacances, certains virus – comme le HPV ou l’herpès – profitent justement de ce contexte pour se manifester.
Que vous preniez l’avion ou le train, que vous soyez dans un hôtel, un camping ou une piscine publique, votre système immunitaire est mis à contribution :
🔷 exposition à de nouveaux germes,
🔷 horaires décalés,
🔷 stress lié aux transports ou à l’organisation,
🔷 baisse temporaire de vigilance sur l’hygiène ou la protection.
Ce "mal des transports" version invisible ne provoque peut-être pas de nausées immédiates, mais il peut faire le lit d’infections virales qui vous poursuivront bien au-delà du trajet.
Le virus du papillome humain (HPV) est extrêmement fréquent et souvent asymptomatique. Dans la plupart des cas, le système immunitaire le contrôle efficacement. Mais en période de fatigue ou de stress – comme c’est souvent le cas lors des longs trajets ou des vacances – le virus peut trouver une brèche.
Transmission :
🔸 Par contact direct avec les muqueuses, lors de rapports sexuels.
🔸 Même si le voyage n’est pas la cause directe, il peut créer un contexte favorable à une infection ou réactivation.
Symptômes possibles :
🔸 Aucun, dans la majorité des cas.
🔸 Verrues génitales.
🔸 Lésions précancéreuses (souvent silencieuses).
Prévention en voyage :
🔸 Utiliser des préservatifs, en particulier avec des partenaires occasionnels.
🔸 Éviter les contacts muqueux à risque.
🔸 Maintenir des consultations de dépistage régulières.
Renforcer son immunité, notamment en amont d’un voyage.
On le sait moins, mais le mal des transports peut aussi être viral. L’herpès, qu’il soit labial ou génital, fait partie des virus qui sommeillent dans l’organisme et qui se réactivent souvent lorsque l’immunité est affaiblie.
Facteurs déclenchants :
🔸 Stress du départ, manque de sommeil.
🔸 Exposition au soleil ou au chlore.
🔸 Contact avec d'autres personnes en milieu humide (piscine, plage).
Symptômes :
🔸 Picotements, cloques, brûlures.
🔸 Ulcères douloureux.
🔸 Parfois fièvre ou douleurs diffuses.
Mesures préventives :
🔸 Hygiène stricte (serviettes personnelles, tongs à la piscine).
🔸 Éviter les contacts avec des zones infectées.
🔸 Protéger sa peau du soleil et limiter l’exposition prolongée à l’eau chlorée.
🔸 Soutenir le système immunitaire pour éviter la réactivation.
Ce que l’on appelle communément le mal des transports peut donc aller bien au-delà des troubles digestifs. C’est tout un déséquilibre du système immunitaire qui peut être déclenché par les contraintes liées aux déplacements.
C’est pourquoi il est essentiel de préparer son organisme en amont, et pas seulement sa valise !
La micro-immunothérapie peut aider à rééquilibrer doucement le système immunitaire grâce à des substances naturelles comme les cytokines. Elle ne masque pas les symptômes, mais agit sur les mécanismes de régulation immunitaire pour :
🔸 mieux prévenir les infections comme le HPV ou l’herpès,
🔸 limiter les réactivations virales,
🔸 améliorer la réponse immunitaire face aux agressions extérieures.
🔷 Dormez suffisamment avant le départ : la fatigue affaiblit l’immunité.
🔷 Renforcez votre système immunitaire naturellement (alimentation, exercice, éventuellement micro-immunothérapie).
🔷 Protégez-vous lors de rapports sexuels, même en vacances.
🔷 Gardez une bonne hygiène en milieu collectif (piscines, douches, hébergements).
🔷 Évitez l’exposition excessive au soleil et au chlore.
En résumé : partir en vacances, c’est aussi sortir son système immunitaire de sa zone de confort. En prenant soin de lui avant, pendant et après le voyage, vous limitez non seulement les nausées en voiture, mais aussi les infections virales silencieuses qui peuvent laisser des souvenirs bien plus persistants.
Désormais bien informé, il ne vous reste plus qu’à profiter pleinement de vos vacances en toute sérénité !
➤ Risque de contamination en piscine : peut-on attraper un herpès génital, le pied d'athlète, etc. ?
➤ Bienvenue au pays des rêves ! Que faire en cas de troubles du sommeil ?
➤ Sensibilisation à la santé mentale : pour une nouvelle année dynamique au travail ou à l'école
Mon fils de douze ans attrape régulièrement un rhume à la fin de l'été, juste à temps pour la rentrée scolaire, qui dure généralement plus d'une semaine. Son nez est tellement bouché qu'il ne peut pas dormir. De plus, le mucus entraîne souvent des maux d’oreilles et des maux de tête. Mais il est surtout triste de ne pas pouvoir pratiquer son sport favori.
Grâce à la formule micro-immunothérapeutique pour le soutien immunitaire dans les infections aiguës, chroniques et récurrentes, dans le cas d'un état immunitaire « normal » ou également déficient, nous avons relevé ce défi annuel. De plus, nous avons appris à prendre des mesures préventives pour que l’année scolaire puisse démarrer sans absences ni baisse des performances.